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4,4

sur 15566 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Je me suis ennuyée
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Bof, du vu et revu, dans la veine du feel good pour vous mettre sous la perfusion de la résilience... J'adhère pas, mais c'est très personnel. Je comprends que ce genre de conte de fées pour adultes puisse plaire à beaucoup de lecteurs. C'est relativement bien écrit, ce qui est rarement le cas dans le feel good.
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Bon, c'est gentil et bien vu... mais ça lasse.
Tourner autour d'un cimetière n'a rien de très excitant, de mon point de vue, même si la notion de mort met en lumière celle de la vie.
La mort fait partie de la vie mais nul besoin d'insister là-dessus.
La vie, c'est la création et pour créer, mieux vaut rester positif.
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Je vais vous jouer ma petite musique grinçante dans un concert de louanges. Cet avis rendu sur le vif de mon agacement est peut être excessif mais il résume mon regret de passer à côté d'un bouquin.

Je jette l'eau et passe l'éponge sur la tombe...
Une lecture fortement recommandée par mon entourage mais qui s'avère être un vrai pensum, par l'accumulation de galères conjugales, par le stéréotype des personnages, à commencer par le principal construit en grand écart sur le bon sens et la niaiserie mêlés.

On ajoute au brouet un zeste de vulgarité, des situations scabreuses et une pincée de tristesse. La recette est improbable en dépit d'un contexte de cimetière qui apparaît comme l'unique trouvaille originale du récit.

Platitudes et bon sentiments: un cocktail aigre doux que je fuis de plus en plus souvent en littérature. J'aurais dû suivre mon instinct qui me faisant flairer un "feel good book" dès la couverture, zone de non-confort pour mes appétences de lectrice. Et quand l'ennui s'en mêle face aux longueurs et manque de crédibilité, « ite missa est »!
Le livre est enterré...

A chacun ses goûts, CQFD après lecture de toutes les critiques enthousiastes. le livre a trouvé ses lecteurs et c'est très bien.

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Quelle déception !
Décrit comme "histoire aussi poétique qu'hilarante" , j'ai cru lire une nouvelle auteure semblable à Anna Gavalda. En fait, plus de 600 pages de tristesse et d'histoires bancales. le lieu: un cimetière, les personnages : des écorchés de la vie, des oubliés du bonheur, des figures féminines qui sont humiliées ou dépeintes comme "méchantes" (la mère du fameux Philippe qui passe sa vie à moto et prend les femmes pour des "objets sexuels" ...), des hommes inexistants ou passifs (le père du Philippe)..
Les trains passent, la vie que l'on aurait pu vivre aussi, les morts sont bien réels, ils sont enterrés avec de "jolis discours" , j'ai tenu jusqu'au bout, je ne sais pas comment.
Même le jardin où poussent des fleurs et des légumes qui pourrait être un havre de paix (décrit comme tel) est placé juste à côté des tombes et l'auteure a l'élégance de nous dire que les eaux qui traversent celles-ci ne coulent pas dans le jardin !

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Violette Toussaint est garde-cimetière dans une petite ville de Bourgogne. Les gens de passage et les habitués viennent se réchauffer dans sa loge où rires et larmes se mélangent au café qu'elle leur offre. Son quotidien est rythmé par leurs confidences. Un jour, parce qu'un homme et une femme ont décidé de reposer ensemble dans son carré de terre, tout bascule. Des liens qui unissent vivants et morts sont exhumés, et certaines âmes que l'on croyait noires, se révèlent lumineuses.

Un roman bien gentil, plein de bons sentiments, un peu de romance ... Beaucoup de clichés faciles. Quelques longueurs. Entre les vivants et les morts ... Un roman "feel good" comme il est convenu de dire, très redondant.
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Même si l'auteur fait dire à son personnage à plusieurs reprises que garde-cimetierre ce n'est pas un métier triste du tout, et bien moi cela m'a paru un peu trop sinistre. On peut dire ce qu'on veut, tout tourne autour de la mort quand même…

Le personnage principale, la narratrice, n'a pas su m'intéresser à son histoire. C'est écrit comme elle parle, et elle papillonne entre passé et présent, les deux devant sûrement se rejoindre au cours du roman, sauf que l'auteur ne m'a pas donné envie de poursuivre jusque là…
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Roman à tiroir...
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J'ajouterai une critique peu élogieuse pour cet ouvrage qui fait l'unanimité.
L'histoire est bien ficelé ok. Un bon sujet de roman, mais j'ai eu quand même beaucoup de mal à rentrer dans ces aventures.

Pourquoi ? le style....ce style télégraphique à la mode : sujet verbe complément ou verbe sujet complément. Une phrase dépasse rarement deux voire trois lignes, le vocabulaire est simple, sans emphase, sans envolée. Résultat on n'imagine moins on rêve moins.

Un style que l'on voit trop souvent dans les nouveaux romans, misant sur le scénario et oubliant qu'un livre c'est d'Abord une langue.
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On me l'a prêté en disant que c'était bien.
Alors oui, il y a beaucoup de jolies pensées, des phrases qu'on pourrait retenir, tellement elles sonnent justes.
Mais ça ne suffit pas pour faire un roman, les personnages agissent selon le bon-vouloir de la romancière pour donner une intrigue qui me parait intéressante et aurait pu aboutir à beaucoup mieux. Seulement le hic, ce sont justement les personnages: je ne les ai pas trouvés cohérents, trop de clichés, pas assez de profondeur et leurs agissements ne découlent pas toujours de la même source.
A mon avis, ils ne peuvent agir ou même penser contre leur nature sous peine de perdre leur vraisemblace et leur crédibilité et en même temps celle du livre dont il sont issus.
Et puis il y a ce petit ingrédient qui m'a dérangé dès le début: l'eau de rose. Je n'aime pas sentir dès le début que que quelque-chose va se tramer entre deux personnes, mais que les choses trainent artificiellement.
Ce n'est pas l'amour qui me dérange, c'est le manque d'authenticité.
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