Divergente, tome 3 : Allégeance

Troisième tome beaucoup moins bien que les deux premiers, moins intéressant, les deux personnages principaux ne sont pas aussi captivants que dans les premiers tomes ...La série s'éssoufle un peu dans ce troisième volet.
Le final laisse une pointe de déception alors que la situation est plus que palpitante,Série à recommander à tous ceux qui aiment ce genre de littérature. Les 3 tomes se lisent très rapidement dès lors qu'on entre dans le roman et que l'on veut connaître les destins des personnages principaux. Vision intéressante de ce que nous pourrions faire de notre monde!
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Heureusement ce livre est sauver par sa fin . Car sinon …. Sans intérêt … déjà que je n était pas fan du couple tris / Tobias alors la c est encore pire ! Et puis … c est fade quoi ! le livre n arrive pas à m emporter et je l ai refermer si souvent en me disant que je lirai la fin une autre fois que j ai finalement mis deux mois pour le terminer ! Mais heureusement comme je le disait il est sauver par sa fin qui elle est vraiment bien ! Alors je ne le recommanderai pas mais ce n est pas un mauvais livre

*Lu en VO*

"Wesh ! Alors j'ai 16 ans et demi, je suis trop une rebelle, je sais tout mieux que tout le monde, et si t'es pas content, j'te bute, wesh ! Par contre je suis trop pure, je fais pas de sexe avant le mariage !"

Bon bah voilà, ayant trouvé le 1er tome ultra-cucul mais intéressant pour le côté dystopie, puis ayant trouvé le second niais au possible, je me suis trouvée bien obligée de lire le 3eme (j'ai du mal à ne pas finir ce que j'ai commencé, même si c'est un peu maso parfois).

L'héroïne est toujours aussi chiante et insupportable. La ptite nouveauté est le point de vue de son keum tous les 2 chapitres. Bien joué l'auteure pour amener sa suite de bouquins.
Encore si le côté dystopie était un peu plus recherché, pourquoi pas. Mais rien n'est logique, le comportement des gens est absurde.
Bref le concept aurait pu être cool mais c'est bâclé.

Sinon, peut-être qu'un lecteur pourra m'éclairer. le concept de la société divisee en factions m'est étrangement familier. Au collège (il y a fort fort longtemps), j'avais lu un roman jeunesse qui se déroulait dans le même type de cité : les gens divisés en factions, tous habillés d'une même couleur par segment, en fonction de leur place dans la société je crois. Impossible de m'en rappeler plus. Si ça vous dit quelque chose... merci de m'en faire part !

/!\ ATTENTION SPOILER /!\
Quand j'ai terminé Divergente 3, mon premier réflexe a été de voir ce qu'en ont pensé les gens, convaincue que beaucoup étaient du même avis que moi. Ça n'a pourtant pas été le cas.
Plus je regardait les commentaires et les notes, plus mon incompréhension grandissait .
Ayant littéralement adoré les deux premiers tomes emprunté à la bibliothèque (bien que plus emballé par le 1), j'ai donc tout naturellement lu le 3, à la seule différence que celui-ci je l'ai acheté, en plus de cela.
J'ai commencé ma lecture en dévorant les pages, captivée et intriguée avec nombres de questions qui résonnaient dans ma tête, et surtout celle-ci : Qu'il y a t-il derrière la Clôture ?
Les premières pages du livre étaient pour moi un amuse-bouche, j'en espérait tant de ce dernier tome de la saga...
Mais rien.
Tris, Tobias, et leurs amis découvrent le "derrière la Clôture". Et rien que là, j'ai été déçu.
Votre question est : A quoi tu t'attendais ?
Ma réponse est : A mieux.
A mieux, parce qu'après avoir dévoré deux bouquins incroyables, le trois doit ficeler tout cela et être à la hauteur des précédents, surtout quand l'intégralité du tome deux prépare le 3. En commençant par l'univers. Excusez-moi d'écrire cela, mais derrière la barrière finalement il y a quoi ? Des "scientifiques" qui étudient les Divergents. OK.
Et ?...
Et c'est tout, rien d'autres.
Ensuite ce sont enchainé des événements tous plus ennuyants les uns que les autres. J'en venait à me demander : mais qu'est ce que nos héros font là ? Finalement, à quoi à servit ce tome ?
Et puis la relation Tris-Tobias dans ce tome... Sérieusement... Après tout ce qu'ils ont pu vivre ensemble, les épreuves traversées... Pourquoi et comment ont-ils pu être jaloux comme deux adolescents de 12 ans parce Tobias était amie avec une fille et Tris avec un garçon ? Ça aurait pu être intéressant, car cela les confronte à de nouveaux problèmes pour leur couple, si différent de ceux qu'ils ont connu avant. Mais dans ce cadre-là, après tout ça, un amour rendu si fort (alors qu'il l'était déjà aussi avant) par les épreuves, ils ne sont même pas capable de se parler comme deux personnes matures. Ils ont réagi de façon puérile malgré tout ce qu'ils ont traversé ensemble. Si encore ça me déplaisait seulement, mais là c'est aussi carrément incohérent et dénué de sens. Ce n'était qu'un exemple, mais il y a aussi tellement d'autres problèmes dans ce livre que je ne vais pas aborder, car je n'en vois pas l'intérêt, la conclusion reste la même : j'ai été déçue, déçue et déçue.
Si je met deux étoiles, c'est pour la fin.
Certes, elle a été vraiment affreuse, mais elle a vraiment rendu un final digne de ce nom. Ça c'est une fin.

je dois avouer être extrêmement déçu de ce dernier tome, c'est dommage, moi qui espéré une fin à l'image des tomes précédents: original et bouleversante!
je peux comprendre le choix de l'auteure pour sa fin qui est assez dure, mais les comportements des personnages qui
jusqu'à présent avaient été simplement humain et plein de réalisme ce sont avéré en quelques sorte "forcé" pour pouvoir conclure cette trilogie en un grand fracas. C'est dommage, j'en viens à me demander, si une fin plus classique n'aurait pas été préférable.

J'ai littéralement mis 2 ans à lire ce tome, tellement il m'a dégoûté de la lecture. Je crois que c'est l'un de pires livres que j'ai jamais lu, et pourtant j'ai lu Twilight et le tome 4 de 50 nuances de Grey. Déjà la fin du tome deux m'avait fait hausser quelques sourcils mais là, c'est la goutte d'eau. Quatre est totalement chiant, n'ayont pas peur des mots. Soit c'est une stupide dispute avec Tris, soit il s'auto-flagelle de ne pas être un Divergent et d'avoir les mauvais gènes. Bouh, bouh, bouh. Cette espèce de tension romantique entre le directeur du Bureau (Matthew? je crois) et Tris et l'espèce d'employée du Bureau dont le nom m'échappe avec Quatre m'a donné envie de hurler. Je n'ai absolument rien aimé dans ce tome sauf la fin. Je hais Tris et sa mort m'a fait beaucoup de bien. . C'est dommage car j'ai beaucoup aimé le premier tome et aussi apprécié le deuxième, mais toute la saga a été ruinée par cet ultime livre.

Je reste un peu mitigée sur ce tome donc je préfère parler de la trilogie en général. Donc, pour l'ensemble j'ai bien aimé cette série mais.... Je sais pas trop pourquoi mais je n'ai pas adoré comme la plupart des gens parce qu'il me manquait parfois cette petite étincelle qui fait qu'un livre est vraiment bon. de plus, dans le 2 et le 3, il y a vraiment quelques longueurs dans la narration donc pour moi le 1 reste le meilleur.

Je pense que mon avis est bien différent de l'avis général des gens.. ( je ne m'excuse pas ;)).
Divergente ( et je critique le dernier tome comme ça je conclu une bonne fois pour toute la trilogie) est une histoire au départ intéressante.. puis finalement nulle et vraiment pas originale.
Et oui pardon pardon..!
Je sais il faut argumenter..
Bha ok !
Une société parfaite qui finalement cache un terrible secret, une 'chef' sans coeur et qui est vraiment méchante ( qu'on me dise pas que ça ressemble pas à Hunger Games sur ce côté là !) de plus avec une histoire d'amour pour ma part chiante.... Pardon c'est mon avis ;-;
La fin... je veux rien dire pour ceux qui n'aiment pas les Spoils..
Donc non Divergente est loin d'être un livre que j'ai apprécié (pareil pour le film et encore c'est pire).
Je donne un 2/5 parce que il n'est pas non plus à pleurer !

Attention, cette chronique contient des spoilers.

Après un excellent premier tome et un second médiocre, Au-delà du mur conclut la saga Divergente par une amère déception. Lors de ma critique de L'insurrection, j'avais émis le souhait que cet ultime volet soit meilleur, mais hélas, ce n'est pas le cas.

Après avoir passé deux romans à suivre la narration de Tris, voici que l'auteur a choisi d'alterner avec Tobias. Si elle précise à chaque début de chapitre qui parle, on a tôt fait de l'oublier tant l'écriture est monocorde. Rien ne distingue les récits de l'un par rapport à ceux de l'autre. En plus de s'exprimer à la première personne, ce qui limite l'identification, l'expression est la même pour Tris et pour Tobias, si bien qu'on s'embrouille facilement.

C'est l'un des défauts majeurs de ce dernier tome, mais c'est loin d'être seul, le pire étant probablement Tris. Si, à force de mensonges et de manipulations, elle était déjà devenue passablement agaçante dans L'insurrection, cela ne fait qu'empirer. Elle sait tout, anticipe tout, réussit tout et a toujours raison. En plus d'être une super-divergente et, désormais, un gène pur, elle est immunisée contre tous les sérums, y compris le plus (littéralement) mortel d'entre eux.

En parlant de mort, la sienne semble beaucoup diviser les lecteurs. Pour ma part, je n'ai rien contre le fait que l'on tue un personnage principal. Au contraire, je préfère encore cela au héros qui s'en sort toujours indemne malgré le danger. le problème, c'est que celle de Tris tombe presque comme un cheveu sur la soupe. Elle survit à tout, mais elle meurt trop « bêtement ». Moyen de la transformer en martyr ou de nous montrer qu'elle n'est pas invincible, après avoir sous-entendu le contraire pendant un millier de pages et demi ? Dans les deux cas, c'est un échec.

C'est également ce que l'on pourrait dire des révélations qui surviennent dans ce tome. Toute cette histoire autour de l'ADN est si abracadabrante qu'elle paraît difficilement crédible. Et puis, cette idée de pouvoir reprogrammer les mémoires à zéro pour effacer des esprits ce qui arrange le gouvernement est beaucoup trop simple à mon goût, tout cela pour persuader l'humanité que la cause des conflits sont les gènes déficients et leur faire oublier que les guerres existaient déjà bien avant ces manipulations génétiques. Quel intérêt, hormis celui de s'enfoncer un peu plus dans l'erreur ?

Tris est au coeur de cette nouvelle société qu'ils découvrent au Bureau puisqu'elle est divergente (au contraire de Tobias qui, finalement, n'en est pas un), mais personne ne semble se soucier d'Uriah, alors qu'il est pourtant censé être lui aussi un gène pur. Si de nouveaux personnages font leur apparition, les anciens sont presque relégués au second plan. Peter et Caleb, qui ne manquaient pourtant pas d'intérêts, sont complètement délaissés, pour ne pas dire catalogués avec une étiquette « pas gentil » collée dans le dos et remisés dans un placard jusqu'aux derniers chapitres.

Au fil de ma lecture, je n'ai eu qu'une hâte, en finir avec cette trilogie. Non pas que je me sois ennuyée, car ce tome se lit aussi vite et aussi facilement que les précédents, mais parce qu'il valait mieux arrêter le massacre dans les plus brefs délais. Autant le premier volume m'avait emballée, autant j'ai vite eu la confirmation, après le second tome dont j'étais ressortie plus mitigée, qu'une histoire si prometteuse à ses débuts achevait de partir en quenouille.

Cette saga n'a pas été à la hauteur des attentes que je plaçais en elle, ce qui est vraiment dommage. le premier tome met l'eau à la bouche, mais c'est avec un goût amer que j'ai refermé le dernier, accompagné par un sentiment de gâchis. C'est regrettable, mais c'est ainsi.
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La fin, enfin. En toute franchise, j'ai eu du mal à aller au bout de la trilogie, qui a perdu tout intérêt pour moi au fil des pages. Pourtant, il faut le reconnaître, il y a sur ce volume un véritable effort de renouvellement : sur la forme déjà, avec cette alternance dans le récit entre celui de Tris et celui de Tobias ; sur le fond aussi, avec l'intrigue qui se poursuit en dehors des enceintes de la ville. Mais cela n'a pas suffit à ranimer ma flamme, loin de là. Beaucoup d'incohérences dans le récit, de répétitions de scénettes, d'éléments de langage récurrents, et pas une once de psychologie quelque peu rationnelle, bref, qu'une hâte : terminer au plus vite pour passer à autre chose.