Lightfall, tome 1 : La dernière flamme

Véritable quête initiatique, Lightfall nous propose de découvrir un univers fantastique où cohabitent humains, animaux anthropomorphes et créatures fantastiques. le monde y est riche et varié et on découvre au fil des pages son fonctionnement et son histoire. Son histoire, c'est celle des Galduriens qui ont sauvé le monde en vainquant le terrible Oiseau Kest. Ils ont apporté la lumière avant de disparaître sans laisser de traces.
Au début de la BD, on rencontre Béatrice, jeune humaine anxieuse et Cad, un galdurien solitaire et bon vivant. Ensemble, ils vont partir à la recherche du grand-père de Béa et braver mille dangers.

Considéré comme une BD jeunesse, Lightfall s'adresse selon moi à un plus large public. Accessible dès 9 ou 10 ans, elle regorge néanmoins de tant de richesse dans son graphisme et son intrigue qu'elle saura conquérir les lecteurs plus aguerris.

Je ne peux que vous la recommander.

Quelle lecture à la fois douce mais remplie d'action et d'aventure ! Elle m'a permis de passer un très bon après-midi au parc.

Dès les premières pages, on s'attache au personnage principal. Béa est une jeune fille attachante, pleine de bonne volonté et prête à tout pour sauver son grand-père.

Elle souffre d'anxiété, maladie mentale qui peut parfois gâcher la vie des personnes qui en souffrent. Son anxiété est représentée par des nuages noires qui l'entourent et qui grossissent au fur et à mesure qu'elle augmente, jusqu'à l'absorber. C'est très intéressant de la part de l'auteur de l'avoir dépeinte de cette manière.

L'histoire est vraiment sympathique, et le binôme Béa et Cad fonctionne à merveille : ils sont complémentaires et Cad apporte pas mal d'humour tout au long du récit.

Leur aventure leur fait rencontrer de nombreuses créatures fantastiques, toutes travaillées et qui ont quelque chose à apporter à leur épopée.

Parlons du format et des illustrations : elles sont magnifiques et parfaitement adaptées à la taille du roman graphique. Certaines sont en pleine page et nous plongent dans des décors fantastiques et oniriques.

Les dernières pages donnent envie de connaître la suite, et elle arrive très vite, puisque le deuxième tome sort le 17 août ! Ouf, les personnes impatientes (dont je fais partie) ne devront pas patienter trop longtemps.
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J'ai tout de suite été attirée par la couverture magnifique de cette BD, trônant fièrement sur l'étagère du rayon jeunesse de ma médiathèque. Les graphismes et les couleurs des planches sont superbes, j'aime beaucoup les dessins aux contours bien nets et très colorés dans le style film d'animation.

Dans un univers magique, féerique mais aussi très sombre lorsqu'il s'agit de parler des « méchants », une jeune fille, Béa, part à la recherche de son grand père, un cochon-sorcier qui perd un peu la tête (elle a été adoptée … ceci explique cela). En chemin, elle rencontre une bestiole étrange mais sympathique qui va l'accompagner et l'aider dans sa quête.

Totalement emballée par les graphismes et par l'imposant volume de cet album (255 pages, ça pèse dans le sac), je n'ai pas percuté tout de suite qu'il s'agissait d'un premier tome. Je trouvais l'histoire un peu lente à se mettre en place, avec beaucoup de pages consacrées au périple des deux aventuriers ; en fait, l'histoire est ainsi bien posée afin d'amener la suite des péripéties dans les prochains tome.

Petite déception tout de même d'être contrainte de patienter pour la suite. Malgré tout, je pense que ce serait au rendez-vous du tome 2.

Un livre qui a retenu mon attention pour son illustration qui évoque l'univers des studio Ghibli.
On y suit une jeune fille, Béa, vivant avec son grand-père, le Cochon-Sorcier.
Celui-ci va mystérieusement disparaître. Béa va alors partir à sa recherche…

Mon avis :

J'ai apprécié suivre l'aventure de Béa : les personnages qu'elle rencontre, l'univers dans lequel elle évolue. Avec des pointes d'humour, un premier tome qui m'a ravit.

Dans ce roman graphique jeunesse nous sommes plongés dans une ambiance forestière, et dans une quête qui demandera un long voyage et quelques épreuves à surmonter. Nous sentons tout au long du récit que des forces plus obscures rôdent tout près... D'ailleurs, lorsque nous en avons un aperçu, le fond des pages, d'ordinaire blanc, devient noir, et apporte encore plus de noirceur à ces passages. Béatrice sera la seule humaine pour le moment, et les créatures qui l'entourent seront des animaux adoptant des attitudes humaines. Les personnages de Béatrice et Cadwaller ont chacun leur personnalité. Les forces de chacun viendront combler les faiblesses de l'autre. Cette bande dessinée assez dense, mais très sympathique, aborde de multiples sujets à travers un univers bien travaillé et agréable. Un bon compromis pour les jeunes lecteurs de romans qui souhaitent se mettre à la bande dessinée

Lightfall, la dernière flamme : une aventure d'amitié…

J'ai choisi de lire Lightfall, la dernière flamme une BD écrite et illustrée par Tim Probert. Elle a été publiée pour la première fois en anglais (américain) en 2020, puis traduite en français et publiée chez Gallimard en 2021.

Dans cette BD, nous suivons Béa, une jeune fille et Cad un Galdurien à la recherche du grand-père de Béa : le cochon –sorcier. Au fil des pages, une amitié incroyable se noue entre les deux protagonistes principaux, qui font face à des obstacles pour retrouver le cochon-sorcier …..

Ce livre m'a énormément plus : au fil de leurs aventures, on comprend qu'en aidant Béa, Cad part à la recherche de son propre destin. En effet, en cherchant le cochon-sorcier et en parcourant le monde magique d'Irpa, Cad espère retrouver les siens…. J'ai adoré lire cette BD (je l'ai lu en 2 jours) car les illustrations sont pleines de couleurs et joyeuses. le texte est aussi agréable et simple à lire. Ce qui est plus accessible pour les enfants.

Cette bd est un vrai délice pour les yeux. Les planches sont d'une beauté avec de belles couleurs orangées. J'ai adoré le personnage de Cad toujours positif, optimiste et généreux. Il va se joindre à la quête de Béa qui s'inquiète pour son son grand-père atteint d'Alzheimer. Celui-ci est parti à la recherche d'un sceau important. Accompagnée de son chat, Nimm et de Cad, Béa débute l'aventure !
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L'histoire est immersive, par contre côté scénarisation et déroulé de l'histoire me semble un peu trop compliqué par moment entre la ligne narrative principale et les petites scènes intercalés pour nous expliquer la menace à venir par rapport à l'occasion dès 8 ans. A mon sens à partir de 10 ans ça sera déjà plus adapté.
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L'héroïne est assez attachante et nuancée, ni une tête brûlée (oui, souvent dès que l'héroïne doit être perçue comme courageuse on a l'impression qu'elle perd tout sens de la réalité, des dangers, qu'elle ne doute jamais !) ni une fillette apeurée. Je l'ai trouvée vraiment sympa, elle a de belles valeurs, on la voit douter se lier d'amitié avec Cad, être sincèrement inquiète pour son grand-père d'adoption...
C'est le genre de BD qu'on peut relire pour découvrir de nouveaux détails.
J'ai bien hâte de lire le tome 2

Ce voyage épique était une vraie lecture doudou !! La trame principal n'a rien de très innovatrice en soit mais les illustrations sont tellement belle et enivrante, c'était un véritable plaisir. J'ai vraiment apprécié que l'on mette en avant les angoisses et l'anxiété de l'héroïne. Les voir se matérialiser en dessin rend le tout juste plus immersif. Sans oublier Cad et son humilité et sa douceur. Un Galdurien hyper positif et d'une joie de vivre qui fait chaud au coeur.

Alors que je passais devant le rayon jeunesse de mon libraire préféré j'ai été attiré par la couverture de "Lightfall", et je me suis rappelé de la critique très enflammée de la fille d'une amie qui disait "Lightfall, c'est top !". Difficile de résister à de tels arguments. Il faut dire que la richesse du dessin de Tim Probert possède les bases d'une aventure plutôt engageante, les décors et les créatures de ce monde sont grandiose.
Foisonnent de détails, le dessin de Tim Probert est très orienté jeunesse, il nous offre des personnages aux pouvoir très attachants qui évolues dans des paysages de toute beauté, ou vivent des créatures monstrueusement merveilleuses, les couleurs douces et lumineuses rendent le décor très apaisants.
S'adressant à un public plutôt adolescent, ce road-trip ravira également les plus grands, car l'aventure est pleine de rebondissements, et le rythme est très soutenu.