On peut seulement rendre compte du fait que les éléments constructifs de tout phénomène religieux, notamment l'interprétation mythique de la mort et de la vie sont déjà fortement présents dans ce récit mené comme une véritable enquête. Et si le faussaire se cache derrière le saint suaire enveloppant un véritable cadavre? Il faudrait alors lui reconnaître un certain talent manipulatoire dont l'Église devrait rendre des comptes. Est-ce l'intérêt de l'église de nous maintenir à des idées simples en nous prouvant que les théories reposent réellement sur la formation des phénomènes physiques extraordinaires? Un certain Marcel Alonso membre du CIELT, dit que ce linceul est authentique, et que l'égnime pourrait être résolue rapidement. Ce qui est sûre, un tel résultat remettrait assurément toutes les religions en questions.
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Pourquoi le suaire de Turin suscite toujours la polémique en 2011? Pourquoi cette pièce de lin est-elle encore aujourd'hui l'une des plus grandes égnimes de l'histoire? On dit qu'il est le linceul sur lequel Jésus a laissé son image après y avoir été enveloppé à sa mort, bien qu'il ait été daté du Moyen Âge par le carbone 14. Alors que des experts avancent des explications contradictoires sur l'origine de la plus prestigieuse relique de la chrétienté. Brice Perrier apporte un regard de journaliste.
"Sars-COV-2 : aux origines du mal", l'enquête de Brice Perrier aux éditions Belin