- Par pitié, Eve, ne pleure pas, l'implora Connors qui s'avança vers elle, bonleversé par ses larmes. Traite-moi de tout les noms, frappe-moi si tu veux, mais je t'en prie, ne pleure pas.
[...]
- Ne m'abandonne pas Connors. J'ai besoin de toi.
- Je t'aime Connors, murmura t-elle dans un souffle, presque effarée d'entendre ces mots franchir ses lèvres.
La vague d'émotion qui submergea Connors à cet instant fut à l'image d'un orage d'été : violente, rapide et bienfaisante. Avec douceur, il pressa son front contre le sien.
D'un tiroir, Connors sortir un ridicule petit triangle de tissu assortir qui aux yeux d'Eve ne méritait sûrement pas le nom de slip. Elle le prit dans sa main tendue et l'essaya sans conviction.
- Celui-là ne risque pas de rétrécir au lavage. Ou alors il disparaît, ironisa t-elle après coup d'oeil au miroir.
La vague d’émotion qui submergea Connors à cet instant fut à l’image d’un orage d’été : violente, rapide et bienfaisante.
Edward Simpson, chef de la police et de la sécurité, était un personnage imposant. Du haut de son mètre quatre-vingt-dix, il dégageait une aura de pouvoir et d’autorité créée de toutes pièces par ses conseillers en communication : costume sombre agrémenté d’une cravate rouge vif, lèvres constamment pincées, yeux bleu acier, une couleur qui selon les sondages inspirait confiance aux lecteurs.
Bonne intrigues et avec un humour comme j'adore des deux personnages principaux