Pour les psychologues d’aujourd’hui, le Vampire est un mythe. Plus qu’une création de l’imagination, il répond à de fortes aspirations de sublimation, de pervertissement et d’effroi, déclenchées par une obsession pathologique de la mort et déterminées par la croyance religieuse. Le vampirisme est refoulement et affolement, désespérance totale, rejet dans le monstrueux de la grande énigme de la mort.
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