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3,63

sur 195 notes
*** Rentrée littéraire 2018 ***

Dès les premières pages, on est happé dans la Venise de la Renaissance, Venise au sommet de sa gloire après sa victoire retentissante de Lépante face aux Turcs ottomans. 1577, le palais des Doges brûle. Un concours pictural est lancé pour peindre une toile monumentale dans la salle du Grand Conseil, le Paradis … seulement achevé en 1592 !

De la masse de documentations qu'elle a du avaler dans les archives de Venise pour débusquer les détails passionnants de ce rocambolesque concours pictural, Clélia Renucci n'en a extrait que la vie, la chair, les passions bouillent sous sa plume alerte.
Sous nos yeux, surgissent toute une farandole de personnages haut en couleurs, patriciens, doges, mécènes, courtisanes et bien sûr peintres prêts à tout pour remporter ce concours. Tout particulièrement, le Tintoret et Véronèse, tout deux au sommet de leur gloire et se vouant une haine tenace, chacun incarnant une façon de vivre leur métier d'artiste radicalement opposée : au Tintoret, austère, bougon, adsorbé par son travail au point de verser dans la paranoïa s'oppose un Véronèse, charmeur, mondain, jouisseur.

On prend énormément de plaisir à déambuler dans le roman-feuilleton de la genèse de cette toile qui court sur 25 ans. Et quelle ironie que peindre le Paradis révèle en fait toute les bassesses humaines :

- les rivalités politiques entre Rome et Venise, cette dernière cherchant à protéger son indépendance, ses valeurs, sa vision du monde et de la société alors que la Rome des papes du Concile de Trente pousse à la norme en envoyant l'Inquisition et ses jésuites traquer toutes les traces d'hérésie potentielle dans les oeuvres picturales vénitiennes.

- les rivalités entre patriciens, chacun mécène d'un peintre et voyant dans le triomphe de leur poulain le reflet de leur propre réussite, avec à la clef toutes les manoeuvres de l'ombre pour manipuler les décisions voire les faire changer.

- les rivalités entre peintre lorsque l'auteur nous dévoile de truculentes anecdotes de plagiat ou de harcèlement subtil pour obtenir une commande à la place de son concurrent.

- les rivalités au sein des familles, chaque peintre étant soit un patriarche à la tête d'un atelier familial mené de façon autoritaire ou un fils étouffant sous la coupe d'un père écrasant et rêvant d' une gloire toute individuelle.

Si j'ai grandement apprécié la vivacité et la verve de la première moitié du roman ( jusqu'à la mort de Véronèse ), j'ai trouvé la deuxième partie, plus dramatique, plus laborieuse. Au final, il m'a manqué un peu de folie pour décoiffer ce premier roman réussi mais très sage et lui donner un souffle romanesque plus puissant et inoubliable.
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Renaissance. Venise.
Le palais des Doges a brûlé, le Paradis s'est consumé. On entre direct dans l'action et dans l'Histoire, les deux moteurs principaux de ce récit.

Un concours est lancé pour choisir le peintre qui le remplacera. Oui, car le Paradis, c'est une immense toile dont la conception et la réalisation sont le sujet central de ce roman qui se lit comme une enquête historique quasi policière, avec ses péripéties, trahisons et coups de théâtre.

Deux peintres, principalement, Tintoret et Véronèse, s'affrontent pour remporter le concours. Quand on découvre qu'au lieu de deux ans, ce concours va prendre vingt ans pour aboutir à un choix, on mesure l'enjeu que représentait cette toile. Enjeux artistiques, politiques mais aussi humains que Clélia Renucci a réussi habilement à mettre en évidence au fil de l'intrigue.

Il ne fait aucun doute que ce roman est très documenté, c'est son intérêt majeur, passionnant pour qui apprécie, comme moi, l'histoire de l'art. Il est aussi et avant tout, écrit de façon captivante et précise.

Un premier roman enlevé et fort intéressant que j'ai lu quasi d'une seule traite !
Je retiens ce nom : Clélia Renucci, une auteure à suivre assurément.
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je ressors enchantée de ces quelques heures passées auprès de Véronèse , Tintoret, son fils Domenico, et tous ces Doges. Lecture plaisir mais aussi instructive. Si le "monde de la peinture" me passionne, j'y ai (re) découvert les jalousies entre maîtres mais aussi et surtout ici la méconnaissance, le jugement aléatoire voir l'incompétence des critiques d'art.
On assiste par ailleurs, à la création de la toile, l'immense toile 22X 7m qui doit remplacer celle qui a été détruite lors de l'incendie de 20/12/1577 à Venise . On assiste donc à sa mise en place et à toute sa création durant plus de 20 années.
Je me suis vraiment délectée. Je ne sais pas si ce livre va rencontrer du succès mais il le mérite et a grandement sa place dans cette rentrée littéraire.
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« Concours pour le paradis » s'ouvre sur un enfer : l'incendie du Palais des Doges en 1577.
La reconstruction de ce lieu symbolique, où s'exercent tous les pouvoirs, ne saurait tarder et une toile immense représentant le Paradis devra orner la salle du conseil.
Pour décider de l'auteur de la toile un concours est ouvert, suscitant les ambitions de tous les peintres en vogue, de leurs mécènes et de leurs appuis.

Un voyage dans le temps, dans cette Venise complexe et bouillonnante, au sein des lieux de pouvoirs, des ateliers d'artistes, des alcôves des courtisanes. On y croise Véronèse et le Tintoret, on assiste aux succès des uns et aux déconvenues des autres.
Clelia Renucci parvient à merveille à restituer les ambiances et à brosser les personnalités dans ce livre à la fois érudit et distrayant…
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Ce livre je l'ai eu grâce à l'opération :

Les Matchs de la rentrée littéraire 2018 de Rakuten ou #mrl18

Mon avis en tableaux (à voir sur mon blog !), en liens et en mots :

Ce livre nous plonge dans la Venise du 16ème siècle.

Cette ville, je ne l'ai jamais visitée, alors c'est avec plaisir que je me suis laissée guider par Clélia Renucci.

Tout débute par un terrible incendie qui détruit le Palais des Doges et de ses nombreuses peintures.

Ce lieu est le lieu du pouvoir des Doges, les dirigeants de la République de Venise.

Ainsi le Doge de l'époque, Sébastiano Venier va vouloir redécorer la salle du Grand Conseil.

Un grand concours va être lancer pour mettre en rivalité les plus grands peintres de l'époque.

Ce concours sera aussi l'occasion pour les membres du pouvoir d'appuyer telle ou telle vision de la vie et de la mort.

Venise est en concurrence directe avec Rome, la religion chrétienne tient une place très importante.

Les relations entre le pouvoir, la chrétienté (et le pape) et les artistes seront au coeur de nombreuses discussions concernant la création de ce Paradis.

Les artistes personnages de ce roman sont tous des personnages ayant existé je vous les présente : Paolo Véronèse, Fransesco Bassano, Palma le Jeune, le Tintoret et trois de ses enfants.

En matière de peinture la mise en concurrence de tous ces artistes va attiser les jalousies et les coups bas.

Véronèse et un des personnages central de ce roman : Ambitieux, séducteur, talentueux et roublard !

Il va d'ailleurs s'emparer de façon fort "culottée" des idées du Tintoret pour gagner ce concours !

Ce livre est une très belle chronique de cette époque et nous rend à la perfection l'atmosphère qui devait régner à cette époque.

Cette course à la gloire, cette course au pouvoir. En ces temps là, les moyens de marquer son temps et son pouvoir s'inscrivaient dans la pierre, les peintures et les actes de guerre et les négociations de paix.

C'est Véronèse et Bassano qui vont gagner le concours et devoir réaliser ce " Paradis ".

Hélas cette association imposée de ce jeune peintre avec ce peintre renommé et au caractère bien trempé ne sera pas une réussite...

Véronèse reste le personnage central de ce livre. il a un talent immense et surtout l'art de mener "en gondole" tout le monde qui gravite autour de lui.

Hélas, comme pour tous, Véronèse va s'éteindre en avril 1588, épuisé en fêtes et amusements (Carnaval, théâtres, Commedia dell'arte, bals, chasses aux taureaux et autres réceptions).
Ses funérailles furent "somptueuses et mondaines à l'image de sa vie".

Suite à ce décès le Tintoret et son fils Domenico vont reprendre la réalisation du tableau du Paradis. Juste retour des choses...

Le roman nous offre alors une belle histoire de l'art en se faisant très technique. Clélia Rennuci nous apprend beaucoup sur la réalisation de cette fresque, la plus grande au Monde !

De la réalisation du support en bois à l'encollage de la toile et de la confection de la colle. du travail de séchage au transport de l'atelier à la salle d'exposition. de la réalisation des échafaudages !

Quant on voit un tableau j'ai tendance à oublier tout ce travail... Preuve que l'artiste sait nous emmener ailleurs grâce à son talent !

Dans ce livre on comprend très bien que tous les tableaux sont les oeuvres de toute une équipe. Les Garzonis s'occupaient de tout le travail de préparation des immenses peintures.

Le temps de réalisation était lui aussi très important !
Clélia Renucci a très bien su nous rendre compte de tout ça en mettant une once de romanesque et de fiction dans cette histoire.
Avec le Tintoret et son fils Domenico elle nous immisce dans les familles des peintres de l'époque ou les talents ne se transmettaient pas toujours. Mais où le sens familial était très important.
C'est d'ailleurs Domenico, le fils du Tintoret qui va reprendre le pinceau sous l'oeil critique mais finalement bienveillant de celui-ci.

Jacopo Tintoret affecté par le tribunal de l'inquisition envoyé par Rome et par la perte de sa fille va alors se laisser mourir

Ce livre m'a beaucoup plu, dans ce qu'il m'a livré de l'histoire de l'art. Les portraits des artistes sont très réalistes et l'auteur a su magnifiquement nous faire suivre cette épopée. Celle d'une oeuvre grandiose qui occupera bien des vies et continue à nous émerveiller !

Le peintre au centre de toute l'attention reste Véronèse, un personnage reflétant magnifiquement cette époque, un magnifique artiste !

D'ailleurs la double couverture du livre est un détail du très beau tableau de Véronèse.

Après cette plongée dans le monde artistique du 16ème siècle à Venise me reste à découvrir l'oeuvre grandiose du Paradis comme quand à l'époque cette fresque fut découverte par les Vénitiens et leurs prestigieux invités.


N'hésitez pas, entrez au Paradis !

Et venez découvrir ce monde fascinant
de l'art à Venise au 16ème siècle.

N'hésitez pas à cliquer sur les liens qui sont visibles sur mon blog vous permettant de découvrir un peu plus
les peintres et les tableaux !



Lien : https://imagimots.blogspot.c..
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Venise 1577, un incendie a détruit le palais des Doges et les fresques qui en ornaient les murs. En cette fin de XVIème siècle, un concours est donc lancé pour peindre une représentation du Paradis, attirant les plus grands, entre autres Paolo Caliari qui vient de Vérone et est plus connu sous son surnom - Véronèse et le Tintoret, connu pour sa politique de dumping pour s'attirer les commandes. Entre espionnage de Véronèse pour s'emparer des esquisses de son concurrent et pression des mécènes sur le Doge, l'ambiance est à couteaux tirés et c'est un choix surprenant qui émerge pour cette fresque : Véronèse associé à Federico Bassano remportent le fameux concours. La mort de Véronèse va redistribuer les cartes et c'est finalement le Tintoret et son fils qui vont mener le projet à bien.

Concours pour le Paradis est un roman historique court mais très instructif sur les tensions qui ont jalonné la vie de la Sérénissime au XVIème siècle. Entre querelles de pouvoirs des Doges ou celles opposant les artistes lors de lancement de concours pour orner Palais ou demeures privées, Clelia Renucci parvient à rendre vivant ce bouillonnement de vie et ces forces qui s'affrontent constamment. Elle évoque le débat des arts libéraux et des arts mécaniques qui empêche la reconnaissance des artistes qui restent considérés comme de simples artisans, les différentes manières de peindre entre l'École florentine qui privilégie la ligne et le dessin - avec Raphaël, de Vinci et l'École Vénitienne de la couleur avec Titien ou Tintoret, la formation des peintres encore chez un maître, la répartition des travaux entre les différents collaborateurs, le manque de liberté de l'iconographie et la tutelle religieuse pour respecter les textes pouvant mener, si le programme est trop licencieux, à des représailles de l'Inquisition.
Concours pour un paradis est un récit très vivant, qui plonge le lecteur dans la vie difficile d'un peintre au coeur de Venise pendant son siècle d'or.
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Pendant plus de deux cent pages l'auteure nous offre une visite picturale de Venise, une façon de découvrir ou redécouvrir l'histoire de cette cité si particulière. Si cette petite histoire devait durer deux ou trois ans maximum, c'est pendant vingt longues années que les peintres vont s'opposer, tenter de prendre l'ascendant sur les plus jeunes ou même ne pas hésiter à se voler leur esquisse ! Bref, une belle mise en lumière d'un moment de l'histoire que je ne connaissais que de loin !

Dès les premières pages, on est happé dans la Venise de la Renaissance. Cette petite République, si puissante depuis la bataille de Lépante, est admirée et tant convoitée par les puissances européennes. On sent que Clélia Renucci a passé des heures à éplucher minutieusement les archives pour nous livrer de si croustillants détails sur ce concours, sur les volontés de Rome concernant les fresques religieuses depuis le Concile de Trente. Elle a réalisé un brillant tour de force car elle nous plonge en totale immersion dans les querelles artistiques de l'époque ! Elle parvient à merveille à nous (dé)peindre les ambiances si particulières de la lagune, les personnalités complexes qui vont se côtoyer durant vingt ans pour remporter ce concours.

J'ai particulièrement aimé le fait que ce livre se lise comme une enquête historique ou bien comme un ouvrage scientifique sur la réalisation de cette immense toile ! L'écriture est fluide, captivante, mais il y a pour moi un tout petit bémol… Après la mort du grand Véronèse, je trouve que l'histoire perd un peu de sa fraicheur et souffre parfois de quelques longueurs.

Mais j'ai appris des tonnes de choses et pour un premier roman c'est très prometteur ! Une lecture que je vous conseille pour l'été, c'est frais, c'est facile et c'est très instructif !
Lien : https://ogrimoire.com/2020/0..
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Le 20 décembre 1577, le palais des Doges à Venise,est ravagé par un incendie,rien ne subsiste de la salle du grand conseil et l'immense fresque représentant le paradis est détruite. Peu après, le Doge : Sebastiano Venier réunit son conseil et lance l'idée d'un concours : il faut refaire la fresque le paradis ,mais en immense toile peinte à l'huile.
Mettant en compétition plusieurs grands peintres de l époque, une sélection sera faite et deux retiendront le choix du conseil et du Doge .
Cette magnifique fresque demandera 28 ans de travaux,car si au départ deux peintres avaient été désignés, la mort d'un des peintres va susciter beaucoup de remous. Intrigues,rebondissements, dėchirements, dans une Venise renaissante du 16ème siècle m'ont transportés et j'ai apprécié ce roman.Clelia Renucci s'est beaucoup documentée sur l'histoire de ce PARADIS, et réussit avec talent à nous embarquer dans cette Italie florissante, à RECOMMANDER. ⭐⭐⭐⭐
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Venise, 1577. Un grand incendie se propage au Palais des Doges. La salle du Grand Conseil est la plus touchée. Il s'y trouve plusieurs grandes oeuvres de la Renaissance dont l'immense toile du Paradis qui est totalement brûlée. Des projets sont lancés pour la rénovation. Un concours est rapidement organisé afin de sélectionner le peintre chargé de recréer la magnifique oeuvre qui ornait le palais. Véronèse, Tintoret et les plus grands maîtres vénitiens se trouvent en rivalité. Puis, les travaux commencent. Un conseil est créé pour départager les artistes et désigner celui qui conduira entièrement le projet. Véronèse est finalement sélectionné. Mais, un évènement malheureux stoppe son travail. Un deuxième concours est alors organisé.


"Tout était dévasté, consumé, calciné. C'est de cet enfer qu'allait renaître le Paradis."
Avec ce livre, Clélia Renucci nous emmène au coeur du Palais des Doges et de la cité vénitienne durant la Renaissance. On y rencontre Bassano, Palma le Jeune, Véronèse, Tintoret et les plus grands noms de l'époque.

L'autrice retrace les événements, nous parle de l'oeuvre, des techniques du dessins, des couleurs, des matières, de la signification des personnages, de ce qu'elle représente et des exigences imposées notamment par le Pape.

Elle nous parle aussi des rivalités artistiques, de politique et de famille en présentant la vie intime et personnelle des peintres ainsi que leurs sources d'inspirations.

Bienvenue dans le monde de l'art de la Renaissance en Italie, du Palais des Doges jusque dans les plus petites ruelles de la cité. On traverse le ponts, on emprunte les bateaux, on découvre la vie des peintres durant presque trente ans.

Avec une plume très fluide, ce roman se lit facilement malgré la palette de personnages cités et les différents événements historiques de l'époque. C'est aussi le fruit d'un gros travail de recherches et d'études effectués par Clélia Renucci.

Un roman absolument passionnant !

Lien : http://labibliothequedemarjo..
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La fresque qui doit représenter le Paradis est l'objet de beaucoup de controverses : quelle doit être la part de divin, et quelle place y auront les hommes ? Il semble que l'auteur n'ait pas tranché. Tantôt la toile est au centre du récit, tantôt ce sont les peintres qui occupent le devant de la scène. Cette hésitation constitue la force et la fragilité de ce roman dont l'érudition enlève quelquefois aux personnages leur part d'humanité. À certains moments (pas souvent heureusement), j'ai eu l'impression que certaines informations (fruits d'une longue recherche) étaient plaquées un peu gratuitement. J'aurai préféré que l'auteur prenne complètement le parti de raconter les peintres. Il en résulte une écriture sage et académique qui, certes, ne conviendrait pas au Caravaggio. Et puis, plane sur ce livre l'ombre de Dominique Fernandez qui a consacré toute son oeuvre aux coulisses de l'histoire de l'art italienne. Non que Renucci fasse moins bien (ça repose de ne pas lire des histoires de cazzo toutes les trois pages!) mais j'ai ressenti parfois une impression de déjà-lu quelque part. La faute au brillant académicien. Il n'en demeure pas moins que ce roman donne envie d'aller redécouvrir l'oeuvre et de la scruter avec plus d'attention. Au fait, je cherche désespérément un roman consacré à la bataille que se livraientt Venise et Gênes à leur apogée. Si quelqu'un a des idées...
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