" Ernesto m'a appelée le 15 décembre en me disant qu'il n'en pouvait plus : les gens le harcelaient, ils n'arrêtaient pas de lui passer des commandes, de l'inviter à gauche et à droite.
Il voulait oublier le monde, et il avait pensé à la Tunisie, à l'île de Djerba, à un hôtel perdu dans les dunes, où il n'y avait rien à faire que se promener, se baigner dans la mer, nager dans la piscine d'eau douce, jouer au tennis et prendre le soleil. Il m'a dit qu il avai...
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