O mon île de sable et de roches, o mon île sans bureaux ni antichambres, que j'aille te retrouver demain. Là n'existe qu'une famille d'hommes, les pauvres, blottie dans les frondaisons de la mer. Sur la dune, ma petit église m'attend, solitaire et froide comme une épée - je n'ai qu'à pousser la porte et c'est Dieu lui-même qui me reçoit. (p.90)