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Citations sur Poèmes (148)

Notre amour ressemble
A la branche sur l’aubépine
Qui tremble la nuit
Sous la gelée et sous la pluie
Jusqu’à ce que le soleil inonde ses feuilles vertes.
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La truite saumonée dérive dans le courant
Son âme flotte au-dessus de lui
Comme une hostie de lumière.
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Des amis ? Sommes-nous moins amis
parce que quelqu’un nous a découverts ?
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Ne me dis pas des mots d’amour, des choses futiles, sans prix,
Le vaisseau est mien, tienne la marchandise,
La terre aveugle ne sait pas la courageuse entreprise
Que porte ton désir et que porte mon désir.

[Ainsi vous invite Guido]
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Les souvenirs s’estompent, les accords nés du lotus
Sombrent, emportés par le vent,
Mais jamais en nous de lassitude
Car nous sommes vieux.
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Vive et courageuse dans ta coquille d’or,
Larguant le manteau de ton corps, tu as
Dénudé ta fenêtre et la lumière stupéfaite
a fui devant toi.
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L’homme passe au travers des rets que tissent les heures et les jours ;
Quand le temps se fait à l’infime mesure de la semence du temps ;
Nous qui participons à l’Etre, dans cette lumière nous reconnaissons
A travers voiles et voix chuchotantes, et nous participons à l’amour.
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Celui qui craint le combat et l’attaque
Mon éloge de la guerre, il n’a pas le sang pourpre,
Et mérite seulement de pourrir en molle paix,
Loin du conquérant valeureux, des épées qui s’entrechoquent ;
Devant la mort de telles catins, mon cœur se réjouit,
Oui, je remplis le ciel de ma musique.
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Et moi ? toute folie, tout chagrin ai banni.
J’ai enveloppé mes larmes dans une feuille d’orme,
Sous un rocher les ai laissées,
Alors ils ont dit que j’étais fou, ayant écarté
Toute folie de moi, l’ayant mise de côté,
Sortant ainsi des chemins tracés,
Car ma fiancée
Est cette mare dans le bois,
Et s’ils disent que je suis fou,
Je suis heureux, c’est tout,
Très heureux, car l’amour de ma fiancée
Est plus doux que l’amour des femmes,
Celui qui empoisonne, brûle et perd votre âme.
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L'aura Amara
de Arnaut Daniel
l
L'air amer
Détache la panoplie
Des arbres
Où des vents plus doux fixent les feuilles,
Et heureux,
Les becs
Maintenant dans les freins sont timides,
Rares sont les coups d'œil qui
s'accouplent
et se désaccouplent.
C'est quoi le boulot ?
A quoi bon la joie ?
Quelle malédiction
je m'efforce d'ébranler !
Elle m'a jeté d'en haut, Je mens
dans la maladie
et la peur de la mort.

ll
Tellement claire la torche
Qui m'a allumé la première
Pour saisir
Celle que mon âme croit;
Si cad
Sneaks,
Blabs, calomnies, ma joie
compte peu de frais
Appâts
Et leurs haines.
Je méprise leur avantage
Et lisser, à l'aise.
Débourse
-t-elle, et réveille-t-elle
des délices si fermes, que je
suis à elle, écume, lie
Bigod ! des orteils aux boucles d'oreilles.

lll
Amor, regarde toi !
Sache certainement
Les clefs :
Comment elle reçoit ton costume ;
Pas d'ajout
de Piques.
'Twere folie d'ennuyer,
je suis vrai, alors Dree
Fates;
Aucun débat
Ne me secoue, ni ne me branle,
Mes vérités
Deviennent laconiques,
Et pourtant j'ai mal ;
Ses lèvres, pas des neiges qui volent,
ont le pouvoir
d'éteindre, de refroidir ma brûlure.

LV
Voici ma prière,
(Ou la compagnie
De ceux-ci)
Cherche qui une telle hauteur atteint;
Bien vêtu la
cherche
, et ne serait pas écoeurant.
Le cœur déclare ouvertement
la
pensée. L'espoir attend
' Contre la mort pour irriter :
Fausses brièvetés
Et pire !
À elle je raik,
Sole elle;
Toutes les félicités sèches des autres
ne valent pas la peine d'être lorgnées.

V
Ah, beau visage, où, Chaque qualité
Mais libère
Un orgueil de plus, qui
Me fend ; les frieks fous
(O 'thy beck) détruisent,
et la moquerie
m'appâte
, et les tarifs.
Pourtant je ne me dérobe pas
Tes velléités, ne
m'opposent
pas, ni n'étouffent
le désir. Dieu ne s'approche pas
du dôme, avec des supplications
où il y a si peu de déviation.

VI
Maintenant chant prépare,
Et mélodie
Pour plaire
au roi, qui jugera tes gerbes.
Worth, triste,
se faufile
ici; double emploi
Hath là-bas. Obtenez-vous
des assiettes
pleines, et des cadeaux,
des cadeaux, partez ! Ni ne me cache
ici jusqu'à ce que les décrets
s'inversent,
Et sonne tu prends
tout droit t'Arago Je traverserais
les larges mers
Mais 'Rome' perturbe mon ouïe.

Coda
A minuit mirk
Dans les secrets
j'allaite
Mes servis font
En coeur; ni essayer
Mes mélodies
À la porte des autres sans le vouloir.
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