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Critique de Bafie
Le titre avait retenu mon attention.
Les noms de certains contributeurs : Pierre Rabhi, Edgar Morin promettaient une belle réflexion, un livre qui allait nourrir mes idéaux.
Las, je referme ce livre très déçue.
Certaines contributions m'ont paru indigestes, redoublant de jargon outre mesure.
Souvent de telles lectures m'apportent idées nouvelles, matière à réflexion, un autre éclairage sur le monde.
De ce livre, je n'e retiens pas grand-chose.
L'idée qu'il est possible d'entreprendre de manière éthique, en respectant hommes et environnement.
L'autre vision qui se dégage à la lecture conforte l'assertion que, pour changer le monde il faut changer soi-même. Ce sont des chefs d'entreprise honnêtes, intègres, pleinement vivants qui se révèlent comme des phares, des balises dans notre monde.
L'entretien avec Isabelle Autissier m'a donné envie de lire son roman : Soudain, seuls. Cette personnalité radieuse est une belle ambassadrice de la réalisation de soir par soi.
J'aime qu'Eric Dupond-Moretti, avocat pénaliste souligne « la fragilité de tout être, la possibilité qu'une existence entière puisse basculer en quelques instants. »
Cynthia Fleury défend l'humain sachant combien les dommages peuvent être importants lorsqu'on se sent un pion sur l'échiquier.
Daniel Kawka révèle, s'il en était besoin, le pouvoir de la musique de semer de la beauté dans le monde.
L'espoir d'Edgar Morin dans l'humain est intact et communicatif ; merci à lui.
Pascal Picq remet en perspective notre époque dans l'histoire de l'humanité, un tournant, un virage à négocier.
Enfin Michel Troisgros semble une personnalité enthousiaste, sensible, ses propos le rendent crédible et sympathique.
Voilà, pour ne retenir que le positif.
Merci à Babelio et aux éditions de l'Aube de l'opportunité qui m'a été offerte.
Les noms de certains contributeurs : Pierre Rabhi, Edgar Morin promettaient une belle réflexion, un livre qui allait nourrir mes idéaux.
Las, je referme ce livre très déçue.
Certaines contributions m'ont paru indigestes, redoublant de jargon outre mesure.
Souvent de telles lectures m'apportent idées nouvelles, matière à réflexion, un autre éclairage sur le monde.
De ce livre, je n'e retiens pas grand-chose.
L'idée qu'il est possible d'entreprendre de manière éthique, en respectant hommes et environnement.
L'autre vision qui se dégage à la lecture conforte l'assertion que, pour changer le monde il faut changer soi-même. Ce sont des chefs d'entreprise honnêtes, intègres, pleinement vivants qui se révèlent comme des phares, des balises dans notre monde.
L'entretien avec Isabelle Autissier m'a donné envie de lire son roman : Soudain, seuls. Cette personnalité radieuse est une belle ambassadrice de la réalisation de soir par soi.
J'aime qu'Eric Dupond-Moretti, avocat pénaliste souligne « la fragilité de tout être, la possibilité qu'une existence entière puisse basculer en quelques instants. »
Cynthia Fleury défend l'humain sachant combien les dommages peuvent être importants lorsqu'on se sent un pion sur l'échiquier.
Daniel Kawka révèle, s'il en était besoin, le pouvoir de la musique de semer de la beauté dans le monde.
L'espoir d'Edgar Morin dans l'humain est intact et communicatif ; merci à lui.
Pascal Picq remet en perspective notre époque dans l'histoire de l'humanité, un tournant, un virage à négocier.
Enfin Michel Troisgros semble une personnalité enthousiaste, sensible, ses propos le rendent crédible et sympathique.
Voilà, pour ne retenir que le positif.
Merci à Babelio et aux éditions de l'Aube de l'opportunité qui m'a été offerte.
