Quelqu’un m’a dit un jour que la mort est aussi naturelle que la naissance, qu’elle fait partie du cycle infini de la joie et de la douleur humaine. Aucun d’entre nous n’y échappera, et notre incapacité à accepter notre propre mort et celle de ceux que nous aimons est inhérente à notre condition d’êtres humains. Peu importe de quelle manière la mort frappe nos proches, leur disparition est inacceptable pour ceux qui restent.
[...] Souviens-toi que l’amour ne se commande pas. S’il n’existe pas, alors, on ne peut pas le fabriquer.
Elle ne pouvait tout simplement pas imaginer retourner dans la maison de ses parents dans le Surrey et attendre qu’un mari comme il faut vienne la choisir comme un livre qu’on prend sur une étagère.
Julia se sentait un peu étourdie par tous les souvenirs qui remontaient à la surface. Lorsqu'elle sortit de la voiture et qu'elle se dirigea vers la maison, même les odeurs lui parurent familières : l'herbe humide, fraîchement coupée, et le parfum subtil du jasmin qu'elle reconnaissait à présent.
Peu importe de quelle manière la mort frappe nos proches, leur disparition est inacceptable pour ceux qui restent.
Il faut vivre l'instant présent, c'est tout ce que nous avons.
Quelqu'un m'a dit un jour que la mort est aussi naturelle que la naissance, qu'elle fait partie du cycle infini de la joie et de la douleur humaine. Aucun d'entre nous n'y échappera, et notre incapacité à accepter notre propre mort et celle de ceux que nous aimons est inhérente à notre condition d'êtres humains.
Peu importe de quelle manière la mort frappe nos proches, leur disparition est inacceptable pour ceux qui restent.
A travers la souffrance et la joie que j’ai connues durant le voyage que j’ai commencé, bien malgré moi, il y a deux ans, j’ai appris la leçon la plus importante que la vie puisse nous donner et j’en suis très heureuse.
Il faut vivre l’instant présent, c’est tout ce que nous avons.
J’ai perdu une fille, tu as perdu une mère. C’est la vie et la mort, ajouta Lidia en lui souriant. Et n’oublie pas, Julia : celui qui apporte de mauvaises nouvelles en apporte aussi de bonnes. Car tu es là. Nous sommes assises l’une en face de l’autre, enfin réunies, à l’endroit même où j’ai rencontré ton grand-père et où je suis tombée amoureuse de lui. Il y a une vraie beauté, là-dedans, n’est ce pas ?
- Quelqu’un doit bien avoir conçu et crée cette nature, dans toute sa beauté et son incroyable complexité.
- Alors, vous êtes déjà un bouddhiste. La nature nourrit l’esprit, dit Lidia en contemplant la lune avec lui.