L'Ickabog

Un monde totalement différent de celui d'Harry Potter mais J K Rowling a le don de nous transporter dans des mondes imaginaires dans lesquels on se sent tout de suite bien.
Ici c'est une aventure très bien menée que vont vivre deux enfants. Et cette créature dont tout le monde parle existe-t-elle vraiment ?
Le bien et le mal, les bons sentiments et les mauvais ne sont pas aussi tranchés que dans les histoires d'enfants traditionnelles. C'est ce qui ont fait un très bon roman.

Comme j'ai beaucoup aimé la saga Harry Potter, j'ai voulu lire ce nouveau roman pour la jeunesse de J.K Rowling.

Et je n'ai pas été déçue. A priori, ce livre s'adresse à des lecteurs plus jeunes. C'est un conte avec un royaume heureux plein de friandises, mais aussi avec un ogre et des marais inquiétants. L'auteur a encore su créer un monde imaginaire dans lequel elle nous embarque grâce à sa plume pleine de charme.

Pourtant, il y a un second niveau de lecture : il nous est montré comment s'installe un pouvoir totalitaire, en maintenant le peuple sous pression, avec augmentation des taxes, omniprésence de l'armée et peur érigée en système.
Cependant, ce thème est abordé discrètement, et peut être une porte d'entrée pour une discussion entre adultes et plus jeunes.

Une lecture encore bien agréable.

S'inscrivant dans la tradition des contes, L'Ickabog prend place dans un pays imaginaire, La Cornucopia, dirigé par un Roi plus soucieux de plaire que de régner. le peuple semble pourtant heureux et ne manquer de rien. Ses habitants vivent de mets délicieux aux noms très imagés qui nous feraient presque salivés… Seuls les habitants des Marais, situés au nord du pays, semblent privés de tout et vivent dans la peur d'être dévorés par la créature monstrueuse qu'est le mystérieux Ickabog. S'il n'a jamais été vu par personne, le monstre prend des formes variées selon qui le décrit, son existence ayant surtout valeur à effrayer les enfants. Lorsque le Capitaine de la Garde Royale est tué au cours d'une campagne visant à trouver et tuer l'Ickabog, les deux conseillers du Roi voient là l'occasion de prendre le pouvoir.

Le récit prend alors un tournant plus politique dès lors que Lord Crachinay et Lord Flapoon décident de nourir les peurs de tout une population pour s'accaparer le pouvoir et faire fortune à grand renfort de taxes, censées lever des fonds pour la Brigade anti-Ickabog chargée de la protection de tous. J.K. Rowling parvient à mettre en place une dictature et en détaille la mise en place avec tous les rouages d'une machination bien huilée. le récit interroge alors sur la notion même du monstre, invitant le lecteur à voir au-delà de l'apparence physique pour mieux se concentrer sur la personnalité des deux lords.

Si l'histoire en elle-même n'a pas la même profondeur que les autres titres de l'auteure, il est intéressant de voir que J.K. Rowling a choisi de publier ce titre, d'abord à titre gracieux via internet, durant l'épidémie de covid-19 qui, en 2020, a perturbé l'ordre établi de nos sociétés et donné aux différents gouvernements à travers le monde le pouvoir de restreindre nos libertés à force de confinements et de fermetures de lieux considérés non-essentiels. On peut y voir un moyen pour l'auteure de rappeler aux dirigeants comment s'installe un pouvoir totalitaire en maintenant le peuple dans la peur. le propos reste pertinent et permet d'aborder une notion complexe avec des lecteurs plus jeunes qui, s'ils auront besoin d'être guidés sur ce point, y trouveront à côté une histoire drôle et rondement menée par une main experte dans l'écriture de textes proposant plusieurs niveaux de lecture.
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Comme beaucoup de lecteurs je pense, j'espérais retrouver un peu d'Harry Potter à la lecture de ce roman. S'il est vrai que les personnages héroïques enfantins, l'univers féerique et les multiples rebondissements du récit portent la signature de JK Rowling, pour le reste on est assez loin de l' univers de la saga. D'ailleurs, ce roman-ci aurait pu faire l'objet d'une saga également tellement l'histoire est dense, riche, et s'étend sur plusieurs années. Mais clairement, ce n'était pas le but de l'auteur. Ici on est vraiment dans la literature enfantine. Un livre qui se lit rapidement, où on fait fi des détails pour aller à l'essentiel de l'action, où les méchants sont vraiment méchants et les gentils vraiment gentils. On est plus face à un conte, une fable racontée oralement le soir avant de s'endormir (un peu à la Sheherazade) puis retranscrit à l'écrit. C'est une histoire plus vouée à être dite que lue. Et pourtant je suis un peu partagée, car le récit en tant que tel s'adresse aussi à des plus grands. Je n'imagine pas ma fille de 7 ans lire ce roman.
Quoiqu'il en soit, j'ai apprécié la lecture de ce livre, même s'il est loin, très loin des Harry Potter

Je reconnais à J.K. Rowling son talent pour décrire des univers très détaillés qui nous permettent facilement de plonger dans l'histoire mais je n'ai pas été conquise par ce conte. Je l'ai trouvé trop long et un peu trop manichéen. le public visé est assurément les enfants et je ne m'y suis pas retrouvée.

Fan d'Harry Potter, j'ai acheté ce livre lors de sa sortie et depuis il traîne dans ma PAL.


Pourquoi? Parce qu'il a reçu pas mal de critiques négatives (moi qui me laisse rarement avoir par le critiques, j'ai trainé les pieds pour le lire). 


Un conte très original que nous offrait J.K. Rowling lors du confinement en été 2020, dans lequel on retrouve un monstre (gentil), un roi naïf, des proches et conseillés profiteurs
. Bref, un mélange de personnages parfaits pour un conte pour enfant. 


On s'y plonge avec plaisir, la fin, quoique peu bâclée, est prévisible, les chapitres sont courts et l'écriture est fluide. 

Morale de l'histoire ? Les monstres ne sont pas toujours ceux que l'on croit. 

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lu avant de le laisser à la fille aînée de 13 ans. J'ai trouvé qu'il y avait 2 façons de le voir, avec ses yeux d'enfant ou avec ses yeux d'adultes et du coup on perçoit le mensonge, la manipulation, mais également le courage. J'avais choisi le lire avec les yeux d'enfant, j'ai apprécié et ma fille également

JK Rowling, "L'ickabog" 352 pages
Etant archi fan de la saga "Harry Potter" et ayant été horriblement déçue par la pièce de théâtre que j'ai d'ailleurs abandonnée ("Harry Potter et l'Enfant maudit") tellement je l'avais trouvée mauvaise et ennuyeuse, j'avais hâte de lire "L'ickabog".
Cette fable politique pour enfants m'a laissé un avis mitigé. J'ai eu beaucoup de mal à entrer dans la première partie du roman. J'ai aimé la deuxième. Et j'ai adoré la fin.
Cela étant, j'apprécie beaucoup qu'un auteur écrive une fable politique pour enfants et les fasse réfléchir sur la notion du pouvoir, du mensonge d'état, de l'apparition de la tyrannie et de la lâcheté des citoyens qui laissent peu à peu leurs droits être bafoués.
Je conseille donc cette lecture !

Quelle merveille que ce roman (qui est plutôt un conte ceci-dit ), on plonge dans un monde rempli de joie, de gourmandise et d'amitié jusqu'à ce que... Je ne vous en
dirais pas plus au risque de gâcher votre lecture mais j'ai adoré ce conte, il est drôle, bien écrit et surtout il y a une morale à retenir (ce qui en fait vraiment un conte). Une morale très importante qui parait sous forme de métaphore tout le long du récit.

Un récit qui se lit très vite et qui même s'il est enfantin va réussir à vous envoûter ! J.K Rowling à vraiment réussi son pari, nous aimons certains personnages tandis que nous haïssons les autres. Et au final nous voulons vraiment savoir comment va finir Cornucopia ! Un conte enfantin mais qui vaut le détour ne serait-ce que pour se changer les idées!

Vraiment mais vraiment très déçu je m'attendais à de la magie autre chose que harry Potter vue le talent de cette auteur mais rien.
Un conte pour enfants de 4 ans. Avec des dessins enfants ce si dit j'ai rien conte se livre était fait pour recompancer les enfants qui on participer, à un concours
La valeur sur de se livre et juste ça. 😭;