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Critique de Bazart


Impossible de ne pas parler dans cette chronique du livre de Fellini du nouveau roman de Daniel Pennac, La loi du rêveur que Gallimard publie simultanément au livre somme du maestro italien fait implicitement référence au livre du réalisateur de la Strada et de la Dolce Vita, on peut même dire que le papa de la saga Malaussène dialogue avec le livre de mes rêves.

Son roman, qui nous promène entre fictions et imagination, souvenir et réalité retrace l'enfance et la vie de l'auteur au travers de son admiration pour Frederico Fellini et aux rêves les plus déments qu'il peut faire

Tout découle d'un rêve, d'une ampoule qui explose et de la lumière qui coule comme de l'eau sur le sol et nous voilà à tisser le fil des déambulations les plus délirantes et irrationnelles comme seuls les pouvoirs du rêve peuvent les autoriser.

Ce nouveau livre du si prolixe Daniel Pennac est une nouvelle preuve de l'imaginaire foisonnant et facétieux de son auteur ; insaissisable comme peut l'être un rêve, il est aussi un ode à la littérature et propose d'ailleurs plusieurs renvois et référence à l'oeuvre de son auteur de Monsieur Malaussène bien sur ( où plusieurs de ses rêves y figurent) à "Journal d'un corps" ou "chagrin d'école".

. Nous naviguons entre rêve et réalité, et si on peut parfois perdre un peu le fil de l'esprit anti cartésien de M Pennac, cela reste toujours un plaisir de se plonger dans une telle ôde à l'imagination et à l'insouciance.
Lien : http://www.baz-art.org/archi..
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