AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
4,39

sur 14922 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Au regard du nombre de critiques concernant ce livre, je ne pense pas qu'il soit nécessaire d'en rappeler le résumé. Je tiens à dire à tous les lecteurs qui ont aimé ce roman, que leur avis, je le respecte, mais que moi, je me suis vraiment, mais vraiment ennuyée.
Non seulememt je n'ai pas trouvé l'intrigue très captivante, mais Valérie Perrin ne m'aura épargné ni longueurs, ni répétitions . Enfin... j'ai tenu bon. Quant à la fameuse enquête, qui elle non plus n'en finissait pas, elle m'a paru bien ennuyeuse également. Tant la manière dont elle fut menée que la ... oh combien "surprenante issue" !!!
Messieurs, ouvrez grand vos oreilles et surtout, prenez garde à vous, car nous les femmes...
Alors. Bien que n'étant pas féministe mais juste pour l'égalité des sexes, ce qui, selon moi, n'est pas du tout la même chose, il est une chose qui m'a tout de même sauté aux yeux.
Dans cet ouvrage on retrouve Violette , la Victime de la vie, la Sainte que j'aurais presqu'envie de béatifer si j'étais le pape François, et une certaine Célia qui, heureusement, "sauve un peu les meubles." Ce qui suit n'est pas triste !... Alors il y a Chantal, garce comme pas deux, et bien sûr, belle-mère haineuse, celà va de soi !... Il y a une écervelée, qui elle, plaque époux et enfant en bas âge, quelques heures et voire même quelques jours, pour s'enivrer d'alcool et d'amour avec son "fol amour". Un peu improbable quand-même, même au 21e siècle ! La raison pour laquelle cette charmante épouse et l'amoureux transi ne concrétisent pas cet amour me parait bien légère, mais bon. Il fallait bien en trouver une ! Encore une qui entre en scène ; une aristocrate si je ne me trompe. Elle aussi trompe son compagnon, vous l'aurez déjà deviné ! Qui plus est, avec un rustre qui la traite comme une moins que rien. Je cite : "Il m'a retournée. Sans me regarder. Il a baissé ma culotte, il a écarté mes cuisses. Pas de caresses. Pas de mots du tout. Il m'a baisé par derrière sans me regarder, me faisant pousser des cris de truie qu'on égorge". Mon Dieu que c'est charmant ! Alors attention à vous messieurs, si nous ne sommes pas des saintes, nous sommes des salopes . (Pardonnez-moi l'expression) ! Car il y a encore une infidèle dans l'affaire, mais passons. Ce n'était plus très surprenant, la rengaine quoi...
Voilà un livre qui se veut plein de bons sentiments, à telle enseigne que l'auteure fait même un clin d'oeil à la pratique de l'homosexualité. Cet homme, homosexuel, est tout à fait charmant. Délicat et d'une grande générosité de coeur, il est l'ami que nous aimerions tous avoir. le problème avec Valérie Perrin, c'est que les homosexuels ne font pas l'amour,...ils baisent. "J'avais un plan baise avec un collègue de travail". Voilà les propos qu'elle prête à cet homme que jusque là elle m'avait présenté comme étant si raffiné. Alors concernant ce sujet, il faudrait avant de l'aborder dans un roman, que l'auteure soit en accord avec eļle-même. On donne une bonne image ou une mauvaise, mais les deux en même temps, désolée mais pour moi ça ne tient pas debout.
Je dirai pour terminer que je suis plus légère de 23 euros 50, lourde de 554 pages d'ennui , mais il est une chose très certaine, c'est que Valérie Perrin ne my reprendra plus !!!!

Commenter  J’apprécie          222117
Presque deux mois pour venir à bout de ce roman, on peut dire qu'il m'aura donner du fil à retordre !

Le roman n'est pas "difficile à lire" comme peuvent l'être certains romans au style alambiqué. Non, le style est même plutôt simple, souvent poétique, très/trop descriptif, mais voilà, je n'y ai pas du tout adhéré et je peux dire que chacune de 560 pages m'a semblé très longue à tourner.

Pour moi, ce roman compte 200 pages de trop et ça ne me fait aucun plaisir de le dire car on sent dans presque chaque phrase tout ce que l'auteure y a mis de personnel voire d'intime. Mais le fait est que le récit souffre d'un rythme "à soubresauts", on a envie de survoler des chapitres entiers, ce que je n'ai pas fait car j'ai voulu être persévérante au regard de deux critères : premièrement ce roman ayant séduit un nombre impressionnant de lecteurs, je voulais moi aussi être séduite, et deuxièmement, l'auteure est bourguignonne et la Bourgogne est depuis quinze ans mon paradis d'adoption.

Quand j'ai commencé ma lecture, j'avais la certitude que j'allais adorer ce roman ; j'avais envie d'être emportée et comme souvent dans ces cas-là, lorsqu'on est déçu, la chute est rude. La couverture trompeuse m'avait laissé entrevoir une histoire sans prise de tête entre littérature régionale et romance... les pieds dans le tapis, ce roman est triste à mourir. Il n'y est d'ailleurs question que de mort, de deuil, de cimetière, de gardiens de cimetière, de suicidés, d'enfants abandonnés, d'enfants accidentés, d'adultes tout aussi accidentés, de trains manqués et de vies ratées. Il faut vraiment faire appel à toute sa (bonne) volonté pour s'accrocher à l'infime espoir de bonheur qui se dissimule derrière les fleurs et les tomates que cultive Violette, l'héroïne.

Personnellement, je n'ai aucun problème avec l'idée de la mort et j'aime bien les romans noirs mais celui-ci est gris et il m'a épuisée par ces narrations croisées, sa chronologie compliquée, ses protagonistes jouets de coïncidences outrées, son récit éparpillé, ses personnages secondaires stéréotypés (même si je reconnais que Valérie Perrin s'est donné beaucoup de mal pour que ses personnages principaux ne le soient pas trop). J'aurais voulu m'intéresser davantage à Violette mais son destin aux mille éclats sans éclat m'a laissée de marbre.


Challenge PLUMES FÉMININES 2019
Challenge MULTI-DÉFIS 2019
Challenge PAVES 2019
Challenge ABC 2018 - 2019
Commenter  J’apprécie          10716
Quel ennui! Quel ramassis de clichés et de poncifs! Dès l'abord, je n'ai pu croire à cette Violette altruiste en dépit d'avoir été malmenée dès sa naissance. J'ai continué cependant la lecture en oubliant cette invraisemblance de caractère qui n'est pas essentielle à la suite; mais tous les personnages étaient à l'avenant, c'est-à-dire taillés à la serpe, sans aucune finesse ni nuance dans l'analyse psychologique, réagissant contre toute logique (je ne parle pas ici de celle de la raison mais des raisons que la raison ne connaît pas)…
De plus, même si je reconnais quelques trouvailles dans les images, l'écriture m'a paru banale; les citations, en exergue des chapitres, sans rapport avec leur contenu. Et que dire de l'intrigue? de la construction? La première m'a semblé plaquée sur le fond de quotidien plutôt insipide pour mettre un peu de piquant dans la lecture et, si le dénouement est plutôt inattendu, il m'a semblé très peu vraisemblable. Quant à la construction, elle est bancale: résolument moderne peut-être par ses alternances de points de vue et flashbacks qui mélangent la lectrice peu assidue que j'ai été (la multiplicité des personnages a contribué à cette impression de ne plus savoir où j'en étais); mais sans que ce procédé me semble nécessaire (sauf peut-être pour qu'on sente moins les longueurs inutiles). Tout ça m'a donné l'impression d'une recette d'écriture, d'un canevas sur lequel l'autrice a placé ses propres matières, ses couleurs sans prendre assez de recul pour voir que le tableau d'ensemble manquait de sujet et d'harmonie.
Bref, je ne m'explique pas l'engouement pour ce roman de gare et ne le recommanderais à personne de mon entourage…. Il ne m'en reste qu'un immense sentiment de déception pour une autrice apparemment à la mode mais qui, à mon avis, ne restera pas dans les annales.
Commenter  J’apprécie          5011
Je vais vous jouer ma petite musique grinçante dans un concert de louanges. Cet avis rendu sur le vif de mon agacement est peut être excessif mais il résume mon regret de passer à côté d'un bouquin.

Je jette l'eau et passe l'éponge sur la tombe...
Une lecture fortement recommandée par mon entourage mais qui s'avère être un vrai pensum, par l'accumulation de galères conjugales, par le stéréotype des personnages, à commencer par le principal construit en grand écart sur le bon sens et la niaiserie mêlés.

On ajoute au brouet un zeste de vulgarité, des situations scabreuses et une pincée de tristesse. La recette est improbable en dépit d'un contexte de cimetière qui apparaît comme l'unique trouvaille originale du récit.

Platitudes et bon sentiments: un cocktail aigre doux que je fuis de plus en plus souvent en littérature. J'aurais dû suivre mon instinct qui me faisant flairer un "feel good book" dès la couverture, zone de non-confort pour mes appétences de lectrice. Et quand l'ennui s'en mêle face aux longueurs et manque de crédibilité, « ite missa est »!
Le livre est enterré...

A chacun ses goûts, CQFD après lecture de toutes les critiques enthousiastes. le livre a trouvé ses lecteurs et c'est très bien.

Commenter  J’apprécie          4811
Un roman riche en émotions mais qui m'a un peu essoufflée au second tiers de l'histoire. J'ai cru qu'on sombrait très profondément et qu'on ne remonterait pas de sitôt à la surface.
Certes la mort est un événement tragique qui peut survenir dans un roman mais là on frôlait encore le grand côté dramatique, la bonne mélancolie, le néant total qui me fait regarder combien il me reste de pages à lire...
Cela dit notre personnage principale, Violette n'a pas eu une très belle destinée entre garde barrière ou garde cimetière va savoir si de l'un ou de l'autre les choix nous poussent à "empêcher les gens de passer de l'autre côté ou plutôt de les aider un peu à y aller"comme le cite si bien l'auteure.
En bref, j'ai lu à un moment que l'auteure parlait de "larmoyances" je pense que c'est plutôt le titre adapté au roman car c'est le reflet global que j'en tire.
Commenter  J’apprécie          434
J'avais gardé ce roman pour le lire durant les fêtes de Noël. Je m'attendais à passer de bons moments suite aux critiques très positives mais non, ça n'a pas fonctionné pour moi, je n'ai pas été conquise.

Je me suis vraiment ennuyée. J'ai eu du mal à m'accrocher, à suivre le fil dans ce pêle-mêle d'histoires.

C'est trop long : on aurait pu par exemple se passer du « Journal d'Irène Fayolle » qui alourdit la lecture.

Maintenant, c'est juste mon avis car beaucoup ont aimé.
Commenter  J’apprécie          294
Peut-être que j'attendais trop de ce livre qui concentre de nombreuses critiques élogieuses et qui a reçu le prix des lecteurs du livre de poche dans la catégorie littérature.

Certes, Valérie Perrin sait raconter les histoires mais il y a quand même beaucoup de points qui m'ont empêché de rentrer pleinement dans ce roman.

Déjà la longueur, non pas que je n'aime pas les romans trop long mais là il y avait vraiment 200 à 300 pages de trop par rapport au contenu. C'est donc très lent et très descriptif. On voit arriver les retournements de situation d'assez loin et ces longueurs m'ont clairement empêché de ressentir bon nombre des émotions que l'auteur essaye de transmettre au lecteur. Tout semble noyé dans la masse.

L'écriture est très légère, même plutôt trop simple. L'avantage étant que cela se lit facilement même si le temps paraît bien long de par la longueur du roman. L'inconvénient, c'est que le cumul avec la longueur m'a donné le sentiment d'un roman plutôt creux où l'auteur a voulu trop en faire.

Ça a l'air paradoxal, mais c'est vraiment le sentiment que cette lecture me laisse, si je devais résumé je dirai trop d’enrobage inutile pour peu de contenu le tout mal servi par une écriture simpliste .

C'est dommage car au delà de ces points, on retrouve quelques personnages plutôt intéressants, quelques situations bien trouvées, de bonnes idées...

Bref, cela n'a pas fonctionné avec moi, je passe à autre chose, ce livre ne restera pas gravé dans ma mémoire.
Commenter  J’apprécie          284
Je ne comprends vraiment pas ............l'engouement sur ce livre
Je n'ai ni détesté ni adoré
Je n'ai pas les yeux qui brillent d'émotion
Je suis indifférente ( c'est même assez flippant )
La passivité de Violette face à son bourrin de mari m'a vraiment fortement agacé , aucune empathie pour elle
Le mari aplati devant sa " moman "idem ...........
Le seul personnage qui m'a accroché c'est Sasha et son amour des plantes et de son jardin
L'histoire ferait un bon film à la Lelouch ( le compagnon de Valérie tiens donc )
Je pense que je n'étais pas en forme pour lire cette histoire , pas le bon moment ; je ne sais pas
Cela se lit vite et bien , écriture fluide mais au final pas d'exclamation de joie d'émotion ou de dégoût ................






Commenter  J’apprécie          263
J'avais été surpris par la lecture de « Trois » le dernier roman de Valérie Perrin. En le commençant, j'avais eu peur de tomber sur un livre trop feel good ou trop larmoyant. Ça n'avait pas été le cas ! J'avais rencontré des personnages nuancés, réalistes et touchants. Même si certaines coïncidences scénaristiques étaient extravagantes, j'avais passé un bon moment plein d'émotions. Je me suis donc décidé à écouter le « bestseller » de l'autrice. Malheureusement toutes les craintes que j'avais eu sur « Trois » se sont confirmées dans ce roman-là.

Le début de ma lecture part pourtant sur de bonnes bases. Je retrouve toute la délicatesse de l'écrivaine dans ses portraits des petites gens. Seulement au fil de l'histoire, les clichés s'accumulent pour devenir dérangeants. Tous les personnages secondaires sont infidèles, menteurs et n'assument leurs actes. Au lieu d'être ému par leurs grandes tirades poétiques sur fond de violons, j'ai plutôt été exaspéré par leur lâcheté.

Violette, l'héroïne, est insipide et manque cruellement de caractère. Elle se place toujours en victime devant les grands malheurs qu'elle rencontre (et ils sont nombreux !). J'imagine bien que certaines lectrices se reconnaitront dans cette femme, mais, pour ma part, je ne trouve pas d'intérêt littéraire à ce genre de personnages apathiques.

De plus, les protagonistes croisent une somme de catastrophes qui devient vraiment fatigante à la longue. Trop de drames tuent le drame. A force d'en rajouter, l'aventure perd en crédibilité.

Je ne pense pas que ce texte soit mauvais, je pense simplement que ce n'est pas ma tasse de thé. Je dois reconnaitre que je suis sévère dans mon jugement mais c'est à la hauteur de ma déception. J'espère que Valérie Perrin va continuer sur sa nouvelle lancée parce que « Trois » a beaucoup plus de tempérament et est surtout moins mièvre et caricatural !
Lien : https://leslivresdek79.wordp..
Commenter  J’apprécie          243
Ce livre m'a été proposé par ma mère qui l'a adoré. Et c'est peut être le plus important à retenir. Il faut sans doute avoir "vécu" un peu plus que moi (25 ans), peut être avoir une sensibilité plus exacerbée sur la vie. de mon côté, j'ai trouvé ce roman long, trop long, 600 pages ! A tel point qu'au bout de la 200ème page, je me suis arrêté de lire.
Alors ce n'est pas le nombre de pages qui me font peur, mais au bout de 200 pages, quand on se demande encore ce qu'il va arriver à cette gardienne de cimetière, j'ai trouvé que cela faisait beaucoup. Pourtant j'ai eu envie d'en apprendre plus sur elle, mais les histoires des visiteurs ne m'ont pas captivé.
Commenter  J’apprécie          240





Lecteurs (29717) Voir plus



Quiz Voir plus

Changer l'eau des fleurs de Valérie Perrin

Quelle est l'année de naissance de Valérie Perrin, l'auteur de "Changer l'eau des fleurs" ?

1937
1947
1957
1967

12 questions
245 lecteurs ont répondu
Thème : Changer l'eau des fleurs de Valérie PerrinCréer un quiz sur ce livre

{* *} .._..