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3,39

sur 255 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Livre reçu dans le cadre d'une Masse critique spéciale. Je remercie Babelio et les éditions Bayard pour l'envoi de ce gros pavé de 850p avec son petit flacon de poudre noire. Je l'avais sélectionné principalement à cause de l'auteur car j'ai dû dévorer au moins deux fois le premier tome d'Eragon, au moment de sa sortie et ensuite, avant de lire la suite. Je me souviens à peine du résumé de celui-ci mais j'espère l'apprécier tout autant.

Le début est un peu longuet même si ça se lit bien, je n'arrivais pas vraiment à m'intéresser à l'histoire. J'ai malgré tout essayé d'avancer plus dans les pages pour lui donner une chance. Plus j'avançais et moins l'histoire arrivait à m'intéresser. Pour un roman SF, on commence par la fin de 4 mois d'inspection (et prospection) sur une nouvelle planète et l'histoire d'amour du personnage principal Kira. Je lis assez peu de SF pour pouvoir juger au mieux mais ça ne me paraît pas très crédible d'autant plus que les personnages n'ont pas d'envergure, on n'apprend pas réellement à les connaître. Quand enfin les évènements se lancent, ça retombe assez vite dans la monotonie pour repartir dans l'horreur pour Kira… Plus j'avançais et plus je m'ennuyais.. Je ne comprends pas la logique de l'auteur dans son histoire, on ne commence pas par des moments de bonheur pour entraîner ensuite son personnage dans le pire des scenarii possibles. J'aurais préféré avoir un peu de l'inspection de cette nouvelle planète avant de passer aux choses sérieuses. Car pour le coup, je n'ai pas réussi à m'immerger dans ce monde ni à apprécier aucun des personnages et encore moins Kira. Je reste de glace devant le mystère de cette poussière noire et de son possible pouvoir sur le genre humain. En relisant le résumé, je me dis que je me suis encore fait avoir sur la marchandise, je n'avais pas imaginé l'histoire comme ça ni qu'il changerait de style littéraire.

Comme vous l'aurez compris, ce premier tome a été une grosse déception pour ma part et je l'ai abandonné à même pas 150p. Pourtant, l'éditeur avait fait beaucoup d'efforts pour aérer le récit et créer une jolie mise en page. La couverture est superbe et laissait imaginer un autre récit. J'ai malgré tout découvert une petite coquille à la p21 (une lettre de trop). Je vous conseille néanmoins de le découvrir pour vous en faire votre propre avis que vous soyez ou non amateur de space opera. Pour ma part, je dois relire l'Héritage cette année pour pouvoir finir le dernier tome en me souvenant du reste de l'histoire. J'espère qu'il ne me fera pas passer à côté de la fin de sa première série.

Sur ce, bonnes lectures à vous :-)
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Je précise avant d'entamer cette critique qui sera tout sauf dithyrambique, que j'adore émettre des avis passionnés, enjoués, pour mettre en avant et à l'honneur des écrivains que j'apprécie. Je me dis très modestement que je leur donne un petit coup de pouce, un remerciement pour le travail qu'ils ont fait.

Mais là, eh bien je suis navrée, mais ce ne sera pas le cas. J'ai vraiment souffert pour arriver au bout du pavé. Si je ne m'étais pas engagée à le lire et à le critiquer dans le cadre de l'opération Masse critique, je ne l'aurais pas fini. Et comme quoi, c'est pas parce qu'on reçoit un bouquin grâcieusement, qu'on le critique avec indulgence.

Pour résumer, j'ai eu l'impression qu'on avait filé les meilleurs produits à un chef de cuisine, et qu'il en avait fait un repas complètement loupé.
Parce que à la base, il y a quand même une sacré imagination. L'héroïne qui se retrouve recouverte d'une 2nde peau extraterrestre, cela promettait un développement de scénario intéressant. Les extraterrestres qui communiquent avec les odeurs aussi, c'était bien parti. Mais non. Rien. Flop total. L'impression que l'histoire est belle mais que le mec qui la raconte n'a aucun talent d'orateur.
La psychologie des personnages (ah parce que c'est important ça ?), c'est niveau roman photo, version SF.
Navrée pour la violence de mes propos mais je suis presque en colère d'une part d'avoir perdu du temps à lire ce roman, mais aussi que l'auteur n'ait pas mieux exploité toute son imagination. Quel gâchis !
Quant à la crédibilité du scénario, là on est quand même un peu limite :
- "L'extraterrestre qui me colle à la peau me souffle à l'oreille qu'il faut traverser toute la galaxie pour aller chercher un baton bleu pour détruire les méchants".
- Diantre ! Dans ce cas allons-y avec mon vaisseau et quelques soldats. le temps de faire le plein et on est parti !"

Voilà. Bref vous l'aurez deviné : je n'ai pas aimé. Et mauvaise nouvelle : c'est le 1er d'une série...Donc arrivé à la fin vous ne connaissez pas la fin. En même temps, je m'en fous : je n'ai pas l'intention de lire le 2nd tome, voire les suivants.

Alors, faut-il le lire ? Non. Passez votre chemin. Prenez un bon Bordage, un Sylvain Neuvel, un Card, mais pas celui-ci.

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Idealis me faisait tellement envie depuis le jour de sa sortie, depuis que j'ai appris que son auteur était Christopher Paolini, le très célèbre papa du Cycle de l'Héritage ou plus connue sous Saga d'Eragon qui a marqué ma vie de lectrice, mon adolescence, que j'aime d'un amour fou. Je l'attendais au tournant, j'étais très curieuse de le découvrir dans un tout autre registre et malheureusement, j'ai été très déçue. Pire, je suis bloquée entre poursuivre péniblement ma lecture ou l'abandonner à seulement 250 pages (le roman en fait plus de 800)!

La science-fiction, j'en suis friande. La preuve, je suis une immense fan de la saga Star Wars! Idealis avait donc tout pour me plaire. D'ailleurs, c'est de la SF très accessible même si un vocabulaire spécifique est présent. L'univers est très recherché, travaillé, sympa quand même. Cela fait réaliste. Mais je n'ai pas réussi à entrer dans l'histoire, je ne me suis pas attachée à l'héroïne, je m'ennuyais même quand il y avait de l'action. En fait, je n'avais même pas envie d'ouvrir mon livre, de retourner dans l'histoire... d'avancer.

J'ai bien retrouvé la plume de l'auteur, la traduction aussi. Je l'ai bien senti. ça pourrait être fluide mais il y a beaucoup beaucoup beaucoup trop de descriptions! Mon dieu, c'était hyper LONG! Trop de détail tue le détail! Les scènes sont étirées en longueur, décortiquées. Trop de longueurs, trop d'introspection... j'en ai fais une overdose, je l'avoue.

En bref, j'ai un gros problème avec Idealis. J'ai pour preuve que j'arrive à lire et finir d'autres romans en parallèle donc le problème vient bien de ce roman. Je ne sais pas si c'est le fait que j'en attendais beaucoup, peut-être pas le bon moment pour le lire, si c'est le fait que c'est un bon gros pavé mais en tout cas, je ne sais que faire. Soit je l'abandonne définitivement et sans regrets, soit je le passe en lecture secondaire ou je le met en pause pour le reprendre plus tard. Je précise que si jamais j'arrivais à le finir, je remanierai cette critique pour un avis définitif et plus construit.

Je remercie tout de même Babelio et les éditions Bayard Jeunesse pour l'envoi de ce roman.
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Lecture laborieuse que celle-ci !
Je n'ai rien lu au sujet d'Idéalis avant de me lancer dedans, pour rester maitresse de mon avis, sans préjugés ni rien. Parce que je n'avais pas accroché à Eragon, je me disais que j'allais lui laisser une autre chance, un nouveau départ en SF...
Et... mon hésitation et ma difficulté à revenir à ma lecture se retrouve partagée par d'autres (oui, maintenant, je me tiens au courant de vos avis), ce qui me rassure un peu, je dois avouer.

Je crois que le principal défaut de cette aventure (mais non des moindres) est l'inégalité dans l'écriture. Nous avons d'un côté une héroïne censée être une scientifique accomplie habituée aux voyages spatiaux qui s'exprime comme une ado découvrant la vie. Une dualité difficilement appréciable : on s'attend à un minimum de sérieux dans les dialogues, et on se retrouve avec du familier à chaque ligne. Vient ensuite une longue description scientifique à laquelle, pardon, on ne comprend pas grand chose, (et qui semble du copié-retravaillé-redigéré d'une revue spécialisée) pour ensuite se retrouver de nouveau fauché en plein vol par une injure qui nous claque sans prévenir.
Ca donne quelque chose de relativement inégal, voir incohérent.

C'est dommage parce que j'avais bien aimé la scène de départ où la poussière enveloppe les gens pour ne plus les lâcher. Ca avait quelque chose de poétique... Et que tout n'est pas à jeter.
Mais cet Idealis ne restera pas dans les annales.
Je m'en vais lire un space opéra d'ailleurs, il en existe de mieux travaillé.
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Tout d'abord, je tenais à remercier Babelio et les Éditions Bayard, pour m'avoir permis de découvrir cet ouvrage lors de la dernière opération Masse Critique.
Je connaissais déjà l'auteur puisque j'avais déjà lu il y a longtemps les trois premiers tome de sa tétralogie l'Héritage. Christopher Paolini a décidé de quitter la fantasy et de s'attaquer à la science-fiction. Avec une couverture magnifique et un résumé prometteur, mon choix s'est porté sur ce livre. Si seulement...

En premier lieu, j'ai été surprise dès la réception de mon gain. le livre est un bon pavé de 800 pages (super, j'adore ça), et puis il était accompagné d'une lettre évoquant le petit échantillon de poudre noire fourni avec l'ensemble. La poudre noire, c'est ce qui sera le coeur de l'histoire, et j'ai donc trouvé ça ludique. Il me tardait de commencer ma lecture.

On suit ici le destin de Kira, une exobiologiste en mission sur Adastrée. Il va s'agir ici pour elle et son équipe de récolter le maximum de données sur cette planète, afin de savoir si les humains peuvent la coloniser. Mais durant son exploration, Kira va entrer en contact avec une substance extra-terrestre qui va littéralement englober son corps. Alors qu'elle tente d'apprivoiser son hôte, une guerre contre les aliens se profile...

Kira est une jeune femme relativement forte face à son cruel destin. Elle encaisse épreuves sur épreuves, erreurs sur erreurs, et pourtant ? A croire que son exoderme la rend opaque à tout sentiment...
Les personnages sont vides, sans saveur, surfaits. Un petit plus pour Falconi et son équipage qui sont les seuls un tant soit peu dignes d'intérêt.
Les relations entre les différents personnages sont platoniques. Chacun se supporte comme il peut et subit son quotidien... Bon. La dernière partie de l'ouvrage remédie un peu au problème, mais c'est franchement insuffisant pour nous faire tourner les pages avec passion.

L'histoire était prometteuse et pourtant, je l'ai trouvé sans fin ni but précis. Les chapitres sont très longs, l'écriture à la limite du buvable. En effet, on a la sensation que l'auteur nous délivre un nombre incalculable d'informations scientifiques et spatiales, au détriment de l'avancé de l'histoire. C'est un peu du remplissage. le rythme est vraiment inégal. Seule la dernière partie bouge un peu, et quand ça devient un minimum intéressant dans les explications, le premier tome est achevé. Un peu de mal à comprendre ce découpage mais bon.
J'aime lire plus que tout, et j'adore découvrir de nouveaux univers, mais là j'ai le regret de vous informer que j'avais vraiment hâte d'achever ma lecture (oui je déteste abandonner un ouvrage). Je me suis ennuyée, et j'attendais des rebondissements qui ne venaient pas.
Enfin, mon ressenti est confirmé lors de la lecture de la postface de l'auteur. Celui-ci admet en toute modestie les difficultés d'écriture qu'il a rencontré. Et cela se voit beaucoup, et explique en partie le remplissage des pages. Il admet lui-même qu'il avait le début et la fin, mais pas le milieu... C'est exactement ce que j'ai pensé durant ma lecture.

En conclusion, je dois avouer que l'objet livre est magnifique, et le marketing de Bayard est tout à leur honneur pour vendre leur ouvrage. Mais dès les premières pages, le soufflé est retombé. J'en attendais beaucoup de la part de l'auteur, et du résumé de l'histoire. Mais j'ai trouvé le tout incroyablement long, sans saveur, sans passion. Une cruelle déception pour ma part. On verra pour la suite si l'occasion se présente un jour, mais elle n'est clairement pas dans mes priorités. J'ai conscience d'être dure, mais je pense que les éditeurs ont plus misé sur le succès d'Eragon plutôt que sur le contenu de cette nouvelle saga...
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Après un énième livre de science-fiction du style space-opera, je peux enfin dire que je n'aime vraiment pas ce genre de roman... Ou alors je n'ai pas trouvé celui qui me fera aimé...
J'ai pourtant voulu réessayer avec Idéalis, en me disant que recommencer avec une lecture facile m'aiderais peu-être a apprécié. Mais ce fut une grave erreur, j'ai absolument détesté ce début de roman, je me suis d'ailleurs arrêté après +20% du roman...
J'ai trouvé malheureusement que l'auteur ne s'est pas amélioré après avoir écrit 5 tomes d'Eragon... Qui d'ailleurs, je me suis forcé à lire les trois premiers tomes, avec beaucoup de mal... Alors pourquoi avoir donné une chance de plus à Christopher Paolini ? Parce que j'ai toujours espoir ahah
Idealis, c'est une lecture pour les ados, pour du 13 ans à tout casser, avec dès le départ une histoire d'amour, mais très vite nous n'avons pas le temps de mieux connaître les personnages que le scénario vire à la catastrophe...
J'ai eu beau vouloir continuer, je n'arrivais pas à m'intéresser à l'histoire... Il y a des passages d'une longueur monotone, avec un jargon peu crédible sur les missions spatial d'une lourdeur sans nom et très vite ont tombe sur des "extra-terrestres", rien que le mot est old school..
En bref, j'ai eu très peu de passion pour l'héroïne principale, cette humaine au "super-pouvoir" venue d'ailleurs... Plus l'action avançait, plus je m'ennuyais... Mais le pire dans tout ça, c'est de voir le nombre de pages et savoir que ce n'est que le premier tome...
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