Changer l'eau des fleurs

J'en ai tellement vu l'éloge que je me suis dis qu'il fallait bien le lire... et bon sang, je me suis accrochée pour le finir ce livre !
Je ne suis pas parvenu à m'attacher à Violette que j'ai presque trouvée secondaire à toutes ses histoires parallèles.
Des tontes et des tonnes de longueurs, des chapitres inutiles (je repenserais au chap.29, toute ma vie je crois... dans le genre inutile... on est servis !) Quant à l'enquête, qui, mélangée à de nombreuses histoires "dites secondaires", elle m'a paru un peu tirée par les cheveux... mais pourquoi pas.
On Sacha, Julien, Irène... une multitudes d'histoires qui s'entrecroise. Des chassés croisés entre le passés et le présent qui pour le coup, parfois me perdait complétement dans "qui parle?" "on est où?"
Bref, voilà un livre qui n'a pas su me conquérir... 554 pages lourdes, longues, que je suis parvenue à finir temps bien que mal pour comprendre l'engouement... Chose que je ne suis pas parvenu à faire...

Je pense qu'en tout premier lieu, on devrait changer le genre attribué à ce roman, et donc supprimer l'étiquette "Feel-good" qui lui est associée.
Peut-être suis je trop sensible, que je suis passée à côté de quelque chose mais cette histoire m'a réellement fichu le cafard. J'en ferme pas les pages avec du bien-être mais un gros poids sur le coeur qui s'apparente à du malaise.

Pourtant, tour avait bien commencé. Ces rencontres à travers les pages, la bienveillance de Violette, l'humanité qu'on retrouve souvent lors de la dernière heure au cimetière... Puis peu à peu, quelque chose se noircit. Philippe nous oppresse, les personnages deviennent sombres, l'intrigue tourne à l'enquête, et la vérité (toutes les vérités) tombe d'un seul coup, et vous file le bourdon.
Ce que je retiendrai de ce roman, ce n'est pas la lumière qui s'en dégage (pourtant c'est ce qui me définit le mieux en general), mais l'obscurité. Pas un seul couple sain dans toute l'histoire. Ce sont des infidélités, sur des infidélités. Et si tel n'est pas le cas, alors ce sont des couples qui ne durent pas, se séparent, divorcent ou ferment les yeux. Comme si l'amour ne pouvait durer. Ou bien que cette histoire nous donne une morale un peu biaisé comme si l'amour ne se rend compte qu'à la fin du voyage, qu'on se trompe...
A coté de ça, les femmes décrites dans ce roman sont tellement manichéennes. La femme pure, dévouée jusqu'à se victimiser, ou la femme ouverte, libertine. Est-ce là tout ce que peut nous offrir ce roman sur limage de la féminité ? Quel personnage féminin a l'intérieur est-il un tant soit peu attachant ?
Et c'est du début à la fin des mensonges sur des mensonges, des non-dits destructeurs ou encore des regrets plein d'amertume qui consume ses personnages jusqu'à leur dernier souffle.
Seuls les dix dernières pages ont semblé vraiment lumineuses. le reste m'a paru tellement oppressant, étouffant...

A mes yeux, ce roman n'a absolument rien de feel-good. Il est vraiment bien mené, la plume de l'autrice est légère et addictive, certaines scènes sont très belles, mais dans sa globalité, l'histoire m'a fait mal. Femme abusée psychologiquement, enfant mort, infidélité constante, viol, violence, etc , c'est beaucoup trop quand on ne s'attend pas à cela lorsqu'on espérait rentrer dans une histoire rafraîchissante et pleine d'espoir...
Toutefois, ma note ne reflète que mon avis personnel. Je respecte l'appréciation de chacun et j'espère qu'on en fera de même pour moi.

Je pense être la seule à être passée à côté de cette lecture vu tous les commentaires élogieux.
Ici, point d'intrigue, les personnages sont tous plus tristes et plus misérables les uns que les autres. J'ai eu un cafard monstre à les voir tous être passés à côté de leur vie. La plume est fluide mais le ton est lourd et enfonce un peu plus le pathos de l'histoire et le tragique de tous ces destins.

Une idée de départ originale , une femme toute simple, garde- barrières puis gardienne de cimetière, malmenée par la vie...qui semble trouver refuge parmi les morts et les fleurs. Il semble flotter quelque chose de « L'élégance du hérisson  » Hélas, au bout de deux cents pages ,ça dérape. Si l'héroïne reste toujours attachante, les intrigues secondaires prennent le pas, histoires rocambolesques , alimentées de faits divers plus noircis que nature. le charme disparaît, absence totale d' humour: on est censé croire à l'histoire.Et l'auteure ratisse large: de la mini enquête policière en passant par des scènes de sexe. Tout semble bon pour accrocher le public le plus large qui soit.
Au final, un roman décevant car conçu comme un produit marketing. Qui a son public certes mais bien présomptueux que de le presenter comme une petite pepite. Ce n'est qu'un exemple de plus de littérature feel good. On aime ou on n'aime pas.

Je crois que je vais rédiger sur Babelio la 1000ème critique pour "Changer l'eau des fleurs" de Valérie Perrin.
Je l'ai lu, non parce que la 4ème de couverture m'intriguait ou me tentait mais grâce à tout le bien que j'en ai entendu. Et... comme souvent... je suis déçue...
Je ne peux pas dire que je n'ai pas aimé, certains passages sont vraiment touchants, Violette est un personnage extrêmement attachant et bienveillant avec qui j'ai adoré partager un moment. Mais pour moi, il y avait clairement des longueurs, j'ai trouvé certains passages longs ... mais longs... Peut-être que ce n'était pas le bon moment pour moi de le lire également car je pense qu'il faut être dans un état d'esprit assez positif. Toute ma lecture a été d'une tristesse sans fin, celle-ci a donc été assez éprouvante pour ma part.
Le style de l'auteure est assez poétique et certains passages sont vraiment très beaux, remplis d'émotions.
Pour résumer, une jolie lecture, dure pour moi, elle m'a plongé dans un état un peu maussade... Pas un coup de coeur mais contente d'avoir partagé l'histoire de Violette.

Je ne vais pas refaire le résumé de ce livre déjà tellement critiqué.
J'ai démarré ma lecture avec hâte, persuadé de le dévorer rapidement au vu des nombreux retours positifs.
J'ai malheureusement assez rapidement déchanté... dépassé le tiers de ma lecture j'en étais fatiguée... j'ai poursuivi en diagonale.
Beaucoup de longueurs et de répétitions qui m'ont ennuyé.
Je conçois que ce livre est rempli de bons sentiments, mais je ne fais malheureusement pas partie des lecteurs conquis par cette histoire.

Je ne sais pas comment décrire ma déception après la lecture de ce livre ... forcément avec tous les avis que l’on peut voir ainsi que le nombre de lecteurs, j𠆞n attendais beaucoup ! J’étais sur que j𠆚llais être conquise par l’histoire mais au final pas du tout. Les descriptions sont très très présentes, beaucoup trop. C𠆞st lent, extrêmement lent et j𠆚i trouvé que beaucoup de chapitres n𠆚vaient aucun intérêt dans l’histoire. du début à la fin j𠆚i trouvé que c’était une ambiance grisée et noircie, sans trop de suspens au niveau de l𠆞nquête ... je me suis beaucoup ennuyée! Cependant je respecte complètement l𠆚vis des lecteurs meme si j𠆚i beaucoup de mal à comprendre pourquoi ce livre fait autant parler ... grand mystère pour moi!

J'avais gardé ce roman pour le lire durant les fêtes de Noël. Je m'attendais à passer de bons moments suite aux critiques très positives mais non, ça n'a pas fonctionné pour moi, je n'ai pas été conquise.

Je me suis vraiment ennuyée. J'ai eu du mal à m'accrocher, à suivre le fil dans ce pêle-mêle d'histoires.

C'est trop long : on aurait pu par exemple se passer du « Journal d'Irène Fayolle » qui alourdit la lecture.

Maintenant, c'est juste mon avis car beaucoup ont aimé.

Je ne le finirai pas.
J'accroche pas. Il y a bien trop de descriptions à mon goût. Je trouve le personnage de Violette fade, sans corps.
Je crois que le passage qui m'a tué reste le chapitre 39 où on nous relate des discussions sans queue ni tête.
J'ai la réponse à ma question : Pourquoi on ne voit plus Léontine alors que la mère et la fille semblent tellement fusionnelles.
J'abandonne à la page 287 sans un regret.

Malgré le succès du livre, je n'ai pas adhéré, beaucoup de répétitions, de longueurs et les personnages s'entremêlent entre vivants et les âmes perdues du cimetière créent une atmosphère nostalgique qui ne m'a guère plue.
C'est mon ressenti à la lecture de ce roman.