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Critiques filtrées sur 5 étoiles  
La Malnata – la mal née – était en bas sur la rive du Lambro avec deux garçons que je ne connaissais que de nom. Ils avaient tous les deux des pantalons courts et les genoux écorchés, et pour elle, cette fille qui leur arrivait tout juste à l'épaule, ils auraient affronté la mitraille comme les soldats qui s'en vont à la guerre, en disant ensuite au Seigneur : Je suis mort heureux. »

Phénomène littéraire, révélation d'une voix unique, récit puissant où le passé fait écho au présent : La Malnata marque l'entrée en littérature de Beatrice Salvioni, vingt-six ans, dont le roman est publié simultanément dans plus de vingt-huit pays.

Ce roman d'apprentissage au féminin raconte l'amitié intense et émancipatrice de deux adolescentes dans l'Italie fasciste. Deux adolescentes que rien ne destinait à la rencontre – l'une est issue de la bourgeoisie, l'autre des milieux populaires – qui vont trouver, à deux, le courage de se révolter contre la morale sociale et la violence des hommes.

Une histoire d'amitié au féminin bouleversante.
Deux enfants puis deux jeunes filles qui vont s'aider mutuellement à grandir et à s'affirmer dans un milieu où la société espère d'elles effacement et soumission.
Elles se serrent les coudes. Elles s'écoutent, ne campent pas sur leurs positions, osent. Une dialectique non hiérarchisée oû les hommes, sujet d'attention, ne sont ni sécurisants, ni fiables
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Beatrice SALVIONI. La Malnata.

Je ne parle pas italien. Cependant le titre de ce roman, « La malnata », m'interpelle. Pour moi, il évoque une personne mal née, évoquant la malchance… Et je ne fais pas d'erreur. Ce récit narre une belle amitié entre deux jeunes adolescentes, âgées d'une douzaine d'année, en Italie. Nous sommes à Monza, en 1935. le corps d'un jeune homme est découvert au bord du Lambro. Cette macabre découverte va diviser encore un peu plus les habitants. La montée du fascisme et l'entrée en guerre de l'Italie en Ethiopie témoignent de la violence des hommes.

La Malnata, issue du peuple laborieux, de la classe populaire ne craint personne. Ses fidèles amis, Fillippo Colombo, fils d'un fasciste de la première heure et Matteo Fossati, le fils d'un communiste notoire partagent ses jeux, sur les rives de la rivière. Francesca, née dans une famille bourgeoise et pratiquante observe ces enfants, insouciants et qui ne sont soumis à aucune interdiction parentale ; elle doit, elle accompagner ses parents à la messe dominicale, obéir et se conduire en petite fille modèle. Attirée par les cris de joie, les activités de ces jeunes ados, elle parvient à sympathiser avec la Malnata, Maddalena, son véritable prénom. Une amitié sans faille va unir pour le meilleur et le pire les deux jeunes filles. La famille de Maddelena réside en banlieue dans un immeuble vétuste, dépourvu du confort auquel Francesca est habituée. Qu'importe, la jeune fille est prête à braver tous les sacrifices pour intégrer l'univers de la Malnata. Elle subit avec courage son épreuve d'intronisation pour adhérer au club….

Dans ce récit, Beatrice SALVIONI, nous dresse un état de l'Italie, politique, industriel, social, à la veille de la seconde guerre mondiale. Ces deux jeunes adolescentes font des découvertes et abordent leur féminité dans un climat social tendu. Pourront-elles s'émanciper et acquérir une certaine liberté, renverser la morale, faire entendre leurs voix à ces hommes imbus de leur pouvoir de maître du monde ? Francesca trouvera-t-elle sa place dans cette société qui porte des oeillères et se cache derrière la morale ? Quelle sera la réaction de la jeune fille lorsqu'elle découvrira le comportement inapproprié de sa mère ? Sera-t-elle assez forte pour aider son amie, lorsque cette dernière subira la vindicte populaire ? .Franscesca, sera-t-elle suffisamment armée pour défendre son amie lorsqu'elle sera injustement accusée ? Grâce à cette amitié, la jeune fille va s'affranchir de l'autorité parentale et découvrir avec angoisse les travers de la société bourgeoise. Cette déconvenue lui permettra de s'émanciper, d'acquérir une certaine maturité, qui lui donnera la force nécessaire pour affronter les évènements tragiques de la vie, dénoncer l'oppression et les abus détenus par la gente masculine.

Dans ce roman, l'amitié occupe la première place. Les caractères, la psychologie féminine, le climat social sont bien exprimés. Trahisons, ruptures, incompréhension, retour de l'une vers l'autre, forfaitures, infidélité, désertion, fidélité, dévouement, un véritable jeu de ping-pong que jouent nos deux héroïnes principales. N'oublions pas le rôle essentiel tenu par Noé, le fils de l'épicier, lui aussi un mal né rejeté même par son propre père ! Je conseille la lecture de ce récit bouleversant, liant deux jeunes filles qui n'auraient jamais dû se rencontrer, s'aimer, se soutenir, s'entraider, se fréquenter. L'amitié, la fraternité et la sympathie les unissent.
( 05/06/2023).

Lien : https://lucette.dutour@orang..
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C'est un très beau premier roman que nous propose l'italienne Beatrice Salvioni. Direction Monza, l'été 1935.

Sur la rive du Lambro, Francesca la jeune narratrice observe trois adolescents :
- Filippo Colombo, le fils d'un fasciste
- Matteo Fossati, le fils d'un communiste
- Maddalena Merlini, issue de la classe ouvrière, celle que l'on nomme "La Malnata" , la malnée, celle qui porte malheur, la sorcière, le diable incarné, celle qu'il ne faut pas fréquenter. Pourtant ce n'est qu'une ado de 11ans qui n'a peur de rien et en a déjà bien bavé.

Francesca est fascinée par cette fille. Issue d'un milieu bourgeois que tout oppose à elle, un père qui fabrique des chapeaux. Eduquée dans la religion catholique, obligée d'assister à la messe du dimanche, elle va s'en approcher, faire partie de sa bande, devenir son amie et découvrir que les apparences sont souvent bien trompeuses.

Peu à peu avec Francesca, elle va quitter l'innocence, les croyances et découvrir la vie, apprendre à s'émanciper et se révolter contre la violence sociale, morale et les hommes.

Ce roman c'est l'apprentissage de la vie, la réalité du monde, la découverte de l'amitié avec la loyauté, les trahisons, solidarité et rébellion. Mais ce roman c'est aussi un pan de l'Histoire de l'Italie, les croyances au régime fasciste, l'adoration du Duce enseignée à l'école, le rêve de pouvoir de l'Italie avec la guerre en Abyssinie, la lutte des classes.

L'écriture est magnifique, visuelle, prenante, envoûtante. C'est vraiment un très beau voyage que je vous recommande chaleureusement.

Ma note : coup de coeur ♥♥♥♥♥
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Monza, en Italie, sur la rive du Lambro, deux jeunes filles tentent de cacher le cadavre d'un homme. C'est Francesca qui raconte son histoire et les différents événements qui l'a conduite à cet acte.

Francesca est une gamine solitaire de la haute société qui chaque jour depuis un pont espionne une fille qui joue avec des garçons dans la rivière, la jupe relevée et les pieds nus pleins de boues. Francesca rêve de devenir son amie, mais tout le monde la connait à cause de sa malédiction d'ou son surnom "La Malnata" et essaye de l'éviter.

Haute société et classe ouvrière ne font pas bon ménage dans cette Italie fasciste. Ce sera le vol de cerise qui fera d'elle des amies. Mais à deux le courage est décuplé, à deux elles vont dénoncer l'oppression et l'abus du pouvoir masculin, se révolter contre la morale sociale, malgré la réprobation de la communauté entière.

Dans un contexte politique où Mussolini règne comme un roi en terrorisant la population, les deux jeunes femmes vont se lier d'amitié alors que rien ne les destiner à se rencontrer. Beatrice Salvioni rentre par la grande porte dans la même lignée qu'Elena Ferrante (qui situe son récit à Naples dans les année 1950) ou encore Silvia Avallone (plus contemporain) ; ici Beatrice place son roman en 1936 en pleine guerre abyssinienne mais avec autant de talents que ses consoeurs de la grande littérature italienne.

Beatrice Salvioni livre un premier roman bourré de talent. Un récit où l'atmosphère de cette petite ville d'Italie est brillamment reconstitué (architecture, comportement, odeurs, contexte politique, contexte familial, violence..). Sur fond d'apogée mussolinien, c'est une historie romanesque où la question de l'émancipation des femmes est au coeur, et ou l'amour et l'amitié restent omniprésent.

Intense, bouleversant, authentique, rythmé et fort, c'est sans conteste que ce premier roman est un coup de coeur ! Beatrice Salvioni est un nom à retenir sans hésitation. On me demande souvent pourquoi j'aime autant la littérature italienne, lisez ce roman et vous comprendrez !
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ROMAN D'APPRENTISSAGE 💖

Maddalena est une enfant stigmatisée qui n'a peur de rien. Elle est appelée La malnata (mal-née), on dit qu'elle porte la poisse et qu'il faut l'éviter à tout prix. Issue d'une famille populaire, elle va nouer une amitié aussi improbable que fusionnnelle avec Francesca qui vient d'un milieu bien plus aisé. Dans l'Italie fasciste des années 30, elles vont grandir ensemble, se révolter contre des injustices et profondément s'apprécier.

Avec ce merveilleux premier roman (décidément les auteurs italiens ne déçoivent jamais !), Béatrice Salvioni m'a fait voyager, découvrir une autre époque et surtout rencontrer des personnages plus vrais que nature.
J'ai éprouvé beaucoup de tendresse et d'admiration pour Francesca qui rêve de se libérer du carcan familial. Pour Maddalena aussi, celle à qui la société ne fera aucun cadeau. Ces deux fillettes courages confrontées à la violence des hommes m'ont profondément touchée.

Le contexte historique est parfaitement dépeint, et côté rudesse, l'autrice en profite pour dénoncer le fascisme, les normes sociales, les croyances archaïques. Côté tendresse, elle nous conte superbement l'amitié, la vraie. Celle qui est intense, comporte son lot d'incompréhensions, de trahisons mais aussi et surtout la confiance et la complicité.

Le tout est porté par une plume rythmée, très fluide et visuelle. Et le final, que j'espérais autant que je le redoutais, m'a conquise!
Vous l'aurez compris, je me suis régalée. Un premier roman qui se dévore et que je ne peux que vous recommander ! 🥰

Alors tenté.e.s? Avez vous été aussi touchés par La malnata ceux qui ont déjà rencontrée?

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La première moitié de cet ouvrage m'a quelque peu laissée perplexe. Bien que l'écriture de l'autrice soit magnifique, je m'ennuyais un peu car on suit principalement deux jeunes filles qui se découvrent, qui se lient d'une amitié fusionnelle et deviennent plus fortes. Mais rien ne se passe. L'une d'entre elle, La malnata, porterait malheur. On sent une ambiance pesante, quelquechose se prépare.
C'est dans la deuxième partie du livre que le récit devient addictif et que mon regard final sur l'histoire change. J'ai adoré suivre ces deux adolescentes pour lesquelles j'ai ressenti beaucoup de tendresse. L'une s'affranchit de l'autorité et de la rigueur de sa mère, l'autre porte une culpabilité énorme par un poids du passé.
C'est une magnifique découverte qui nous plonge quelques années avant la seconde guerre mondiale, à une époque de Mussolini où la femme doit se taire.
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« On l'appelait la Malnata et personne ne l'aimait.
Prononcer son nom portait malheur. C'était une sorcière, une de celles qui vous collent sur le dos le souffle de la mort. Elle avait le démon dans la peau et il ne fallait pas lui parler. »
Maddalena n'a que 11 ans et elle est déjà stigmatisée. Elle est la mal née, celle qui n'a peur de rien. Sa force, c'est sa famille et Francesca, sa meilleure amie. Une amitié improbable, fusionnelle les unit. Une amitié essentielle qui va les construire, les faire grandir et réfléchir. Qui va également donner le courage à Francesca de s'émanciper de sa famille. Et de s'opposer à ce monde si masculin.
A la manière des romans d'Elena Ferrante ou de Silvia Avallone, la Malnata est une très belle histoire d'amitié entre deux fillettes que tout oppose dans l'Italie fasciste des années 30. le livre aborde de nombreux sujets (les spoliations, la guerre, la condition féminine), avec beaucoup de justesse.
C'est poignant, addictif, lumineux. Et très bien écrit.
Une magnifique découverte. A ne pas manquer.
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Je suis encore envahie par l'émotion suscitée par ma lecture, en italien, de ce roman bouleversant, dont je viens de lire les dernières pages, "La Malnata". Frappée aussi par la force du récit et l'écriture aboutie de ce premier livre de Beatrice SALVIONI. L'histoire se situe à Monza (ville au nord-est de Milan, dont elle est très proche), au milieu des années 30, dans cette période sombre qu'est le fascisme en Italie. Son évocation sonne juste, en montrant de manière implicite le poids du dogme fasciste sur la vie quotidienne des Italiens, et la partition entre ceux qui l'adoptent, voire proclament leur amour pour le "Duce, père de la patrie", ceux qui le suivent pour survivre, et ceux dont la droiture les rendent rebelles à la dictature d'un homme qui pactisera avec le Diable, en la personne d'Hitler, dont l'ascension est en cours simultanément en Allemagne. La présence sourde et menaçante de l'idéologie fasciste dans ce roman est d'autant plus importante que les lecteurs non italiens connaissent bien moins l'horreur du fascisme que celle du nazisme.
Parmi les révoltés, l'auteure a choisi de raconter l'histoire, non d'un partisan, mais d'une toute jeune fille, Maddalena Merlini, surnommée par tous les bien-pensants "La malnata" (La mal née). Issue d'une famille modeste, elle est appelée ainsi parce qu'elle dérange par sa différence, devenant par là même, selon un mécanisme immémorial au sein des hommes, le bouc émissaire de toute une communauté, la "sorcière" accusée de tous les maux, morts ou accidents. Les événements tragiques de cette histoire sont racontés à la première personne par une autre jeune adolescente, Francesca Strada, fille d'une famille aisée. le point d'orgue de ce roman est l'amitié entre Francesca et Maddalena, qui se construira au fil des jours sombres de cette période d'avant-guerre, au-delà de l'ostracisation dont est victime "La Malnata", pour devenir indéfectible. Maddalena est pour moi celle qui brille le plus des deux jeunes filles, telle un diamant brut, Maddalena la sauvage, l'indomptable, celle "qui n'a peur de rien", pas même de s'opposer à un jeune fasciste dont la beauté n'a d'égale que la cruauté et le côté prédateur.
Il n'en demeure pas moins que ce roman est aussi le récit initiatique de la pré-adolescence de la narratrice, Francesca, dont l'attirance pour la force mature et subversive de la Malnata, changera sa vie à tout jamais. 
Un très beau roman, promis à mon sens à un succès certain et mérité, et qui laissera longtemps son empreinte en moi.
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Deux filles de 12 ans dans l'Italie fasciste de Mussolini, en 1935.
L'une, issue de la petite bourgeoisie est élevée par une mère extrêmement préoccupée des conventions sociales et du paraitre.
La seconde, surnommée la Malnata, est issu d'un quartier populaire est tenue à l'écart par les bien pensants et brille par sa liberté de ton et d'action.
Dans ce roman d'apprentissage, nous découvrons la naissance et l'évolution de l'amitié forte et inconditionnelle entre elles.
Le contexte social y est bien dépeint, le roman questionne la place de la femme dans cette Italie du Duce et la place possible pour l'émancipation.
J'y ai retrouvé l'énergie et la fraicheur déjà ressentie dans les premiers tomes de l'amie prodigieuse d'Elena Ferrante.
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Tous les dimanches, Francesca va à l'église avec ses parents. Toutes les semaines, elle observe discrètement trois adolescents qui jouent sur la rive du Lambro. Ils sont deux garçons et une fille. le premier est le fils du Signor Colombo, un fasciste, le second est celui d'un communiste et la troisième, la Malnata (la mal-née), est issue d'un milieu populaire. Ce jour de juin 1935, pour la première fois, Francesca sent que cette dernière la regarde et lui sourit.


« On l'appelait la Malnata et personne ne l'aimait. Prononcer son nom portait malheur. C'était une sorcière, une de celles qui vous collent sur le dos le souffle de la mort. Elle avait le démon dans la peau et il ne fallait pas lui parler. » (p. 17) Pourtant, Francesca est fascinée par elle. Aussi, quand quatre jours plus tard, celle-ci lui parle, elle est prête à tous les exploits pour intégrer son groupe. Elle réussit les épreuves. Depuis, la petite fille obéissante ment et sort en cachette.


Auprès de sa nouvelle amie, elle apprend à s'affirmer. Elle découvre que la morale de son environnement bourgeois ne sert que les apparences. Petit à petit, elle recherche la liberté. Elle est confrontée à la violence des hommes. Elle désire échapper au carcan de sa famille, forcée de se soumettre au fascisme, pour continuer à exister professionnellement et socialement. Grâce à la « Malnata », elle observe la réalité du monde et commence à se révolter.


La Malnata raconte l'amitié de deux adolescentes que la société aurait aimé séparer ; cependant, chacune accepte l'autre telle qu'elle est. Leur relation est ponctuée de preuves d'affection, de trahisons, de ruptures, de retours, d'incompréhension, d'écoute, etc. Elle est, hélas, entravée par les évènements politiques et sociologiques. Ce sont des jeunes filles qui repoussent les limites et tentent de s'opposer aux lois des adultes et à la domination masculine. Malheureusement, elles sont rattrapées par ces règles injustes. le malheur arrive sans bruit…


J'ai aimé à la folie ces deux adolescentes. J'ai éprouvé beaucoup de tendresse pour Francesca qui, par amitié, se transforme, s'émancipe, s'affranchit des lois imposées par sa mère, apprend à penser par elle-même et à écouter son coeur. J'ai été bouleversée par « la Malnata » : elle porte une culpabilité énorme sur ses frêles épaules. J'ai admiré son courage et sa maturité et j'ai été émue par sa résignation, teintée de rébellion et d'espoir. J'ai été emportée par un tourbillon d'émotions brutes, pures, sans apparats. Quant à la scène finale, elle m'a ébranlée. Il se produit un événement que j'espérais et redoutais à la fois. J'ai eu un immense coup de coeur pour La Malnata.


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