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2,9

sur 58 notes
Et c'est un nouvel abandon avec ce thriller fantastique dont les évènements et l'intrigue mettent beaucoup trop de temps à mon goût pour se mettre en place.
A la page 65 on ne sait toujours pas qui est le personnage principal, ce qui l'a amenée à se trouver dans la situation qu'elle « décrit »… et les éléments apportés sont trop insuffisants pour construire le décor. Entre installer le mystère et faire décrocher le lecteur il n'y a qu'un pas que j'ai largement franchi. Pour preuve, j'en ai appris 10 fois plus dans la quatrième de couv' que par ma lecture…
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Hazel Hayes, une étudiante préparant une thèse sur l'image que véhicule la publicité, est dans un chalet isolé, seule, et enceinte de huit mois.
Elle ne peut même pas demandé de l'aide à ses plus proches voisins, ils n'ouvriraient pas la porte à une femme rousse!
Comment en est-on arrivé là? Pourquoi cette jeune femme s'apprête-t-elle à mettre son bébé au monde dans un chalet sous la neige, sans aucune aide extérieure? Pourquoi ses voisins ont-elles peur d'elle à cause de sa couleur de cheveux?
Un roman très fin, mêlant dystopie, scénario apocalyptique, préjugés, féminisme et humour. Un très bon moment de lecture!
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Les livres oubliés de Ge
Des bouquins que j'ai achetés puis oubliés, bien cachés au fond de mes bibliothèques et que je retrouve au grés de mes rangements...
Les blondes, Emily Schultz
Les blondes est un de ces livres que l'on aime ou bien que l'on déteste. Il ne peut pas laisser insensible, j'en suis plus que certaine.
Mais alors que raconte Les Blondes
A New-York, Hazel Hayes se trouve dans une situation pénible : loin de chez elle, sa thèse ne progresse pas et elle découvre qu'elle est enceinte de son professeur d'université. Les ennuis s'accumulent lorsqu'une épidémie transforme les blondes en meurtrières. Cherchant à rentrer chez elle à Toronto, elle traverse un pays ravagé par ce fléau à l'aide d'un allié inattendu
Maîtrisant avec une habileté déconcertante l'art du suspense et celui de la satire, Schultz signe avec "Les Blondes un roman" horriblement drôle et pétillant. Elle a truffé les pages de ce drôle de  bouquin de remarques sensibles sur la beauté, la féminité et la maternité.
Le qualificatif qui m'est venu à l'esprit à la lecture de ce titre c'est mirobolant. Un roman à la fois, satire, polar et roman fantastique. Une espèce de L'OLNI, moi cet objet littéraire non identifié a su me séduire.
Lien : https://collectifpolar.fr/20..
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Hazel Hayes est planquée dans un chalet au milieu des bois; le chalet, c'est celui de son amant et de sa femme; lui n'est pas là, elle bien. Pour tenter d'égayer ces froides journées d'hiver et ne pas sombrer dans la déprime, Hazel parle au bébé qu'elle couve dans son ventre. Elle lui raconte comment, le jour où elle appris qu'elle était enceinte, un virus s'est abattu sur le monde transformant les blondes en tueuses acharnées.

Peut-être que si j'avais lu ce roman à sa sortie en 2014 (pour la version française), je lui aurais attribué plus d'étoiles. Parce qu'au départ, c'est bien entendu une dystopie reposant sur la propagation d'un virus à travers la planète. Mais depuis, la Covid est passée par là et finalement, la plupart des éléments que l'autrice a imaginé comme étant "terribles" se sont finalement produits de près ou de loin. Donc, d'une part, ce constat rend assez mal à l'aise à la lecture car l'autrice a deviné bien avant l'heure qu'en cas de telle crise l'être humain révèle toujours ce qu'il a de pire en lui, perdant toute capacité de raisonnement rationnel et appliquant à l'aveugle des procédures et règles plus folles les unes que les autres. Sans que rien ne s'arrange bien entendu.
D'autre part, ayant un bagage intellectuel que les lecteurs d'origine n'ont pas, on se pose des questions (sur la propagation, les positionnements politiques,...) auxquelles l'autrice n'apporte bien entendu jamais de réponse.

L'intrigue en elle-même est partagée entre tout ce qui tourne autour du virus qui touche les blondes et ce qui arrive à l'héroïne, rousse, donc, blonde pour certains, et la navrante histoire "d'amour" entre elle et son maître de thèse dont elle est tombée enceinte. Ce n'est pas mal écrit, mais finalement ni l'un ni l'autre de ces deux aspects du récit ne m'ont passionnée. Je ne me suis pas non plus attachée à Hazel ni à aucun autre personnage et finalement, ce fût une lecture assez décevante.
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On est pas loin de la déception.
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Alors qu'on ce le dise, en soit l'histoire était bien. Je sais pas voir « les blondes » autrement que uniquement comme les cruches de service décrite par toute les blagues de mauvais goût que l'on connait tous, était différent. Lecture pas forcément désagréable, mais réellement différente. Bien sur c'est encore stigmatisé cette catégorie de la population, fort heureusement c'est qu'une fiction.
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Et croyez-moi que si la fin n'avait pas était aussi décevante, plate, j'aurais presque put réellement apprécier ce roman.
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Malheureusement pendant tout le dernier quart du livre, l'histoire s'essouffle, on a envie de savoir la fin, comment tout ça ce termine mais... On sent vite, trop vite, que l'auteure cherche à finir ce roman, comme si elle avait précipité la fin, forcé les choses à prendre cette tournure. Oui, en bref, la fin est bâclée. Alors que mince il y avait tellement à faire avec l'histoire de base...
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Un livre que j'ai choisi pour quelques jours de vacances et qui se révèle être une très bonne surprise.
Je n'en attendais pas grand chose au vu du résumé : une épidémie fait rage au Canada et aux USA : un virus étrange (amené par des puces) attaque les femmes de toutes âges, femmes qui ont comme point commun d'être blondes (naturelle ou artificielle). Pour tout dire je m'attendais à de gros clichés sur les blondes et pas du tout : c'est plutôt fin et bien pensé.
Hazel, la personnage principale nous raconte cette épidémie, en alternant le présent (elle est seule dans un chalet, enceinte de huit mois) avec le déclenchement de l'épidémie 6 mois plus tôt.
Les symptômes de la maladie sont les suivants : la malade devient « étrange » puis agressive et finit par « tuer »ses voisins (et se faire tuer par la police). Cet aller-retour entre présent et passé est bien amené et donne envie de savoir la suite.
Hazel est universitaire et spécialiste dans la communication : elle est à la fois naïve (son directeur de thèse l'a séduite et elle tombe enceinte) et mûre dans ses réflexions sur un monde qui se délite.

Dans cette vision apocalyptique, est il utile de dire que tous les pays ne sont pas touchés également ? Même si le livre se centre sur New-york et sur Toronto , il s'agit d'une épidémie mondiale et des pays comme les pays nordiques sont particulièrement touchés. L'Asie et l'Afrique sont peu concernées par l'épidémie.
La gent masculine est épargnée par le virus et « parque » les femmes suspectées d'être atteintes. Hazel, blonde vénitienne pour ne pas dire rousse, est « internée » dans un centre de quarantaine jusqu'à sa « libération » et son installation dans un chalet avec une personne pour le moins étrange....
En parallèle, elle parle affectueusement au bébé qui est dans son ventre et j'ai trouvé le ton très juste ...ce bébé va naître dans un monde dévasté (six mois après le début de l'épidémie on sait que 20 pour-cent de la population a été touchée par le virus ou ses conséquences ). La maladie est finalement peu contagieuse mais mortelle à quasiment 100%.
L'autre élément qui en fait un des ressorts est que Hazel est confinée deux mois dans ce centre (sans qu'aucune information ne filtre), sa sortie de quarantaine sera l'occasion d'un contraste saisissant entre le «  cocon » de la quarantaine qui bien que difficile a « protégé » les personnes isolées de ce qui se passait dehors.
En bref une excellente surprise ......
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Roman d'anticipation, mais tellement réaliste qu'il nous embarque immédiatement. le point de départ est presque loufoque : les blondes deviennent folles-dangereuses, l'épidémie se propage et le danger est partout. On emboîte le pas de l'héroine, qui tente de sauver sa peau, en solo mais avec de belles rencontres en chemin. Un roman puissant et actuel, qui parle de lien et d'entraide. Je l'ai dévoré !
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Quel ennui que ce roman ! C'est rempli de longueurs monotones. Et l'astuce des zombies-blondes qui parsèment l'histoire d'anecdotes presque sanglantes fait un gros flop.
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Ce livre étant offert par les collections 10/18, je l'ai pris sans trop savoir à quoi m'attendre.

Le début était bien tourné, plein d'humour. Une jeune femme, enceinte, raconte à son bébé comment il est arrivé là... Seule, enceinte d'un homme marié canadien, elle se demande comment elle va pouvoir avancer à New York lorsque des choses étrangers apparaissent.

En effet, une femme en pousse une autre violemment sous le métro, puis un déchaînement de violence apparaît petit à petit... En fait, cela est dû au syndrome des blondes, qui peuvent devenir extrêmement violentes et sanguinaires si elles sont contaminées par le virus.

Elles doivent alors se raser la tête, se retrouvent parquées...
Et notre héroïne se retrouve dans un chalet, enfermée avec la femme de son amant, à dérouler petit à petit le fil de son histoire...

Malgré un début prometteur et un récit bien écrit, je reconnais ne pas avoir été emballée plus que ça par le sujet.
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C'est rafraichissant de lire un roman d'un genre auquel on n'est pas habitués. C'est une drôle d'idée tout de même que cette « Furie blonde ». J'ai apprécié suivre le parcours d'Hazel, quoi que j'aie imaginé quelque chose d'un peu plus « aventure post-apocalyptique » à la lecture de la quatrième de couverture.

Maintenant que j'y pense, je parle d'un style inhabituel, mais j'ai lu un livre de la même trempe il y a peu, à savoir « Bird Box » de Malerman. C'est comique cette volonté de prendre une femme enceinte comme personnage principal dans un monde qui va mal. Il est vrai que cela pose la question de l'avenir d'un enfant dans un monde dont on ne connait plus les règles, un peu comme dans les séries Walking Dead ou Lost, qui ont chacune comporté une femme enceinte à un moment donné.

J'ai trouvé que « les blondes » était un roman intelligent et qui ne s'est pas contenté de faire dans le sensationnel mais qui a intégré des réflexions esthétiques et psychologiques à ses pages.
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