En quatrième de couverture, F-G Lorrain est cité: "Peace est avant tout un styliste, un Maradona du monologue intérieur".
Je dirais plutôt Luis Fernandez...
44 jours, un chapitre par jour, on se dit que ça passe vite. Eh bien pas du tout.
Connaissant l'issue, c'est interminable. Trouver un 'putain' par ligne (minimum) lasse vite.
De ce livre, on apprendra beaucoup sur la grosse tête de M. Clough, et un peu sur les moeurs sur le football anglais des années 60-70.
Indéniablement, c'est ce que j'ai lu de plus faible depuis longtemps.
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1 : Ecrire sur le football est difficile
2 : on m'avait prévenu que le style de Peace était particulier
et donc j'ai abandonné page 116. J'ai donc tenu 9 jours sur 44. le style est dur, décousu. En plus, je n'ai jamais pu croire que le "héros" Clough parlait , agissait et pensait comme l'écrit Peace. Je n'y ai pas cru et donc je n'ai pas adhéré. Et pour finir Peace a le malheureux don, dans ce roman, de faire abstraction de l'environnement pour se concentrer exclusivement sur son personnage. Donc on n'apprend rien du football anglais des années 60 et encore moins de la société anglaise.
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