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Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Cet ouvrage de Paul Preston le plus grand historien spécialiste de cette guerre nous livre un récit captivant d'un des conflits les plus cruels du siècle : la Guerre d'Espagne.

Une guerre peu connue en France si ce n'est pas le côté romanesque de certains grands livres ou même d'un des meilleurs films de Loach, Land and freedom.

ici l'approche est évidemment autre, très historique et factuelle. de façon particulièrement documenté et détaillé, on y apprend tout de ce conflit politique et militaire d'une rare complexité, celle de l'Espagne de 1936 à 1945.
On y apprend à quel point cette Guerre d'Espagne est symptomatique des égarements des nations européennes dans ce qui va précipiter la Seconde Guerre Mondiale.
Ce conflit illustre aussi parfaitement l'aveuglement et de la cruauté humaine.
Parfois un peu roboratif, pas toujours très évident pour le néophyte, cet ouvrage d'une densité exceptionnelle reste une référence indéniable pour tous les amateurs d'histoire et les fans de la culture ibérique.
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Une guerre d'extermination - Espagne 1936-1945 - Paul Preston

Je n'avais que quelques notions de la guerre civile espagnole, j'avais vu quelques documentaires à la télé, lu aussi quelques articles dans des revues d'histoire et bien sûr lu : «Pour qui sonne le glas » d'Hemingway.

Ce livre de l'historien anglais Paul Preston nous plonge vraiment dans l'horreur de cette guerre.
Cette guerre n'était pas une guerre de conquête, mais un coup d'état militaire contre une jeune République qui cherchait à instaurer plus de justice sociale et d'égalité dans un pays qui en était totalement dépourvu.
On découvre les exactions des rebelles contre les républicains mais aussi contre les civils, les pauvres, ouvriers ou paysans qui sont considérés comme des sous-hommes mais aussi contre tous ceux qui déplaisent aux rebelles. Les Républicains n'étaient pas des anges eux aussi ont assassiné.

Ce livre très dense puisqu'il comporte plus de 800 pages nous décrit une guerre un peu oubliée et dont on ne parle pas beaucoup. Il raconte la barbarie dont peut faire preuve l'être humain quand il se laisse dominé par la haine, la bêtise et la violence.

Ce livre n'est pas facile à lire, parce qu'il fait référence à des événements peu connus et dramatiques et très durs. Des photos illustrant l'ouvrage montrent, des pillages des colonnes de la mort, des cadavres de républicains, des réfugiés épuisés. En toute fin d'ouvrage les notes, les cartes, des graphiques, une chronologie sommaire et un glossaire permettent de se retrouver dans cette somme d'informations.

Même si ce livre n'a pas toujours été facile à lire pour moi, je ne regrette pas de m'y être plongée et je remercie Babelio et masse critique ainsi que les Éditions Belin de me l'avoir fait découvrir.
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En prologue, l'auteur explicite le titre et la thèse centrale de l'ouvrage : les militaires à l'origine du coup d'Etat du 18 juillet 1936 contre la Seconde République ont mis en oeuvre une stratégie d'extermination de leurs ennemis et supposés tels. Selon Preston, les meurtres commis par ce camp ont souvent été planifiés et institutionnalisés.

Le début du livre m'a beaucoup intéressé : il montre bien le contexte socio-politique qui a précédé le coup d'Etat et la guerre civile. Dans les années 1930, la société espagnole était très divisée, et les tensions étaient exacerbées par la grande pauvreté et par une nécessaire modernisation de la société et des mentalités. Avant le déclenchement de la guerre civile, l'antisémitisme était l'un des fondements idéologiques d'une grande partie de la droite espagnole, qui prônait des valeurs dites traditionnelles, notamment catholiques. Des échecs militaires dans des territoires coloniaux ont frustré des officiers qui sont revenus en Espagne avec l'expérience de la répression et des fantasmes de grandeur nationale.
Cet exposé sur le contexte d'avant guerre civile explique celle-ci d'une manière que je n'avais pas perçue lors des cours d'histoire et de langue espagnole suivis au lycée.

La suite de l'ouvrage décrit le conflit, listant des lieux d'affrontements et d'exactions, de manière très documentée (à ce qu'il m'a semblé) mais sans éléments d'explication nouveaux pour moi. Les historiens et spécialistes y trouveront certainement plus d'intérêt que moi qui ai parfois dû survoler des passages.

Mon avis sur ce livre est donc contrasté : malgré les qualités explicatives de ses premières pages, il me semble plutôt destiné à un public de spécialistes ou souhaitant le devenir.

Je remercie Babelio et les éditions Belin pour ce partenariat.
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Il faut une certaine détermination pour parcourir les 850 pages de cet ouvrage avec quelque attention; le sujet est en effet d'une indéniable âpreté et la longue énumération des actes de cette terrifiante barbarie à l'oeuvre est un peu dure à digérer. J'ai donc pris mon temps pour cette lecture, l'entrecoupant d'autres lectures plus agréables et plus facilement digestibles par la grâce desquelles j'ai pu parvenir à sa fin.
L'honorable Paul Preston, docteur en histoire à l'université d'Oxford, s'est fixé la tâche méritoire de présenter le panorama le plus complet possible des innombrables exactions consécutives au coup d'état militaire perpétré par les phalangistes en 1936 qui aboutit à la dictature franquiste laquelle, rappelons-le, se maintiendra jusqu'en 1975.
Le titre présente en lui-même une certaine ambiguïté. Peut-on parler de « guerre d'extermination » quand il apparait, dans ce livre même, que l'extermination est la visée préalable d'un seul des camps concernés. L'extermination est le fait des logiques totalitaires. Ici le camp fasciste soutenu par la grande majorité du clergé catholique, les grands propriétaires terriens, la grande bourgeoisie ainsi que par l'armée qui est pour l'essentiel une armée coloniale qui s'est déjà illustrée par de nombreux massacres de masse au Maroc. Dès les débuts de la République en 1931, il apparait clairement que tous ces gens-là ne comptent nullement renoncer à aucun de leurs privilèges et sont prêts à tout pour saboter les processus démocratiques. Pour eux le peuple est fait pour servir, obéir, et ne doit disposer d'aucun droit. C'est sur cette base idéologique prétendant s'appuyer sur le catholicisme et se considérant donc comme sacré, et sur le fantasme récurrent d'une « pureté » nationale, que cette oligarchie va développer sa logique d'extermination de tout ce qui s'oppose à elle et à ses prétentions. Pour justifier cette politique d'annihilation, la junte va s'inventer une théorie du complot : complot « judéo-maçonnique-bolchevique » (contubernio) comme il se doit. La presse d'extrême droite lui en fournissant la matière en diffusant massivement des traductions espagnoles de l'absurde « Protocoles des Sages de Sion » dont tout le monde sait qu'il s'agit d'un faux qui fut fabriqué par l'Okhrana (la police secrète de l'Empire russe) en 1901. L'ouvrage inspira également le Mein Kampf de Hitler, la paranoïa se préoccupant peu de vérité.
L'extermination ne peut naître que d'un projet concerté qui cherche à se justifier idéologiquement dans son intention génocidaire : l'ennemi est conçu comme un bloc nuisible à l'intérieur duquel toute réalité individuelle est niée. On ne combat plus, on extermine des êtres à qui l'on refuse toute humanité et que l'on veut faire disparaître. Cela est le fait totalitaire et ne peut en aucun cas être mis sur le même plan que les exactions de petits groupes inorganisés cherchant le pillage ou la vengeance du coté républicain.
La seule autre volonté d'extermination dans cette guerre d'Espagne, en dehors de celle du camp fasciste, est celle que manifesta le parti dit communiste, sous contrôle stalinien, contre le mouvement révolutionnaire représenté principalement par les anarchistes et par le P.O.U.M (auquel appartiendra George Orwell), à partir de 1937. On ne sera pas surpris de rencontrer là une autre visée totalitaire mais l'on s'étonnera, par contre, du peu d'importance qui lui est donnée dans ce livre. Je conseille en passant, outre l'incontournable « Hommage à la Catalogne » du même Orwell, la référence historique indispensable que constitue «La Guerre d'Espagne, révolution et contre-révolution » de Burnett Bolloten.
On sera aussi un peu interloqué à la lecture de ce livre par le total désintérêt de l'honorable Paul Preston pour le fait révolutionnaire, pourtant si important pour la compréhension de cette guerre d'Espagne. Il est vrai que l'esprit révolutionnaire se pose toujours, lui, dans un Commun, une vision d'une société où chacun aurait sa place et sa chance ; c'est pourquoi toute idée d'extermination systématique lui est étrangère.
Pourtant, on sent bien que notre brillant universitaire éprouve peu de sympathie pour cette cause et ses partisans. Ainsi, on trouve au sujet de Barcelone cette formulation : « Les quartiers ouvriers et les banlieues industrielles sont aux mains des masses anarchistes » (p.561). Pourquoi ne pas dire plutôt que la grande majorité des ouvriers, du prolétariat, était anarchiste, tout simplement. Ces mêmes anarchistes qui fourniront, avec le P.O.U.M, une grande part de l'effort de guerre et se feront tuer par dizaine de milliers pour défendre une république qui leur en fut très peu reconnaissante durant toute son existence.

Ce que révèle ce livre et qui reste à ce jour encore peu connu, c'est que la destruction de toute forme d'opposition se prolongea bien après la fin de la guerre contre des civils désarmés. Exécutions sommaires, tortures, viols et pillages se prolongèrent avec une grande intensité jusqu'en 1945, c'est-à-dire jusqu'à la fin de la seconde guerre mondiale « Dans de nombreux cas, les arrestations et assassinats sont recommandés par le curé de la paroisse. » (p.625)
La dictature franquiste ayant perdu ses alliances étrangères avec la défaite des nazis, la fin de la dictature mussolinienne en Italie et celle du régime de Vichy en France (régime qui livra de nombreux opposants à l'Espagne tout en sachant qu'il les condamnait ainsi à une mort certaine), dut adopter un profil plus discret ; même si « La persécution systématique continuera dans presque tous les aspects du quotidien jusque dans les années 1950. » (p.702)

Si certains s'étonnent de l'extraordinaire tolérance dont bénéficia le boucher Franco et son régime d'assassins par les puissances dites démocratique dans cet après guerre, l'explication est à trouver probablement ici : « La rhétorique de Franco sur la nécessité pour les vaincus d'une rédemption par le sacrifice, offre un lien clair entre la répression et l'accumulation de capital qui rendra possible le boom économique des années 1960. La destruction des syndicats et la répression de la classe ouvrière entraînent des salaires de misère. Cela permet aux banques, à l'industrie et aux propriétaires terriens d'enregistrer de spectaculaires hausses de leurs profits. » (p.703)

L'auteur aborde pour finir le problème du déni historique qui fut inculqué à l'Espagne pendant plusieurs décennies par la dictature franquiste. Pendant toutes ces années, l'enseignement devint pure propagande mensongère, falsification systématique des faits. le régime fabriqua de toute pièce un récit historique attribuant aux vaincus ses propres crimes et sa barbarie extrême. C'est pourquoi il reste si difficile d'aborder le souvenir de cette guerre en Espagne où le refoulé et le sentiment de culpabilité concernant toute cette période reste extrêmement fort. La tentative de l'oubli est pourtant grandement illusoire puisqu'elle ne peut se réaliser que par l'amputation d'une part notable de sa propre réalité, condamnée alors à rester bancale et inaccomplie.

Un ouvrage d'un indéniable intérêt documentaire qu'il faudra toutefois compléter par d'autres lectures pour se saisir pleinement de ce moment d'histoire essentiel.

(Un détail encore, on trouve dès la page 18 une phrase d'un parfait non-sens, fruit probablement d'une traduction et d'une relecture hâtive, qu'il serait préférable de corriger en cas de réédition : « Il est peu probable qu'ils soient responsables d'au moins 150000 morts, et ils pourraient en avoir causé davantage. »)
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N'étant pas un spécialiste de la guerre d'Espagne, mes remarques principales porteront sur la forme de ce « pavé » historique. Car voilà d'abord une brique, dense, écrite sans aération, sans saut de ligne, et sans détail de plan. du coup, les seuls treize chapitres s'étalent sur plus de sept cent pages. Avec tout juste un changement de page à chaque chapitre ou début de partie. Ouille, difficile de faire moins accessible et plus rebutant pour le lecteur non universitaire. Car c'est bien d'une étude méthodique, précise, avec notes à l'appui qu'il s'agit. Pas franchement un ouvrage grand public.
Et cela se ressent dans le choix des mots et leur répétitivité. Chaque massacre, chaque liquidation physique, région par région, province par province, ville par ville, est étudié, quitte à redire à moult reprises les mêmes éléments ou à réexpliquer les ordres reçus par les auteurs des tueries.
Le lecteur peine à se raccrocher à un déroulé de plan inexistant. Toute interruption de la lecture se fait sans logique, entre deux liquidations expéditives. Si la présentation est essentiellement chronologique, pourquoi commencer par telle province plutôt que par telle autre, pourquoi redire un peu plus loin ce qui a déjà été expliqué au titre d'une autre région ou du fait des liens entre tels ou tels intervenants ?
La forme est lourde et bien peu amène.
Dommage, car derrière les moindres détails des fusillades, des enlèvements, des séjours en prisons surpeuplées, de la torture et des meurtres accomplis sans la moindre tournure juridique, il y a une documentation sans faille. Des années de préjugés, de combats classe contre classe, propriétaires contre ouvriers agricoles, religieux contre laïcs, explosent dés les premières heures de la rébellion militaire de 1936. Ce qui avait été en germe dés la proclamation de la République en 1931, mûri par des années d'instabilité, conduit à l'extermination par les nationalistes de toute opposition, réelle ou imaginée. Une politique de terreur assumée, voulue par Franco, et mené par des séides sous les ordres des Queipo de Llano et des Mola. le camp républicain, profondément divisé, a lui aussi connu, là où il conservait initialement le pouvoir, c'est dire surtout à Madrid et en Catalogne, la folie des checas et des sacas.
Cette guerre fut en de très nombreux points un prologue sanguinaire de la seconde guerre mondiale. On a le coeur qui chavire au terme de ces sept cent pages. Combien sont morts pour ce qu'ils étaient ou étaient sensé représenter, et non pour ce qu'ils avaient fait ? Et ne parlons pas de ceux qui étaient simplement au mauvais endroit au mauvais moment.
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Je connais très peu de choses sur la Guerre d'Espagne, sur cette période de la montée du Franquisme. Or c'est un pays voisin, en Europe. On apprend à l'école les civilisations anciennes, et c'est très bien, évidemment, les pays lointains des autres continents… mais au plus près de chez nous, pratiquement rien. Que ce soit par exemple, la Belgique, l'Italie, le Portugal ou l'Espagne, presque rien.
J'avais depuis un moment cette envie d'en savoir plus sur ces « événements » en Espagne. Alors quand Babélio m'a proposé ce livre de Paul Preston, j'ai sauté sur l'occasion comme on dit. Merci beaucoup aux éditions Belin et à Babélio pour cet envoi instructif.
Par contre, quelle n'a pas été ma surprise en recevant ce « pavé », cette somme de connaissances… 890 pages tout de même !
Ce n'était pas, loin s'en faut, l'ouvrage de « vulgarisation » que j'attendais, mais bien un ouvrage très détaillé d'historien pour des spécialistes. J'ai eu un peu de difficultés à m'immerger dans cet ouvrage, je l'avoue. Je n'avais pas de références pour suivre facilement ces écrits qui expliquent très en détail, région par région, village par village, cette Histoire terrible. Et elle est vraiment terrible. Encore plus, beaucoup plus que je ne l'imaginais. La violence, la brutalité, la haine, mais aussi la bêtise, l'obscurantisme s'écrivent sans fin au fil des pages… La lecture des listes des morts (femmes, enfants, vieillards compris), des viols, des tortures, des atrocités est souvent insoutenable même si Paul Preston est sobre, n'en rajoute pas dans les descriptions. Pas besoin, les faits sont là, glaçants. le titre est très bien choisi, c'est une vraie guerre d'extermination totale, pensée, planifiée, mise en place et réalisée sans aucune humanité, froidement. Une guerre sale, très sale, raciste, fratricide. Les communistes, les Juifs, les Francs-Maçons, les Républicains, les syndicalistes, les socialistes… sont les ennemis de la Nation. Ils sont considérés comme des étrangers et cela justifie l'injustifiable. On peut être impitoyable comme envers les Maures au Maroc. On voit également évidemment les liens des Franquistes avec l'Allemagne nazie. Les relations très troubles avec la France, puis la France occupée, puis la France de Vichy.
Cette lecture n'a pas été simple pour moi, mais elle m'a beaucoup appris, m'a ouvert les yeux sur une réalité abominable dont je ne soupçonnais pas l'ampleur. Et je trouve qu'il est bon, toujours, de savoir, d'apprendre et de découvrir. Je ne sais pas comment cette nation a pu se relever après un passé aussi noir et sanglant. Quand on pense que ce criminel bestial, Franco, est resté au pouvoir jusqu'en 1973, peu avant sa mort sans qu'il ne soit jamais arrêté, condamné pour ses crimes contre l'humanité. C'est juste incompréhensible, hallucinant, inadmissible… surtout en Europe, si près de chez nous.
Gros travail impressionnant de Paul Preston pour cet ouvrage très détaillé, parfois trop, destiné à des spécialistes et historiens.

Lien : https://mapassionleslivres.w..
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Ce livre est un travail érudit et très bien documenté. Cependant, il faut s'accrocher ! Plus de 700 pages rédigées de façon claire mais pas forcément concise. Personnellement j'ai décroché.

Dommage car la thèse centrale est intéressante. L'ouvrage m'a permis de découvrir le profond antisémitisme des franquistes : ils croyaient sérieusement au protocole des sages de Sion, que les Juifs (qui n'étaient que quelques milliers en Espagne...) dirigeaient en sous-main les syndicalistes, les communistes et les socialistes, qu'ils étaient responsables de la première guerre mondiale etc... Cela contraste avec la thèse officielle d'un Franco qui se faisait passer pour un sauveur des Juifs après 1945.

De même, on comprend à travers cet ouvrage les conditions extrêmement difficiles des journaliers agricoles, traités comme des demi-etrangers en Andalousie, et peu aidés par les républicains à cause de l'opposition systématique du patronat espagnol à toute loi sociale.

Bref, Une guerre d'extermination est très intéressant, mais on peut vite se lasser à cause de sa longueur.
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