Je pensais t'épargner

En tant que Maman le sujet m'a fait un peu peur... et pourtant ! Livre dévoré en 24 heures... le plaisir de retrouver Alexane et son équipe, Pauline l'avocate justicière... et une histoire où des tabous sont évoqués avec pudeur : les hommes battus et la maltraitance sur enfant... souvent les larmes ont effleurés mes yeux, mon coeur a battu plus fort... comme d'habitude Pétronille a su distiller le suspens sans effusion de sang, sans cadavres à toutes les pages... du bon thriller psychologique !
Elle sait être précise sur des détails mais sans entrer dans le voyeurisme…
On se prend, bien évidemment, à espérer une amitié entre Alexane la forte tête et Pauline la rebelle… si elles savaient à quel point elles se ressemblent sur certains traits de leur caractère ! Et la fin... que je sentais arriver... ne m'a pas déçue... Déjà hâte de lire le prochain roman de cette auteure que je suis depuis le début et qui n'a jamais déçue !

C'est bien simple, pendant 2 jours, je n'y étais pour personne! J'ai lu tous les livres de cet auteur et comme à chaque fois, il a été difficile de le poser une fois commencé... Intrigue bien menée. C'est très bien écrit. La noirceur du sujet est traitée avec justesse. Effectivement le style de l'auteur a évolué. J'ai adoré. Je recommande ce roman.

Très bon thriller psychologique qui m'a scotchée du début à la fin. L'écriture est fluide . Facile à lire. Pas de meurtres toutes les pages ... mais une emprise intellectuelle bien menée. Je ne connaissais pas cet auteur ; j'irai probablement lire ses autres écrits . On sub odore la fin; et bien on a tort; la fin est inattendue et cependant tout à fait plausible.

Un prologue choc mais dont la fin donne une petit bouffée d'espoir et puis l'histoire commence et là, après que l'espoir s'est éteint, on n'a plus qu'une seule envie, apprendre qui, apprendre pourquoi et le voir payer!

J'ai pris beaucoup de plaisir à retrouver la commandante Alexandre Laroche et la voir mener l'enquête avec son équipe. Des investigations très complexes pour d'abord découvrir l'identité de la victime et puis ensuite, appréhender le coupable tant les différents suspects se rejettent la balle.

Beaucoup de plaisir aussi à retrouver mon avocate préférée, Pauline Carrel. Elle s'est prise en charge. Elle a perdu de sa froideur et commence à ressentir de l'empathie pour les victimes. Un dossier qui sera d'autant plus difficile pour elle car il va lui rappeler son propre vécu. Serait-ce l'occasion pour elle de comprendre une part de sa propre histoire à travers celle de cette petite fille?

Une intrigue tenace, bouleversante et diaboliquement efficace. Outre la maltraitante infantile, elle s'intéresse également à un sujet rarement abordé, celui des hommes battus. Démêler le vrai du faux s'avère ici très complexe. Des dépositions qui sont revues. Des attitudes qui paraissent suspectes. C'est finement mené et très bien orchestré. Les faits ne vont pas tourner comme on s'y attend et la fin va être terrible!

Une auteure dont la plume sait se faire intense, prenante, bouleversante et dramatique. Une belle maturité dans ce texte dont l'intrigue mais aussi les personnages ont été travaillés avec doigté et parfaitement approfondis. Pétronille Rostagnat est devenue pour moi une valeur sûre du Thriller, une auteure à suivre que je vous recommande les yeux fermés.

L'auteure Pétronille Rostagnat a su me saisir une nouvelle fois car, j'ai lu ce cinquième roman en 2 jours, comme les précédents romans de cette auteure je trouve que ce roman est également très addictif. L'auteure a l'art du suspense et chaque fin de chapitre nous invite à lire les chapitres suivants. L'on découvre au début du roman le corps d'une petite fille enfermé dans le coffre d'une voiture et il faut attendre les toutes dernières pages du roman pour comprendre et découvrir le responsable d'un acte aussi épouvantable. La fin est glaçante et troublante et totalement inattendue...à lire absolument car l'auteure a un réel talent et chacun de ses ouvrages est une pépite. Il faut lire également ses quatre premiers romans .