La guerre continua de plus belle et devint pire que jamais. Les milliers de morts devinrent des millions, et à s’entretuer ainsi, les deux trusts risquèrent bientôt la ruine à court-terme. Devant l’impossibilité de faire la différence rapidement, et la terrifiante perspective de la banqueroute, les actionnaires réagirent enfin et obligèrent leurs dirigeants à négocier. Les millions de morts, c’était certes ennuyeux, mais perdre des dividendes, ça, c’était tout simplement insupportable.