Citations sur Company of Killers, tome 2 : A la recherche d'Izabel (3)
" Le destin nous a réunis de la plus improbable des façons, et ce sont nos quelques points communs et notre absolu besoin de la présence de l'autre qui nous ont permis de renforcer notre relation."
« J’avais pressenti depuis le début – depuis l’instant où elle avait insisté pour les tuer elle-même – qu’ils ne seraient que les premiers d’une longue liste. J’avais pu lire dans son regard une soif de vengeance et de sang. C’était le fait d’avoir abattu Javier Ruiz de ses propres mains qui avait scellé le destin de Sarai. Le premier meurtre est toujours le déclencheur, le moment qui fait tout basculer dans la vie d’un tueur, l’instant qui change radicalement sa personnalité. »
J'oublie alors l'espace d'un long moment que j'ai affaire à un assassin qui a déjà tué nombre de personnes de ses propres mains, sans aucune hésitation, ni remords, ni états d'âme.
Il semblerait que nous soyons faits l'un pour l'autre, comme deux pièces de puzzle qui semblent de prime abord ne pas pouvoir s'imbriquer l'une dans l'autre, mais qui se révèlent parfaites ensemble si on les accole d'une manière improbable