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Le narrateur est un gamin de treize ans et demi, fou amoureux de “Lasse”, club de foot De Saint Étienne pour les non initiés 😊. le 12 Mai 1976, Lasse joue la finale de la coupe d'Europe des clubs champions contre le Bayern Munich. Un truc jamais arrivé depuis 1959, un club de foot français en final de cette compétition phare du foot.
Le gamin c'est Nicholas, sa mère a quitté le domicile conjugal (« Moi je l'ai remplacée le jour même par une équipe de football, les Verts de Saint-Étienne, Lasse ....Par instinct de survie.»). Il vit avec son père et Virginie, sa « fausse-mére » et le fils de celle-ci, Hugo, le porcelet CMG ( lexique dans le bouquin 😄). le monde du foot et Lasse sont ses uniques points de repères et de ressources pour survivre dans cette famille recomposée où tout “ l'insupporte”.
« Le match va démarrer. Maman est partie et mon père l'a remplacée par une fausse-doche exhibitionniste et obsédée par ses cheveux, avec en prime son fils obèse. », ce match est donc d'une importance vitale........
Un premier roman émouvant ,écrit par un passionné de foot. Un gamin intelligent et très attachant, dont on partagera les espoirs et le désarroi, le temps d'un match . ( « Je luttais pour ne pas me laisser envahir par l'immense tristesse que m'inspirait la médiocrité du panorama de mon existence »).
Aucun besoin d'être passionné de foot ou de s'y connaître pour apprécier ce petit livre qui parle tout simplement de la Vie et de ses revers avec beaucoup d'humour, malgré la tristesse des circonstances.

“Finalement, c'est toujours la même histoire lorsqu'il s'agit de la foi, ce n'est qu'à la fin que l'on sait si on a eu raison d'y croire ou pas.”
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Souvenirs:
13 ans et demi, la "troisième", les potes, les premiers émois amoureux, les posters trahissant nos passions: rock et foot pour Nicolas, surtout foot, surtout le club De Saint Étienne que notre jeune adolescent va s'approprier en le nommant LASSE

Tristesse:
fils unique , la maman de Nicolas est partie: pas de pleurs ni de cris ni de rage, du moins pas encore: juste une absence, un vide , un mal être insaisissable : heureusement, en cette année 1976, les verts commencent leur épopée européenne et Nicolas comble ce vide par une équipe de foot

Ecoeurement:
la mère est partie mais le père n'a jamais été là: il remplace très vite sa mère par Virginie et son gosse qui a l'âge de Nicolas, ecoeurement d'un père qui ne passe pas l'amour pour son fils avant tout , écoeurement d'adultes , comment ne pas aimer son fils avant tout: Nicolas ne comprend pas et souffre plus de l'absence d'amour de son père que de l'abandon de sa mère

Colère:
colère contre ces parents qui n'agissent que pour eux même; leur propre confort passant largement devant leurs devoirs de père et mère, colère contre ces hommes et ces femmes qui ne mesurent pas la conséquence de leurs actes: que ressent un adolescent? ils s'en foutent!

Humour:
Nicolas appelle la nouvelle compagne de son père "fausse doche""fausse mère" : humour du désespoir. il donnera aussi un autre surnom "CMG" au fils de sa compagne, je vous laisse en découvrir la signification

L'absurde ou les 105 minutes de vérité
ce 12 mai 1976 , LASSE affronte le Bayern de MUnich en finale de coupe d'Europe. La famille recomposée ( décomposées?) dîne en regardant le match . On sent bien chez ce gamin de 13 ans que tous ses sentiments dépendent de l'issue du match : il relativisera sa condition de "fils de divorcé" il fera plus d'effort pour aimer sa fausse mère et son fils , il se rapprochera peut être même de son père si les allemands perdent mais un fil va se rompre si "les verts perdent": quel en sera la conséquence?
Absurde, me direz vous? oui bien sur, mais nous à quoi nous raccrochons nous quand tout va mal?

Il y a très longtemps que je n'avais pas été traversé par tant d'émotions si fortes et si contradictoires en lisant un roman, surtout un petit bouquin de 139 pages. Émotions oui mais aussi pistes de réflexions multiples sur la vie, sa vacuité, et son contraire: la foi et évidemment une analyse profonde de l'absence de l'amour.
LA DERNIÈRE FOIS OÙ JE CROIS AVOIR ÉTÉ SI SECOUÉ PAR UN BOUQUIN: C'EST "VOYAGE AU BOUT DE LA NUIT"!!

La construction est originale, le style simple mais puissant
chaque phrase est ciselée et la fin est tout simplement sublime.
Que vous aimiez les gosses, le foot , les années 1970, on s'en fout: lisez ce livre c'est un chef d'oeuvre!!

Mais ce n'est que mon humble avis


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Je me souviens de Pierre Sabbagh, un des pionniers de la télévision, créateur du premier journal télévisé mais aussi de Au théâtre ce soir, expliquant qu'il adorait le football parce qu'un match était souvent plus réussi au niveau dramatique qu'une pièce de théâtre. le match qui a opposé Saint-Étienne au Bayern Munich en finale de la coupe d'Europe à Glasgow le 12 mai 1976 en est la plus parfaite illustration.
Laurent Seyer l'aura vécu adolescent tout comme moi et comme le narrateur de son roman qui a 13 ans et demi lorsque les 22 acteurs entrent sur la pelouse.
Ajoutons d'emblée qu'il n'est nullement besoin d'aimer le football pour apprécier ce court roman, car il n'est pas ici question de refaire le match, mais de s'appuyer sur ces quatre-vingt-dix minutes et leur intensité émotionnelle pour raconter la vie de Nicolas Laroche qui avoue d'emblée «Je suis né à Glasgow, le 12 mai 1976».
Est-il besoin de rafraîchir la mémoire de ceux qui n'étaient pas devant leur écran ce jour-là? À l'image de la finale de la Coupe du monde qui vient de s'achever, je crois que ce match est tellement ancré dans la mémoire collective que ce n'est guère nécessaire, car même ceux qui n'étaient pas nés ont dû entendre parler de ce haut fait du sport français et de ces fameux poteaux carrés qui donnent leur titre au roman et résonnent encore aujourd'hui d'un bruit mat, celui du ballon venant se fracasser sur ces montants maudits.
Car Saint-Étienne va perdre le match. le beau rêve va se briser dans les brumes écossaises. Mais quand Nicolas prend place sur le canapé aux côtés de Hugo, il ne sait rien du scénario qui va se jouer. Il est tout simplement le garçon qui doit digérer le divorce de ses parents et accepter la cohabitation avec Virginie, sa fausse-mère et son fils Hugo qui ne s'intéresse pas beaucoup au football. Ce qui fera dire au narrateur à la mi-temps qu'ils auront passé «quarante-cinq minutes côte à côte, mais nous n'avons en vérité pas vécu ces moments ensemble.»
Au début de la rencontre pourtant, il a des étoiles plein les yeux. Se remémore les bons moments, les sorties en famille, sa première paire de chaussures de foot, la pizzeria de Vincennes, les vacances de ski aux Menuires. Puis au fil des minutes, l'espoir se transforme en malaise. Ceux qui portent comme lui le maillot vert «Manufrance» se heurtent à un mur. Il va convoquer ses amis de classe à la rescousse, en appeler à ses grands-parents et notamment à sa grand-mère devenue au fil des ans et des conversations avec ses cousins Marc et Jean-Baptiste une vraie légende. Ayant traversé les deux guerres, elle pouvait crier «sales boches» comme soudain le garçon désespéré après le coup-franc de Roth signant la fin d'une formidable épopée que même l'ange vert, Dominique Rocheteau, ne pourra enrayer après son entrée sur le terrain pour les dernières minutes.
Comment en est-on arrivés là? La question va longtemps hanter les commentateurs sportifs. La question va longtemps hanter Nicolas. On l'aura compris, Laurent Seyer nous offre un roman d'apprentissage, un geste fondateur, un «moment qui durera toujours.»

Lien : https://collectiondelivres.w..
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****

Nicolas Laroche a treize ans et demi en ce 12 mai 1976. En fan inconditionnel de Lasse, le club de foot de St Etienne, il suit à la télévision le match décisif, la finale de la coupe d?Europe des clubs champion. Mais cette rencontre sportive est pour lui bien plus qu?un simple jeu...

Lu grâce aux 68 premières fois, ce premier roman de Laurent Seyer est touchant et émouvant.
Son héros, Nicolas, souffre terriblement du départ de sa mère. Il est le seul enfant de divorcés et garde cette blessure au fond de lui. Quand le juge lui demande avec qui il veut vivre, il choisit sa mère, sans aucune hésitation. Mais c'est pourtant avec son père, sa nouvelle petite amie et le fils de celle-ci que Nicolas est obligé de vivre. Il n'est pas malheureux, mais ce père, silencieux et absent, est-il à la hauteur du besoin d'amour de Nicolas ?

On a tellement de peine pour ce petit bonhomme, qui remplace le vide par l'admiration du club de foot de St Etienne. Et on comprend très vite l'enjeu de cette finale. Fera-t-il parti des vainqueurs ? Sa vie va-t-elle basculer du bon côté ?

Un très joli roman à découvrir...
Lien : https://lire-et-vous.fr/2019..
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Impossible de passer à coté de ce livre . Yvan Curkovic en couverture, un titre qui pour tout supporter stéphanois qui se respecte est un crève coeur incommensurable et quelques critiques sympathiques d'ami(e)s babeliotes.
Même s'il est un peu plus vieux que moi, Nicolas , on a eu la même passion. Lui c'était Lasse moi c'était les Verts. Partout , sur toutes les tables de cours, sur les platanes ...
Nos points communs s'arrêtent là. Il n'a pas eu ma chance avec sa famille.
Car ce livre qui prend la tragédie d'Hampden Park pour fil rouge est avant tout une tragédie familiale. Celle d'un enfant de 14 ans privé de sa mère et obligé de se taper une "fausse doche " et son goret de gamin , venus vivre avec son père. Ce père , présent mais absent, avec qui il ne partage pas . Ce père avec qui la fissure s'agrandit chaque jour .
Il y a peu de joie dans ce livre, si ce n'est quand la mère apparaît. Joli coup de l'auteur d'avoir su bien compartimenter les émotions suivant les rencontres.

Ce livre est indispensable pour tout ceux qui comme moi pissent vert depuis qu'ils ont cinq ans . Ce match est mon souvenir le plus ancien , sur les genoux de papi . Il a également marqué ma vie et celles de mes enfants que j'ai bien initiés au mythe des verts :).
Mais ce livre est autre chose qu'un livre sur le foot , c'est l'histoire d'une tragédie quotidienne , d'autant plus dans le milieu des années soixante dix où le divorce n'était pas aussi monnaie courante qu'aujourd'hui. de l'adolescence si fragile qu'un rien peut faire basculer.
Je valide bien entendu cette lecture !

Ps : pour être honnête malheureusement, si les poteaux étaient carrés , les pieds aussi surement un peu ! :)
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Un tout petit roman (135 pages) mais un vaste sujet : celui de l'adolescence, avec ses engouements, ses chagrins insurmontables, ses interrogations silencieuses qui restent sans réponse. Nicolas Laroche, supporter des Verts (l'AS-SE dit-on mais pour lui ce sera Lasse, plus personnel), vit plutôt bien apparemment dans la banlieue cossue de Vincennes, pas très loin du château, et il fréquente l'école catholique de la ville. École d'ailleurs, peut-être en partie responsable de son mal-être. Car, en 1976, c'est une sorte de tare, que d'être « fils de divorcés ». Il est le seul de son cas dans sa classe. Même si les divorces étaient moins fréquents qu'aujourd'hui à cette époque, je suis à peu près sûre que dans mes propres classes du secondaire public, il y avait davantage de gamins de parents divorcés.

Être « le cas », l'anomalie, quand on a 13 ans et demi, c'est dur à porter. Nicolas n'est pourtant pas différent des autres ados : il observe et juge ses parents, souffre de l'apparente indifférence de son père (au point d'être jaloux d'un copain, non pas parce qu'il est allé voir un grand match de foot mais parce qu'il y est allé avec son père!). Nicolas ne crie pas « je vous déteste » à ses parents, quand il est en colère, ne pleure pas, ne dit à peu près rien. Mais, devant la télé qui passe en direct la finale de 1976 ASSE-Bayern de Munich en coupe des clubs champions, il revisite toute sa courte vie : le départ de sa mère à qui on ne l'a pas confié parce qu'elle boit, le souvenir extra qu'il a de son voyage avec elle à Glasgow où il a voulu visiter les stades mais pas la lande, ses premières chaussures de foot achetés à la Hutte (oui, je me rappelle cette boutique!), les copains de l'école, les matches de foot surtout.
Et à côté de lui, sur le même canapé, comme un affront à ses souvenirs et à ses rêves, l'idiote et insupportable réalité : trois pantins qui s'exclament comme des supporters avertis alors qu'ils ne comprennent rien au foot, son père , sa fausse-doche comme il dit, récusant le titre de « belle-doche » et surtout son affreux goret de fils qu'il ne supporte pas. Deux indésirables dans sa maison.

L'auteur réussit à raconter le match en l'entrelardant de souvenirs et de pensées d'un ado hypersensible et blessé, sans tomber ni dans le ridicule d'un langage totalement artificiel ni dans un pathos dérangeant. Nous sommes avec Nicolas, inconditionnellement.

Un premier roman sensible, construit avec finesse et qui sonne juste. Et qui aura eu le mérite de m'avoir fait m'intéresser, au moins un moment, au foot et à son lexique !


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Je poursuis mes lectures de la sélection « rentrée littéraire » des 68 premières fois par ce roman de Laurent Seyer, Les poteaux étaient carrés

Même si le milieu du foot ne m'est pas très familier, j'étais toute disposée à me plonger dans ce premier roman et à revivre le match mythique qui a opposé en mai 1976 l'ASSE et le Bayern de Munich. Je me souviens de l'engouement pour l'équipe des verts de Saint-Étienne et, à la lecture de ce livre, je retrouve même des noms de joueurs que j'ai dû connaître à l'époque. En effet, même si mes préoccupations étaient ailleurs, il n'était pas facile alors d'échapper au retentissement de cet événement sportif…

Pourtant, cette lecture m'a un peu gênée… D'abord, c'est tout juste un roman, plutôt une longue nouvelle, vu son format. de plus la narration obéit aux codes de la nouvelle : forme brève, sujet restreint, entrée en matière rapide, peu de personnages, chute rapide et inattendue…
La métaphore filée entre le déroulement du match, les personnalités des joueurs et de l'arbitre et les évènements vécus par le jeune Nicolas, âgé de 13 ans et demi, et les relations qu'il entretient avec ses parents, la nouvelle compagne de son père et son fils et ses camarades de collège ne fonctionne pas tout au long de la narration avec le même naturel. le résultat est très inégal.
L'idée de départ est cependant originale : reporter sur une équipe de foot le potentiel relationnel qui manque dans une famille recomposée, y trouver la force d'un lien qui manque entre un père et son fils, compenser le vide de l'absence de la mère par le jeu collectif… Mais voilà, cela ne me convainc pas.

Une déception…
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Ce n'est pas un livre sur le football il faut surtout entamer par celà ..Bien sur le foot et particulièrement la finale coupe d'Europe de 1976 entre le Bayern et L'Asse ou lasse d'après Nicolas le petit personnage central , sert de fil rouge à cet histoire .
Nicolas dont les parents se sont séparés l'année d'avant et est obligé de suivre ce match chez son père avec sa nouvelle famille recomposée , sa belle doche Virginie , sexy aux yeux de ses copains , et de son fils dont il ne supporte pas la présence .
Ce livre est surtout la description des sentiments de ce petit homme face à une situation qui s'est imposée à lui , les jugements qu'il en retire , les craintes qu'il accumule et le fatalisme qui commence à l'habiter . Il s'est d'ailleurs choisi une nouvelle famille , Lasse son équipe ; il est amusant de voir comme d'ailleurs il mémorise les événements de sa vie au travers des matches de son équipe . On peut mieux comprendre pourquoi pour certains le sport est un refuge à une vie difficile .
Ce qui est touchant c'est surtout la solitude , la tristesse mais aussi la lucidité de Nicolas devant l'éclatement de son cercle familial ; à cet époque en 1976 le divorce n'était pas si courant .
Brève histoire , trés bien écrite , un bon moment de lecture .
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J'annonce d'emblée que j'ai aimé ce livre.
Un récit bref qui dit l'essentiel.
Nicolas, le jeune garçon a 13 ans et demi lors de la finale historique l'ASSE Saint-Etienne contre le Bayer de Munich.
Il est suspendu à la retransmission télévisée.
Le lecteur suit quelques séquences du jeu de la seconde mi-temps, mais ce n'est pas un roman essentiellement sur le foot.
Car la mère de Nicolas a quitté le domicile le laissant seul avec un père physiquement présent mais qui semble indifférent.
Il faut un palliatif à l'absence et, le jour même du départ de la mère, "question de survie", il se passionne pour l'équipe de Saint-Etienne. Les Verts comblent le vide.
L'écriture est sobre, sur fond de tristesse non exprimée.
Une écriture maîtrisée avec des notes d'humour.
Pour moi, cela a été comme un cadeau : nous habitions à cette époque proche Lyon, notre fils avait l'âge de Nicolas et nous avons vécu son amour pour les Verts, la collection des vignettes Panini...
J'ai pu avoir l'illusion de revivre cette période. C'était bien.
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C'est à un drame que nous convie Laurent Seyer dans ce court roman, véritable concentré d'émotions. Unité de temps: les quatre-vingt-dix minutes du match opposant  les Verts de Saint-Étienne au Bayern Munich à Glasgow en finale de la coupe d'Europe. Unité de lieu: le canapé de l'appartement où se côtoient les membres de la famille recomposée de Nicolas, fan de LASSE comme il l'appelle. Unité d'action: le match qui déterminera un avant et un après dans la vie de l'adolescent.
Quiconque a connu cette année 1976 se souvient de la ferveur qui soudainement s'était emparée des Français pour cette équipe des Verts, dont les membres étaient devenus des héros. Chacun, comme le rappelle l'auteur, avait son chouchou , chacun se souvient de ce match maudit où rien ne s'est passé comme prévu.
Lire Les poteaux étaient carrés c'est replonger dans cette période, mais c'est aussi découvrir un roman d'une extrême sensibilité, fluide et émouvant où un adolescent  porte un regard aigu sur un père qui n'en est pas vraiment un. Tout est suggéré de manière discrète mais efficace et les dernières pages du roman nous laissent un peu sonnés. Un grand coup de coeur.
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