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Citations sur Le temps viendra (3)

ACTE III
La nuit. Grand clair de lune.- Dans la cour d'une ferme, devant la maison de Debora. Une citerne au milieu. Des eucalyptus forment un rideau, au fond, au dessus des hauts murs.
A droite, une porte cochère, par où des officiers entrent et sortent à tout moment.
A gauche, la maison ; on monte, par quelques marches, à une large véranda, où Lord Clifford est debout près d'une petite table, éclairée par une lanterne, et chargée de papiers, de cartes, de verres et de flacons de liqueur.
Lawrence et Clodds, assis sur des pliants, écrivent.
Dans la cour, au dessous de la véranda, une autre petite table et des chaises de jardin.
Des soldats sont en faction à l'entrée de la grande porte.
- Quelques jeunes aides de camp causent entre eux, debout, dans la cour, au bas de l'escalier, attendant les ordres du maréchal.
(lever de rideau du troisième acte de l'édition parue chez "Albin Michel" en 1938)
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ACTE PREMIER
Grande salle aux larges fenêtres. De robustes meubles : tables et chaises massives, lit de noyer. Les murs nus. Les vitres, voilées d'épais rideaux, au travers desquels regardent anxieusement une dizaine de femmes, pressées les une contre les autres.
Debora Erasmus de Witt entourée de ses servantes. Une d'elle porte le petit David. La vieille Noëmi, assise, le dos tourné à la fenêtre, tient la Bible ouverte sur ses genoux. Elles parlent à mi-voix, avec de brusques éclats, où l'on sent la terreur, la haine, l’exaltation religieuse. - Au dehors, des fifres et des tambours jouent une marche militaire.
(lever de rideau de l'acte premier de l'édition parue chez "Albin Michel" en 1938 - et qui contient aussi "Pâques-Fleuries", premier tome du théâtre de la révolution)
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ACTE II
- Aux avant-postes.- Au loin, l'immense plaine sablonneuse, parsemée d'arbustes rabougris, qui se gonfle et se creuse de grandes vagues de terre et de hautes herbes, comme la campagne romaine. Le lieu de la scène est la crête d'une de ces vagues, d'un kopje, formé par l’amoncellement de quartiers de minerai de fer entre lesquels poussent de rares fougères et des chardons argentés. De là, des sentinelles dominent, au fond, un vallonnement invisible au public, où est le camp des femmes et des prisonniers.
- A l'horizon, des collines qui ondulent, comme des dunes.
- Un poste de soldats à droite. Owen et le jeune soldat Alan, au premier plan, causent en mangeant leur pain. Des officiers et des reporters viennent, au sommet du kopje, regarder avec leurs jumelles. Des soldats poussent une troupe de prisonniers par le sentier qui descend du kopje au camp.
(lever de rideau du deuxième acte de l'édition parue chez "Albin Michel" en 1938)
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