On n’en a rien à foutre de l’écologie. On est tous d’accord là-dessus. C’est une véritable escroquerie intellectuelle. L’important est de gagner de l’argent en provoquant des guerres pour éliminer un maximum de personnes.
Le nazisme était une machine de destruction complexe à gérer et elle nécessitait de nombreux moyens humains. Or, les moyens humains sont par définition aléatoires dans leurs comportements. On n’a rien contre les Juifs, les Tziganes, les Roms, les Arabes ou les Noirs en particulier. Il faut juste beaucoup moins de monde sur cette planète qui ne supportera pas le développement des populations. Et il y a une telle masse d’imbéciles…
Pendant son adolescence, il n’avait eu de cesse que de trouver des échappatoires pour tenter d’oublier. « Oublier » était d’ailleurs son maître mot… Après avoir essayé de dépuceler quelques gamines de son entourage, expériences qui, toutes, tournaient à l’échec, en vieillissant il s’était plongé dans des beuveries géantes en profitant des charmes féminins payants. Avec le temps il avait fini par acquérir de l’assurance et il avait compris que son charme de jeune adulte était capable de faire des ravages. Il changeait de petite amie au gré de ses humeurs et plaquait systématiquement toutes les filles qui lui résistaient. À cette époque, Édouard estimait qu’il n’y avait pas de salut en dehors d’une grosse partie de coucherie… Au grand drame de son entourage
La confidentialité est toujours problématique dès qu’une information est partagée par plus de deux personnes…
La vie n’apportait pas que des satisfactions.
La souffrance n’est qu’une habitude… Au début, c’est toujours désagréable puis on s’y fait et longtemps après, elle devient jouissive… Ce n’est qu’une question de patience.
C’est bien connu, on fait toujours une erreur en s’introduisant dans une propriété comme un voleur.
— Moi non plus ! Une chose me paraît simple : on n’a pas fini d’éradiquer les branches de l’hydre…
— Quoi ? interrogea Julien.
— Tu ne connais pas le principe de l’hydre ?
— Vas-y, je t’écoute.
— Tu en coupes un morceau, il en repousse dix… En gros, c’est le principe.
On est toujours en situation de massacre, mais permanent… Et qui trinque ? Comme toujours les civils et les populations vulnérables.
Tous tournaient autour des types de massacres observés au cours de l’histoire de l’humanité. Chaque massacre était détaillé par des notes d’archives et enrichis par des commentaires écrits apparemment tous de la même main. Avec l’avènement de la photographie, les événements les plus récents étaient illustrés par des documents visuels de plus ou moins bonne qualité. Tous étaient stupéfiants, voire troublants… L’horreur était présente sur chaque cliché.