Tout à coup, Grand-Père apparut. Il était mécontent de voir que Pierre était allé dans le pré. " L'endroit est dangereux. Si un loup sortait de la forêt, que ferais-tu ? "
Pierre ne fit aucun cas des paroles de son Grand-Père et déclara que les grands garçons comme lui n'avaient pas peur des loups. Mais Grand-Père prit Pierre par la main, l'emmena à la maison et ferma à clé la porte du jardin.
Au-dessus d’eux, l’oiseau voltigeaient en gazouillant : " Comme nous sommes braves, Pierre et moi. Regardez ce que nous avons attrapé. "
Un beau matin Pierre ouvrit la porte du jardin et s’en alla dans les prés verts. Sur la plus haute branche d’un grand arbre, était perché un petit oiseau, ami de Pierre. " Tout est calme ici. " gazouillait-il gaiement.
Et maintenant, imaginez la marche la marche triomphale : Pierre est en tête ; derrière lui, les chasseurs traînaient le loup, et, fermant la marche le Grand-père et le chat. Le grand-père, mécontent, hochait la tête en disant : " Ouais ! Et si Pierre n’avait pas attrapé le loup, que serait-il arrivé ? "
Et maintenant voici où en était les choses : le chat était assis sur une branche, l’oiseau sur une autre, à bonne distance du chat, bien sûr, tandis que le loup faisait le tour de l’arbre et les regardait tous deux avec des yeux gourmands.
Apercevant le canard, le petit oiseau vint se poser sur l’herbe tout près de lui.
" Mais quel genre d’oiseau es-tu donc, qui ne sait voler ?" dit-il en haussant les épaules. A quoi le canard répondit :
"Quel genre d’oiseau es-tu qui ne sait pas nager ?"