Tout âge porte ses fruits, il faut savoir les cueillir.
Ne pas vouloir être dupe, c'était la maladie de Paul Robin. C'est la maladie du siècle. Elle peut parfois pousser jusqu'à duper les autres.
Un couple qui danse révèle son degré d'entente. L'harmonie des gestes du comte et de la comtesse d'Orgel, prouvait un accord que donne seul l'amour ou l'habitude.
La passion s'insinua en lui si habilement qu'il y pu à peine prendre garde. Cette nouveauté datait du jour où Mahaut assise sur la banquette du garde-feu parlait avec François de Séryeuse. Ce jour-là son mari l'avait convoitée comme si elle n'eût pas été sa femme.
A force de se méfier de son coeur, il n'en possédait plus beaucoup.
C’était chez la vieille négresse Marie, que l’on se prêtait chez les Grimoard comme un objet de famille, que Mahaut trouvait de la vraie tendresse ; une tendresse subalterne, c'est-à-dire celle qui ressemble le plus à de l’amour.
Nul sourire n’efface ce qu’imprime la souffrance sur un visage. Ce ne sont pas des rides : le regard est pareil. Un homme qui a souffert n’a pas forcément vieilli. La transformation est plus profonde.
Nous sommes attirés par qui nous flatte de quelque façon que ce soit.
Vivre un conte de fées n'étonne pas. Son souvenir seul nous en fait découvrir le merveilleux.
Un couple qui danse révèle son degré d'entente. L'harmonie des gestes du comte et de la comtesse d'Orgel, prouvait un accord que donne seul l'amour ou l'habitude.