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Critique de Ponderosa
Sixième volume mettant en scène le capitaine Daniel Magne et le lieutenant Lisa Heslin.
Après leur séparation (voir le volume 5 "La pieuvre"), Lisa est partie vivre en Suisse tandis que Daniel a demandé sa mutation à Hendaye, Pays Basque Français. Alors qu'il essaye de noyer sa solitude dans un énième verre, Daniel entend une forte explosion : un attentat vient d'avoir lieu à la gare d'Hendaye, tuant de nombreuses personnes et en blessant d'autres. N'écoutant que son courage et son instinct, Daniel se lance à la poursuite de l'homme qu'il croise à proximité du lieu de l'attentat et dont il pense qu'il en est l'auteur. Hélas il ne se doute pas qu'il va tomber dans un piège qui risque bien de lui coûter la vie. Alertée par le commandant Picaud, Lisa quitte son refuge pour se lancer à la recherche de l'homme qu'elle n'a cessé d'aimer, sans se douter elle non plus de qui l'attend.
Ce volume est probablement l'un des plus sombres de la série (jusqu'ici en tous cas, puisqu'il m' en reste encore deux à lire) mais néanmoins mon deuxième préféré après "Quatre racines blanches".
Le moins que l'on puisse dire c'est que l'auteur n'a pas été tendre avec nos héros. L'avantage de lire une série lorsqu'elle est complète c'est que l'on se doute que nos personnages préférés seront encore là dans les prochains livres sinon la série se serait arrêtée !
L'action se déroule au Pays Basque français et Jacques Saussey en profite pour nous expliquer la naissance de l'ETA et ses différents agissements jusqu'à ce qu'elle dépose les armes, ce qui est très instructif.
J'ai beaucoup aimé le personnage du capitaine Denis Larralde, un homme courageux, solidaire de ses collègues parisiens et sympathique. Et puis bien entendu il y a ce brave Henri qui se ferait hacher menu pour protéger Lisa et qui suit Daniel sans poser de questions, lui faisant totalement confiance.
Ce roman est très bien écrit et addictif ; il est très difficile de le poser avant de l'avoir terminé et si je l'avais commencé pendant mes vacances, je l'aurais lu d'une seule traite.
Après leur séparation (voir le volume 5 "La pieuvre"), Lisa est partie vivre en Suisse tandis que Daniel a demandé sa mutation à Hendaye, Pays Basque Français. Alors qu'il essaye de noyer sa solitude dans un énième verre, Daniel entend une forte explosion : un attentat vient d'avoir lieu à la gare d'Hendaye, tuant de nombreuses personnes et en blessant d'autres. N'écoutant que son courage et son instinct, Daniel se lance à la poursuite de l'homme qu'il croise à proximité du lieu de l'attentat et dont il pense qu'il en est l'auteur. Hélas il ne se doute pas qu'il va tomber dans un piège qui risque bien de lui coûter la vie. Alertée par le commandant Picaud, Lisa quitte son refuge pour se lancer à la recherche de l'homme qu'elle n'a cessé d'aimer, sans se douter elle non plus de qui l'attend.
Ce volume est probablement l'un des plus sombres de la série (jusqu'ici en tous cas, puisqu'il m' en reste encore deux à lire) mais néanmoins mon deuxième préféré après "Quatre racines blanches".
Le moins que l'on puisse dire c'est que l'auteur n'a pas été tendre avec nos héros. L'avantage de lire une série lorsqu'elle est complète c'est que l'on se doute que nos personnages préférés seront encore là dans les prochains livres sinon la série se serait arrêtée !
L'action se déroule au Pays Basque français et Jacques Saussey en profite pour nous expliquer la naissance de l'ETA et ses différents agissements jusqu'à ce qu'elle dépose les armes, ce qui est très instructif.
J'ai beaucoup aimé le personnage du capitaine Denis Larralde, un homme courageux, solidaire de ses collègues parisiens et sympathique. Et puis bien entendu il y a ce brave Henri qui se ferait hacher menu pour protéger Lisa et qui suit Daniel sans poser de questions, lui faisant totalement confiance.
Ce roman est très bien écrit et addictif ; il est très difficile de le poser avant de l'avoir terminé et si je l'avais commencé pendant mes vacances, je l'aurais lu d'une seule traite.
