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Fringues se veut un livre léger comme une bulle de champagne sur un sujet qui prête à critiques, particulièrement en ce moment de grande détresse mondiale, mais, il a été écrit il y a 20 ans lorsque les perspectives étaient plus souriantes, plus futiles.

C'est un pamphlet sur une fashion victim, Darling, une acheteuse compulsive frôlant le pathologique.

Darling passe ses journées an Bon Marché où elle déniche des vêtements et accessoires qu'elle ramène chez elle. Parfois elle ne les mettra jamais, parfois une seule fois. Si le vêtement a servi pour une cause spéciale, alors elle le mettra sous housse avec la date et l'étiquette de l'évènement. Les vêtements sont la mémoire de Darling.

Elle a été mariée, mais elle s'est désintéressée de son mari; elle a divorcé et vit grâce à une succulente pension que lui permet tous les excès de shopping.

Elle a aménagé son appartement en fonction de ses fringues, tout est pour la collection et chaque fois qu'un sentiment négatif la touche, qu'elle ressent de la peine, elle va se vautrer dans ses placards, se cacher véritablement, en attendant que l'orage passe.

(Le personnage est si outrancier, si excessif, si pitoyable par moments qu'il relève plutôt de la psychiatrie d'urgence).

Malgré cette débauche de fringues, Darling est un personnage qui a un besoin terrible d'être rassurée. Il faudrait simplement, pour se simplifier la vie, qu'elle fasse un transfert sur autre chose, moins dispendieuse. Mais cela se travaille avec un psychiatre et nécessite du temps.

En dehors de cet aspect frivole, cette cigale est une personne avec un physique apparemment avantageux et qui ne manque pas de culot ni d'à propos.

Elle va tomber amoureuse de « Dieu », médecin, professeur d'hématologie qui a sauvé la riche MTL de la mort. Il est bien connu que même un professeur de médecine gagne chichement sa vie et l'on peut rêver au syndrome de sevrage que Darling va subir si elle réussit à freiner ses instincts de « serial shoppeuse » pour vivre avec Dieu et tenir dans le temps…

Un livre drolatique et léger sur les milieux de la mode et des personnalités qui en deviennent dépendantes.

Ici ce sont les fringues « consolation », les fringues qui cachent une personnalité en souffrance. In fine, c'est la fringue plutôt triste.
Lien : https://pasiondelalectura.wo..
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Trop plein , long, mettre au centre le vetement est original mais on s ennuie vite, ca sonne creux, quelques pages du style integres dans une histoire plus profonde ok mais la en faire le theme central, c est vraiment trop. Superficiel a souhait, je ne recommande pas cette lecture
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Je ne suis absolument pas une fashion-victim, mais mais j'ai bien aimé le style léger de Christine ORBAN. Tous ces détails vestimentaires m'ont amusée. La description du musée des fringues de Darling est assez étonnante bien que, il est vrai, l'histoire est un peu creuse et manque cruellement de profondeur sans pour cela manquer d'originalité.

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Nul !
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Je n'ai à aucun moment réussi à entrer dans ce livre. J'ai persévérer, je l'ai lu jusqu'au bout, … Il est superficiel et ne m'a rien apporté.
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