Citations sur Le roman des Croisades, tome 1 : La croix et le royaume (8)
L’ennui, vois-tu, c’est que ma liberté m’est plus chère que mon épouse et que, de plus, je ne souhaite nullement donner naissance à des morveux qui hériteraient des défauts de leur père et deviendraient des têtes brûlées.
L’ennui, vois-tu, c’est que ma liberté m’est plus chère que mon épouse et que, de plus, je ne souhaite nullement donner naissance à des morveux qui hériteraient des défauts de leur père et deviendraient des têtes brûlées.
Ce qui est fait est fait.
Les princes indigènes, se jalousent, se haïssent, se déchirent, incapables qu’ils sont de constituer une force unie contre nous. Seul le sultan abasside de Bagdad serait capable d’en faire un bloc, mais il manque de la volonté et de l’autorité nécessaires et ne règne guère que sur la Mésopotamie et la Perse. Un immense empire, soit, mais fragile, comme un étendard trop longtemps battu par le vent et qui se déchire.
Qu’on les laisse courir ! Une centaine de mercenaires de plus ou de moins… De toute manière ; ils n’iront pas loin : le désert va les dévorer.
Le chagrin, Sarah, on n’en meurt que dans les légendes…
En apparence, il est tout miel et tout sucre. Il vous cajolera, vous fera des promesses qu’il faudra passer au crible.
La raison et la foi font rarement bon ménage.