Citations sur Percy Jackson et les Olympiens, tome 2 : La mer des m.. (72)
Un trident vert lumineux tournoyait au-dessus de Tyson. Le même symbole était apparu au dessus de ma tête le jour où Poséidon m'avait reconnu comme son fils.
Il y eut un moment de silence impressionné.
Il était rare qu'un dieu vous revendique comme étant son enfant. Certains pensionnaires attendaient ce moment leur vie durant, en vain. Lorsque Poséidon m'avait reconnu,l'été dernier, toute le monde s'était agenouillé en signe de respect. Mais là, les pensionnaires ont suivi l'exemple de Tantale, qui s'exclaffait bruyament.
Mais il sut avant que cette fille parle :
-Je suis Thalia fille de Zeus
- Cette ombre que j'ai vu ce matin, c'était ... (Je me senti rougir.) Par les dieux, tu regardais par la fenêtre de ma chambre ?
- J'ai pas le temps de t'expliquer ! a-t-elle répliqué d'un ton sec, même si ses joues s'empourpraient aussi. Je ne voulais pas ...
(Annabeth à Percy)
Et tu ne trouve pas ça bizarre que ce magasin -la soit apparu juste après que tu as dit à Tyson d aller chercher des beignets ? Comme ça , au beau milieu de la forêt ?
J ai réfléchi à la question . Certes , ça semblait un peu étrange ,mais, bon, les magasins à beignets ne figuraient pas en haut de ma liste de forces de mal
p.227.
- Hubris signifie orgueil démesuré, Percy. Quand tu crois que tu pourrais faire les choses mieux que tout le monde... y compris les dieux.
- C’est ton cas ?
Elle a baissé les yeux.
- Tu ne te dis jamais : et si le monde était vraiment foutu ? Si nous pouvions le reconstruire entièrement, en repartant à zéro ? Plus de guerre. Zéro SDF à la rue. Plus de devoirs de vacances.
- Je t’écoute.
- Je veux dire, l’Occident représente un certain nombre des plus belles réussites de l’humanité, c’est pourquoi la flamme brûle encore. C’est pourquoi l’Olympe est encore là. Mais parfois, tu ne vois que ce qui va mal, tu sais ? Et tu te mets à penser comme Luke : Si je pouvais démolir tout ça, je ferais mieux. Tu ne t’es jamais dit ça ? Que toi, si tu dirigeais le monde, tu ferais ça mieux ?
- [...] As-tu une constellation préférée, Percy ?
J'avais encore l'esprit préoccupé par les petits serpents verts qu'il venait de fourrer dans sa poche de short, mais j'ai répondu :
- Euh, j'aime bien Hercule.
- Pourquoi ?
- Ben... parce que Hercule, enfin Héraclès plus exactement, avait la poisse. Encore pire que moi. Ça me rassure.
Mythologiquement parlant, s'il y a un type de créatures que je déteste plus que les trios de vieilles dames, ce sont les taureaux. L'été précédent, j'avais affronté le Minoataure au sommet de la colline des Sang-Mêlé. Cette fois-ci, ce que je découvrais était encore pire : deux taureaux. Et ce n'était pas des taureaux ordinaires ils étaient ; ils étaient en bronze et grands comme des éléphants. En plus, au cas où ce ne serait pas suffisant, ils soufflaient du feu par les naseaux, bien sûr.
Anabeth a regainé son poignard et m'a gratifié d'un regard noir
- merci ... ai-je bredouillé. Je suis vraiment désolé...
(...)
- je suis contente que tu ne sois pas un cochon d'inde
- moi aussi
Les monstres ne meurent jamais. Ils renaissent du chaos et de la barbarie qui couvent sous toute civilisations, c'est cela même dont se nourrit Cronos
Dionysos avait tout du sale môme, mais c’était un sale môme immortel et extrêmement puissant.