Ce livre a pour sujet les nageurs de combat pendant la seconde guerre mondiale. Il se décompose en plusieurs parties : les italiens, les français, les anglais, les allemands et les japonais. Les parties sont assez déséquilibrées, la part belle est faite aux italiens précurseurs dans le domaine dans la première partie. C'est la partie la plus longue. Y sont relater les opérations sur Gibraltar, Malte et Alexandrie.
La deuxième partie traite d'un épisode que je ne connaissais pas. L'auteur nous décrit les actions de résistants français qui détruisirent un nombre conséquent de navires ennemis dans le port d'Alger. Pour se faire, ils nageaient avec la mine autour du cou vers leur cible pour les poser sur les coques.
Des chapitres plus court sont destiné à l'opération contre le Tirpitz. Un autre sur les sous-marins de poche allemands et enfin la dernière partie sur les kamikazes japonnais sur leur vedettes en bois armées d'une torpille.
La lecture est agréable car ces faits d'armes sont relatées comme si c'était un roman.
A la fin de ce livre le constat est bien triste. Que de vies sacrifiés pour des résultats bien maigres.
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L'amiral, accompagné du commandant de l'école et d'une dizaine officiers, entre. Du regard, il parcours les rangs et, à voix basse demande:
-Je les croyais au nombre de vingt cinq ?
- Huit on trouvé la mort au cours de l’entraînement intensif que nous leur avons fait effectuer, explique le commandant de l’école, et l’un d’entre eux, déclaré inapte par les médecins, s’est suicidé ce matin.
l'opération en cours prend le pas sur toute autre contingence. Perdre un bâtiment et quatre hommes n'est plus qu'un incident de route. La tragique loi de la guerre exige ce mépris de la vie.