Vampires semant la panique au cœur du Londres victorien ou du New York postmoderne, spectres réclamant leur dû, zombies et créatures de la catastrophe... toutes ces figures du fantastique sont-elles rétives à une signification politique ? Le politique serait-il fatalement soluble dans l'excès et l'ambivalence de la fiction fantastique ?
À rebours d'une tradition critique qui veut ignorer l'intention politique au profit de la seule indétermination fantastique,...
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