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4.09/5 (sur 1716 notes)

Nationalité : France
Né(e) à : Nice , le 29/08/1980
Biographie :

Pétronille Rostagnat est une auteure française de romans policiers. Globetrotteuse, elle occupe plusieurs postes en marketing avant de se lancer dans l’écriture en 2015. En sept romans, elle s’est imposée comme une des révélations du polar français. Récompensée par le Prix Cognac 2022 du meilleur roman francophone pour J’aurais aimé te tuer et du Grand Prix Iris Noir Bruxelles 2023 pour Quand tu ouvriras les yeux, elle participe actuellement à l’adaptation audiovisuelle de ses deux derniers romans.
site officiel : www.petronille-rostagnat.com
page Facebook : https://www.facebook.com/petronille.rostagnat



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À l'occasion de la 19ème édition des quais du polar à Lyon, Pétronille Rostagnat vous présente son ouvrage "Quand tu ouvriras les yeux" aux éditions HarperCollins. Retrouvez le livre : https://www.mollat.com/livres/2747951/petronille-rostagnat-quand-tu-ouvriras-les-yeux Note de musique : © mollat Sous-titres générés automatiquement en français par YouTube. Visitez le site : http://www.mollat.com/ Suivez la librairie mollat sur les réseaux sociaux : Instagram : https://instagram.com/librairie_mollat/ Facebook : https://www.facebook.com/Librairie.mollat?ref=ts Twitter : https://twitter.com/LibrairieMollat Linkedin : https://www.linkedin.com/in/votre-libraire-mollat/ Soundcloud: https://soundcloud.com/librairie-mollat Pinterest : https://www.pinterest.com/librairiemollat/ Vimeo : https://vimeo.com/mollat

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Citations et extraits (179) Voir plus Ajouter une citation
" Lorsque notre haine est trop vive, elle nous met au-dessous de ceux que nous haïssons. "

François de La Rochefoucauld

(page 9).
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Tu vas me manquer, papa.
Je ne sais pas comment on va faire sans toi.
Tu n'as pas toujours été là pour moi et je te mentirais si je te disais que ce constat ne me fait pas mal, mais...
aujourd'hui je comprends pourquoi tu t'absentais autant.
Ces dernières semaines m'ont permis de voir que ton unique but était de faire le bien.
Tu voulais aider toutes ces familles à faire leur deuil en découvrant ce qui était arrivé à leurs proches.
Tu as consacré ta vie aux autres en définitive, au détriment de ceux qui t'aimaient le plus. Quelle ironie !
Je compte sur toi pour veiller sur nous de là-haut.
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Deuxième coup de couteau près de sa poitrine cette fois-ci. C’était la
fin. Il sut qu’il allait mourir, là, par terre, sur le sol sale et froid. Il ne
comprit pas comment il en était arrivé là ? Qu’avait-il bien pu commettre
comme erreur pour finir ainsi ? Il était comme paralysé. Il abandonna son
corps à son meurtrier. Elle ne partirait pas. Elle était là pour en finir. Il
l’avait compris dans son regard.
Un dernier souffle…
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Sous le choc, elle aurait dû paniquer, commettre des erreurs, laisser derrière elle des traces de son forfait. Mais non, elle avait nettoyé la scène de crime mieux qu'une professionnelle dans son esprit : ce n'était pas son premier meurtre !
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Leur métier coulait dans leurs veines et les sacrifices sur la vie personnelle et le sommeil faisaient partie du package.
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– Pas content de me revoir ?
Elle s’avança telle une féline qui s’approche de sa proie, tout en
sensualité. Elle était là devant lui. Il ne réagit pas. Il était sur la défensive.
Mais qu’est-ce qu’elle faisait là ? Il s’attendait à recevoir un interrogatoire
en bonne et due forme.
– Détends-toi mon lapin. Je ne dirai rien. Cela sera notre petit secret.
Elle glissa une main dans ses cheveux et approcha ses lèvres. Il la
laissa faire. Elle, elle n’avait pas bu ce soir. Son haleine était douce et
chaude.
– Je te sais plus entreprenant, lui susurra-t-elle à l’oreille.
Soudain, une douleur immense dans son ventre le submergea. Nathan
ne put retenir un cri de douleur. Il se cambra. Vit le couteau plein de sang.
Une main le saisit par les cheveux. Elle sourit et le jeta en arrière en
s’aidant de sa jambe droite. Sa tête cogna violemment le mur. Il tomba de
tout son long sur le sol. Il était à moitié assommé mais la douleur était telle
qu’il retrouva vite ses esprits. Il ne soupçonnait pas qu’elle puisse avoir une
telle force. Il voulut se relever. Vite, réagir. Lui prendre le couteau. Se
défendre. Mais elle était rapide et souple. Elle leva la jambe et enfonça son
talon dans sa plaie. Il hurla.
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– Tu jouis mon lapin ? C’est bon, hein.
Elle enfonça encore un peu plus son talon dans ses entrailles.
– Allez, crie. Je veux t’entendre hurler. Ça m’excite.
Il porta ses mains autour du talon par instinct. Il voulait l’enlever, ne
plus souffrir. Mais il n’avait plus de force, il allait s’évanouir.
Elle retira sa chaussure. La douleur était encore plus intense. Il eut la
sensation de se vider littéralement de son sang. Il porta ses mains sur son
ventre. Il voulait naïvement stopper son hémorragie. Il fallait se concentrer,
vivre, respirer. Il pria pour qu’elle parte, là, maintenant. Il pouvait encore
s’en sortir. L’estomac n’était pas touché. En tout cas, il l’espérait. Il voulut
la supplier de le laisser mais aucun son ne sortit de sa bouche, juste un cri
plaintif. Elle éclata de rire. Elle lui parla mais il n’entendit rien. Tout était
flou, confus. Avec son pied, elle revint à la charge et lui écrasa l’épaule
droite l’obligeant à lui faire face.
– Regarde-moi, hurla-t-elle.
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Cela faisait une semaine qu'elle était à cran...Depuis le dernier coup de poing...Le bleu sur la joue s'estompait de jour en jour.
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Jean sentit ses jambes se dérober. Mais de qui parlait -il? Assommé par tout ce qu'il avait entendu, il se laissa gagner par l'l'effroi .Il n'eut pas le temps de réagir. Un groupe d'hommes qu'il n'avait pas vu approcher se déployait déjà autour d'Yves,armes pointées droit sur lui.Les quatre lettres écrites sur leurs gilets pare-balles annonçaient l'importance de l'intervention : RAID.Yves n'opposa aucune résistance. Genoux à terre,mains dans le dos ,tête baissée, il acceptait la sentence.( Page 277).
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𝑬𝒏 𝒕𝒂𝒏𝒕 𝒒𝒖𝒆 𝒎𝒆̀𝒓𝒆, 𝒆𝒍𝒍𝒆 𝒏’𝒂𝒗𝒂𝒊𝒕 𝒑𝒂𝒔 𝒔𝒖 𝒑𝒓𝒐𝒕𝒆́𝒈𝒆𝒓 𝒔𝒐𝒏 𝒆𝒏𝒇𝒂𝒏𝒕 𝒆𝒕 𝒅𝒆𝒗𝒂𝒊𝒕 𝒆𝒏 𝒑𝒂𝒚𝒆𝒓 𝒍𝒆 𝒑𝒓𝒊𝒙. 𝑶𝒏 𝒏𝒆 𝒏𝒂𝒊𝒔𝒔𝒂𝒊𝒕 𝒑𝒂𝒔 𝒎𝒐𝒏𝒔𝒕𝒓𝒆, 𝒐𝒏 𝒍𝒆 𝒅𝒆𝒗𝒆𝒏𝒂𝒊𝒕.
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