bonjour,un deuzieme tome comme le premier qui se laisse lire mais qui est tres court et finalement reste une deception,je ne vous le conseille pas.
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Le lendemain de cette partie carrée, ma cousine Julia me rend visite. C’est une vraie matrone romaine, imposante et bien en chair. Une veuve d’une quarantaine d’années mais qui en paraît quelques-unes de moins. Les médisants lui prêtent des mœurs très libres et un appétit de jouissance effréné. Ils n’ont pas tort.
Je ne suis donc pas fâché de m’accorder un moment de repos. Il faudra que je sois en pleine possession de mes moyens pour accueillir cette perle. En conséquence, Dagmar, Ada et Nisa sont consignées dans le quartier des esclaves et contraintes aux travaux les plus rebutants jusqu’à ce que je lève leur punition.
Un soir, j’emmène mes esclaves à Ostie, le port de Rome. On y trouve de nombreuses tavernes peu recommandables, fréquentées par une foule de gueux. Essentiellement des ouvriers du port, des vagabonds, des voyous prêts à tout pour une poignée de sesterces, et des prostituées.