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Critique de gavarneur


Joseph Roth a-t-il écrit autre chose que la fin de l'empire Austro-hongrois ? Je suis décidé à en savoir plus, car après la Marche de Radetzky, j'ai autant admiré La Rébellion. Pourtant, quelle différence ! Ici pas de famille noble, pas d'honneur comme valeur suprême. Andreas Pum est un homme simple, un homme du peuple ; il m'a un instant fait penser à Woyzeck dans sa façon de vivre au présent (et la souffrance après la guerre). Mais jusqu'à ce qu'il soit confronté à l'inégalité des classes face à la police, la justice et l'arbitraire, c'est plutôt un homme bon, prêt à croire en Dieu en en l'État, et optimiste.
Je ne dévoile pas ce que signifie le titre, le conte est bref, fait sourire au début, puis grincer des dents et réfléchir ensuite quand Andreas découvre l'introversion, dans une cellule de prison. Son dernier chapitre laisse stupéfait. La critique de DanD m'a conduit à le lire, j'espère que ces quelques lignes vous rappelleront de le faire.
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