AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
4,05

sur 10418 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Ce livre raconte l'histoire d'un écrivain à la recherche d'un nouveau sujet pour son prochain roman . Elle découvre l'existence du cercle litteraire d'amateurs d'épluchures de patates et par rencontrer ces différents membres sur l'ile de Guernesey. Il fut créé lorsque les allemands débarquèrent sur l'île lors de la seconde guerre mondiale. L'auteur nous entraîne donc avec elle sur l'île de Guernesey pour faire la connaissance de ces gens en 1946, les écouter, puis raconter leur vécu en tant qu'habitants vivant sous l'occupation et non pas en tant que participants au cercle littéraire. L'originalité de cette ouvrage est qu'il se présente sous forme de recueil d'une correspondance entre l'auteur, les membres du cercle, son editeur et ses amis. Il est donc plus léger à lire.
Commenter  J’apprécie          70
Roman épistolaire fadasse, qui vous occupera chez le dentiste ou dans le bus.
J'ai du mal a comprendre le total engouement face a ce bouquin. Ok c'est léger, c'est sympa mais enfin ça n'a rien de révolutionnaire et les personnages sont assez pauvres.

Mais bon, rien de méchant non plus, j'ai lu ça vite et avec un certain plaisir. C'est juste pour moi le genre de livre qui n'a aucun autre intérêt qu'une distraction immédiate. A vrai dire, l'histoire je l'ai déjà presque entièrement oubliée. Sympa mais loin d'être marquant donc.
Commenter  J’apprécie          40
Guernesey : une île que beaucoup d'aficionados de la lecture connaissent surtout parce que Victor Hugo s'y est exilé.
Du moins, en ce qui me concerne, je sais que si on me demandais de développer je passerai très rapidement pour une ignorante.

Avoir choisi cette île pour parler de ce qui s'y est passé pendant la Seconde Guerre mondiale m'a donc paru une bonne façon de sortir des sentiers battus. Il en va de même pour le choix de la forme épistolaire. Un choix d'écriture qui permet de lire ce roman très facilement.

Malheureusement, le Cercle Littéraire des Amateurs d'Epluchures de Patates est un succès de librairie qui gardera tous ces secrets pour moi !
Autant j'ai trouvé la première partie "instructive", autant j'avais hâte d'en finir avec la seconde.
Je n'ai pas réussi à m'attacher aux personnages, ni à leur histoire à cause du ton parfois trop doucereux et parfois trop surfait qu'a utilisé l'auteure. Et ce qui m'a vraiment le plus ennuyé - pour ne pas dire plus .. - ce sont toutes les intrigues secondaires !! les petites histoires de coeurs et les personnages caricaturaux qui m'ont donné l'impression de lire une chronique de potins d'après-guerre !!

Les idées de bases étaient bonnes et originales pour certaines, mais le fond ne m'a vraiment pas transportée.
Toutefois, je tiens à remercier mon amie Malivriothèque sans qui je n'aurais sans doute pas lu ce roman ! ::wink::
Commenter  J’apprécie          314
Beaucoup de tapage pour par grand chose. Je me suis forcée à lire les 100 dernières pages, sans grande conviction.
Il ne s'y passe pas grand chose, au final, dans ce roman... Je ne lui ai pas trouvé beaucoup d'intérêt. Il est sympa, sans plus.
Commenter  J’apprécie          10
(Lu en VO)
C'est dommage que la demi étoile n'existe pas sur Babélio. J'aurais ainsi pu mettre juste la moyenne à ce roman. Vu l'engouement et l'estampille «Best seller», je m'attendais à bien mieux. Il y a certes des passages émouvants ( tous liés aux faits historiques), mais largement sous exploités dans la psychologie des personnages à mon goût.
La psychologie du personnage de Juliet sur certains points manque de profondeur. J'ai par exemple eu la sensation que ses sentiments pour Dawsey apparaissaient un peu comme un cheveu sur la soupe.
L'écriture épistolaire aurait justement été l'occasion de pourvoir exprimer les sentiments et ressentis des un et des autres de manière plus détaillée.
Bref, c'est une jolie histoire,mais pas un chef d'oeuvre... peut-être en attendais-je trop?
Commenter  J’apprécie          40
On peut se demander : pourquoi une énième critique de ce bouquin ? La réponse : c'est inutile, je sais, mais je n'ai vraiment, mais vraiment pas aimé et je tenais à le dire. Voilà.

Au sortir de la Seconde Guerre Mondiale, Juliet Ashton, jeune écrivain fort appréciée, se met à correspondre avec Dawsey, un homme habitant l'île de Guernesey. Lorsque celui-ci évoque « le Cercle littéraire des amateurs d'épluchures de patates », Juliet se pique de curiosité pour cette petite île de la Manche et se lie d'amitié avec plusieurs de ses habitants, membres du Cercle, qui lui narrent leur manière dont ils ont vécu la guerre et le rôle joué par les livres. Jusqu'au moment où elle décide d'aller leur rendre visite à Guernesey…

J'avais beaucoup entendu parler de ce livre depuis sa sortie. En bien. de plus, son titre relativement intrigant attrapait mon regard dans chaque librairie que je visitais. En revanche, la couverture et le commentaire d'Anna Gavalda en quatrième de couverture (« Absolument délicieux ! ») jouait plutôt en sa défaveur. Après l'avoir emprunté à une amie, il fut abandonné pendant plusieurs mois au milieu de mes livres à lire. Ce n'est que récemment que je me décidai à le lire (un peu pour m'en débarrasser, je l'avoue).

Et au final, qu'en est-il ? le cadre : Guernesey. Une île dont je ne connaissais rien et des paysages splendides dont les descriptions offertes par ses habitantes font parfois rêver. le moment : la fin de la Seconde Guerre Mondiale. Un moment fort, les Nazis sont repartis, on apprend à revivre, la douleur est toujours là, mais la joie commence parfois à revenir. On découvre donc dans ce livre l'histoire et l'occupation par les Allemands d'une région inconnue et ignorée des livres d'histoire. Et mêlés à tout cela, des livres ! Que demander de mieux ?
Voyons… Des personnages moins gentils peut-être ? Oui, parce que les gens sont tous très gentils autour de Juliet. Ils sont tous originaux, attachants, Elizabeth qui a été déportée est tellement courageuse, la petite Kit est mignonne à souhait malgré son caractère bien trempé, etc. (Autre petite chose qui m'a fait sourire : ils créent le Cercle durant la guerre, la plupart n'ayant jamais lu de livres auparavant. Mais presque à chaque fois qu'ils prennent leur premier livre, c'est LE livre, celui qui les suivra toute leur vie. J'ai trouvé ça un peu improbable et, même si ça ne m'a pas dérangé du tout, je reconnais que ça m'a fait sourire.) Les Nazis sont méchants, mais pas tous quand même : c'est peut-être la seule nuance à être dans le caractère des personnages. En revanche, le prétendant de Juliet Mark Reynolds est LE bellâtre par excellence et Adelaïde Addison LA méchante vieille aigrie contre tous. Un peu de gris aurait été le bienvenu dans cette farandole de bons sentiments et de portraits pour le moins manichéens. Et cela nous aurait peut-être épargné la fin totalement bateau et prévisible que nous offre (cadeau empoisonné !) les auteurs.
A mon avis, il manque autre chose à ce livre, quelque chose d'essentiel : un style. Ce livre m'a frappée par son absence totale de style. C'est un roman épistolaire, il se construit donc sur les lettres provenant de différentes personnes, de différentes personnalités, de différentes histoires, or, tous les courriers sont écrits sur le même ton. N'est-ce pas fabuleux ? Ainsi, celle dont l'écriture est son métier écrit de la même façon que celui qui ne lit que depuis deux ans. de même, il n'y a pas de différence notable entre les missives de l'excentrique du village et de la respectable dame qui habite le manoir. Où est la crédibilité ? Les auteurs auraient dû se pencher sur leur personnage et leur donner une voix propre. Bien sûr, on sent qu'ils ne sont pas tous pareils, mais cette impression m'a été donnée par leurs actes et non pas par leurs écrits.

Je sais que beaucoup ne seront pas d'accord avec moi comme je sais que certains le sont, mais si vous cherchez un roman à l'eau de rose dans un beau décor à lire sans réfléchir, d'accord. En revanche, si vous êtes en quête d'un bon roman, fuyez !
(Cependant, le nom de Charles Lamb est couché sur l'un de mes carnets et j'ai bien l'intention de le découvrir un jour.)

Petite précision : le véritable nom du Cercle est « le Cercle des amateurs de littérature et de tourtes aux épluchures de patates », ce qui est conforme avec le titre anglais (« The Guernsey Literary and Potato Peel Pie Society »), mais cette appellation a été raccourcie lors de sa traduction (un énième exemple de massacrage de titre…).
Commenter  J’apprécie          70
Bon, ben là faudra qu'on m'explique comment un "roman épistolaire", avec des échanges de lettres de plusieurs dizaines de personnages, d'appartenances sociales, de plus, des plus diverses (écrivain, fermiers...) écrivent tous avec le même style littéraire basique / plan-plan / (cucul tant qu'à faire) / insipide / fadasse.... (liste malheureusement non exhaustive).
Est-ce que vous avez déjà reçu 2 longues lettres, même de 2 personnes très proches "socialement", que vous pourriez "confondre" ?! Or, là, toutes les lettres sont de même (mauvais) acabit ! C'en est tellement déconcertant que j'ai été incapable de me fondre dans cette histoire ! Suffit-il de changer les signatures au bas des différentes lettres pour justement "faire croire" au lecteur que c'est un autre personnage qui s'exprime ?!
Quid de la diversité des individualités, au-delà des simples éléments factuels relatés dans ces lettres ?!
Quand on est incapable de changer de style selon le personnage qui est censé s'exprimer, pourquoi ne pas tout bonnement écrire un simple "roman", avec une seule narration ?!
Ou alors les auteur(e)s estimaient que le "fond" était suffisamment riche pour que l'on passe outre cet énoooorme handicap ? Certes, l'histoire n'est pas aussi inintéressante que sa forme, mais non, pour moi, pas au point d'arriver à m'y plonger ; d'ailleurs je m'y suis souvent ennuyée... (Je ne pense pas que cela soit utile que je vous serve quelques éléments de l'histoire, les centaines de critiques de ce site pourront assouvir votre curiosité !)
Quant aux personnages, je les ai presque tous trouvés cucul la praline (oui, aussi "cucul" que "leur style" !)
Les bonnes notes de Babelio m'avaient justement donné envie de tenter cette lecture plutôt légère, mais, sans parler de "déception" puisque je n'en attendais pas grand chose, je suis restée à quai, le "voyage" évoqué dans le livre s'est fait sans moi, tant pis pour moi...
En tout cas, c'est très perturbant de lire un livre dont le titre comprend l'adjectif "littéraire", alors qu'il n'y a justement que ce titre, original, qui pourrait s'en approcher !
Car pour son contenu, je ne garderai du titre que les "épluchures".....
Commenter  J’apprécie          200
Juste après la fin de la Deuxième Guerre mondiale, Juliet, auteur à succès, cherche une nouvelle idée de roman. Elle reçoit un jour la lettre d'un admirateur inconnu de son travail, qui vit sur l'île de Guernesey, longtemps elle aussi occupée par les Allemands. Au fur et à mesure de leurs échanges, Juliet va découvrir que cette personne et un petit groupe d'amis font partie du Cercle littéraire des amateurs d'épluchures de patates. Intriguée, elle souhaite en savoir plus sur ce cercle, ces gens, l'île et son occupation. Au fil des lettres, Juliet apprend comment une femme a su tenir tête à l'ennemi en inventant un mensonge devenu aujourd'hui réalité. Fascinée, la jeune femme ne pourra qu'aller à la rencontre de ces personnes...

J'ai bien aimé la première partie du récit, bien qu'il s'essouffle assez vite. On ne peut pas spécialement parler d'un style ou d'une écriture particulière chez Mary Ann Shaffer, dont c'est l'unique roman publié. On est dans un registre assez plat. Peu de reliefs en perspective, même pas au niveau de l'action.
Il est intéressant au début de comprendre comment s'est formé le cercle, et les lettres des habitants de Guernesey regorgent d'anecdotes relatives à la vie pendant la guerre et surtout l'occupation. Mais contrairement à ce qui est voulu, les personnages ne sont pas vraiment attachants. Pourquoi ? Ils sont tous emprunts de bienveillance, tout le monde est beau, tout le monde est gentil, tout le monde raconte son histoire et veut faire plaisir. D'ailleurs, pour faire croire que cette interprétation n'est pas vraie, l'auteur insère trois-quatre pauvres lettres d'une femme considérée comme puritaine, la vraie Miss Cancan du coin, sauf que c'est tellement léger par rapport au débordement de bonne humeur et d'amour des autres que ça ne suffit pas. Pire : à la lecture on n'y pense plus.
Etrangement, Sophie, présentée comme la meilleure amie de Juliet, reçoit quantité de lettres, répond vraisemblablement à sa copine, mais on ne lit jamais ses mots. Je n'ai pas compris cette ellipse qui est à mes yeux une erreur grave. Où est dans ce cas l'intérêt de nous dire que c'est sa meilleure amie ?? J'ai ri quand à la fin Juliet écrit une lettre à Sidney (son éditeur et le frère de Sophie) pour lui expliquer un fait troublant qu'elle ne souhaite pourtant pas raconter à Sophie pour ne pas la perturber pendant sa grossesse. Oui, mais de toute façon on ne l'entend jamais sa copine, alors on s'en fiche !
L'histoire d'amour développée est ridicule, complètement nunuche. Comme l'héroïne d'ailleurs. Elle ne sert à rien, on n'en a rien à faire, nous tout ce qu'on veut c'est qu'on nous parle du cercle. Mais à force, et surtout à partir de la deuxième partie, on n'entend plus trop parler du cercle. On assiste plus à la vie sur l'île. Juliet tombe complètement amoureuse du coin, d'un mec et d'une petite fille qu'elle veut adopter au bout de trois mois alors que la fillette a déjà une famille qui l'a recueillie.
On est dans un idéalisme pathétique, absolument pas crédible. Dommage, la forme épistolaire était un choix judicieux car inhabituel.
Lien : http://livriotheque.free.fr/..
Commenter  J’apprécie          223
J'ai été un peu déçue par ce roman épistolaire. Je me suis un peu ennuyée, même si j'avoue avoir lu le roman en très peu de temps. Je m'attendais peut-être à un peu plus d'originalité, de rebondissements, à moins de convenances. C'est un livre gentillet, à lire quand on a besoin de se vider la tête et de voir la vie en rose.
Commenter  J’apprécie          60
Juliet Ashton, jeune auteure d'un feuilleton à succès pendant la guerre, cherche un nouveau sujet pour un prochain livre qui lui permettra de démarrer une nouvelle carrière après-guerre. C'est alors qu'elle reçoit une lettre d'un habitant de l'île de Guernesey qui souhaite se renseigner sur le poète anglais Charles Lamb. S'en suit une longue correspondance, grâce à laquelle Juliet va faire la connaissance avec nouveaux amis et découvrir l'histoire extraordinaire des habitants de Guernesey pendant la deuxième guerre mondiale.
Cliquez sur le lien pour lire la suite...
Lien : http://aufildeslivres.over-b..
Commenter  J’apprécie          120



Autres livres de Mary Ann Shaffer (1) Voir plus

Lecteurs (25483) Voir plus



Quiz Voir plus

Le cercle littéraire des amateurs d'épluchures de patates

Comment s'appelle le personnage principal ?

Dawsey
Juliet
Sidney
Sophie

10 questions
151 lecteurs ont répondu
Thème : Le cercle littéraire des amateurs d'épluchures de patates de Annie BarrowsCréer un quiz sur ce livre

{* *}