Pile, ils gagnent; face, nous perdons.
« Le violeur en série ne se cachait pas : il était tous les soirs dans votre salon. » (p. 207)
« Ma honte s’est muée en porte-voix. Ce livre en est la preuve. » (p. 161)
« Mon dossier a été classé sans suite en partie parce que deux personnes semblent persuadées qu’une victime de viol pleure forcément quand elle raconte. » (p. 109)
« La honte pèse lourd dans la non-dénonciation des crimes sexuels. » (p. 183)
« Je n’ai aucun problème à ce que le prédateur soit présumé innocent. Ce qui me pose problème, c’est que l’enquête ait été faite à ce point à charge contre moi. » (p. 118)
« La présomption de malhonnêteté envers les femmes est un principe qui ne faiblit pas, voire qui s’aggrave. » (p. 71)
« Ma honte était la conséquence d’actions criminelles, commises par autrui. » (p. 20)
« Ce qui n’est pas normal, c’est la honte que l’on ressent à cause de celle qui est projetée sur nous, par des individus, des idées reçues, des cultures ou des sociétés. » (p. 34)