Le cercle littéraire des amateurs d'épluchures de patates

Roman épistolaire où le côté feel good occupe une part plus importante que le côté historique. Pas mal de discussions futiles et une approche trop superficielle du contexte historique au début. Les histoires de coeur de Juliet sont sans intérêt par exemple. le récit manque cruellement d'intrigue ou de profondeur avec un fil conducteur. Face à ce quotidien sans intérêt j'ai failli abandonner après 200 pages. Ensuite les anecdotes avec la cohabitation allemande se multiplient et c'est un peu plus intéressant : les radios confisquées, la faim, le froid, les enfants exilés à Londres et séparés de leur famille pendant plusieures années, le couvre-feu, les réquisitions, les camps et le travail forcé. Mais on retombe vite dans les histoires de l'époque actuelle qui manquent sérieusement de consistance.

Je ne sais pas vraiment comment j'en suis venu à lire ce livre. le titre m'aura intrigué sans doute.
Quand j'ai lu que madame Gavalda donnait son assentiment en quatrième de couverture , j'ai failli le reposer dans le rayonnage. Je me suis alors demandé pourquoi je ne devais pas verser dans ce genre de littérature, et puis je me suis trouvé d'un coup très snob et méprisant, alors sans plus réfléchir j'ai emporté l'ouvrage.
Roman épistolaire, en effet. Jusque-là je n'en avais jamais vraiment lu à part peut-être le Dracula de Bram Stocker.
Ici ce sont des échanges de lettres entre tous les personnages.
Je ne suis pas très convaincu par la forme, parfois abusivement utilisée je trouve, particulièrement quand les protagonistes, aux styles interchangeables, s'envoient du courrier pour n'écrire qu'un mot..peu importe, l'autrice finit par résoudre le problème au moyen de câbles ou télégrammes plus adaptés aux correspondances les plus courtes.
Quant à l'histoire, l'idée de départ est intrigante, certes, mais la tonalité définitivement trop sirupeuse pour moi. Je sais, avec l'âge on fait plus attention au sucre. Je me suis forcé à aller au bout de cette série de portraits de très gentils guernesiais ( sauf la vilaine miss Adélaïde Addisson qui a bien mérité une gifle), amateurs de littérature et solidaires dans l'adversité.( l'île est alors occupée par les allemands quand-même!)
Mais je ne regrette pas vraiment avoir tourné la dernière page.
Finalement le plus triste de cette histoire est que l'autrice n'aura pas pu goûter au succès de son petit cercle littéraire de son vivant.

Le Cercle littéraire des amateurs d'épluchures de patates//M.A.Shaffer&A.Barrows
Je suis enfin parvenu au terme de cette longue trop longue correspondance entre Juliet et les innombrables autres.
La quatrième de couverture laissait supposer que j'allais passer un bon moment. Au lieu de quoi, c'est l'indifférence et l'ennui qui m'ont pris de court.
Comme l'ont bien dit d'autres lecteurs, le début laissait augurer une passionnante lecture. Cependant, peu à peu, la lassitude a pris le pas : trop de longueurs, un style plat et monocorde, trop de personnages qui ne sont que des ombres.
Bien sûr pour faire sérieux, référence est faite à Catulle, Sénèque, Lamb et j'en passe. Mais enfin, on sort frustré de cette lecture insipide. On se dit qu'on a perdu son temps.
J'ai du mal à comprendre, comme d'autres lecteurs, l'engouement du public pour ce livre.

Malgré toutes les belles critiques et coups de coeur que j'ai pu lire sur ce roman, ce fut une lecture laborieuse. Il y avait pourtant tous les ingrédients : une autrice anglaise à la recherche d'un sujet pour son roman découvre un cercle littéraire, quelque part en Ecosse. C'est un roman épistolaire et donc chaque personnage qui écrit à son propre style. Et comme il y en a beaucoup c'est intéressant et amusant. On est au sortir de la guerre, on découvre comment l'Ecosse a vécu cette terrible période. de nombreux personnages donc, loufoques et attachants, une trame historique, des descriptions de paysages à couper le souffle...oui mais non. J'ai trouvé que tout était survolé, pas assez de profondeur, sauf peut-être le personnage d'Elizabeth. L'histoire d'amour trop prévisible...bref, je suis passé à côté 🤷

J'ai du lire « Le cercle littéraire des amateurs d'épluchures de patates » de Marry Ann Shaffer et Annie Barrows dans le cadre de mon cours de français.


Le cercle littéraire des amateurs d'épluchures de patates est un roman qui raconte l'histoire de Juliet Ashton, une écrivain vivant à Londres en 1946. C'est la fin de la guerre, le monde se remet doucement mais Juliet cherche un nouveau sujet sur lequel écrire.
C'est une lettre, d'un inconnu vivant sur la petite ile de Guernesey, qui va la guider vers sa nouvelle inspiration.
Je n'ai malheureusement pas vraiment apprécié ce livre car ;

D'une part, j'ai trouvé que faire tout le roman en épistolaire est un mauvais choix. J'aurai aimé avoir le point de vue personnel de certain des personnages et, soyons honnête, lire près de 400 pages de lettres, c'est très long et assez lourd. Les auteurs auraient pu, par exemple, commencer une narration normale quand Juliet arrive sur l'ile. Ce serait d'ailleurs nettement plus logique car il n'y a encore moins d'intérêt d'écrire en épistolaire alors qu'elle est à deux maisons des gens auxquels elle écrit !

D'autre part, j'ai été frustrée à la fin de l'ouvrage. J'ai fermé le livre avec pleins de question en tête qui n'auront jamais de réponse. Juliet a-t-elle finalement adopté Kit ? Que s'est-il passé dans la tête de Dauwsey quand Juliet lui a fait sa demande en mariage ?
De plus, j'ai trouvé que l'histoire d'Elisabeth n'était pas assez… creusée. Dans le sens où on parlait énormément d'elle avant qu'on ne découvre qu'elle est morte et que, quand on l'a appris j'ai eu l'impression que personne n'était triste et qu'on l'a passait aux oubliettes comme un vulgaire déchet, un souvenir lointain, un vieux copain de classe qu'on oublie dès qu'on sort de l'école. Ce qui renforce mon premier argument qu'il aurait été utile d'avoir la vision personnelle des personnages POUR EN SAVOIR PLUS !!!

En conclusion, je ne recommande pas vraiment ce livre à moins que vous n'aimiez être frustré et lassé de votre lecture. Cependant, je ne me décourage pas et je ne veux pas rester sur une note négative. C'est pourquoi j'ai décidé de lire Lady Susan de Jane Austen. C'est aussi un roman épistolaire, j'espère que ça me réconciliera avec ce style !

Un titre sympathique, un lieu original, Guernesey, une période sur laquelle il y a beaucoup à dire, l'occupation, il y avait de quoi faire un bon bouquin.
Pour moi c'est raté. J'ai terminé ce livre parce qu'il n'est pas trop gros, sinon je crois que j'aurais abandonné en cours.
Il y a d'abord le style épistolaire, qui ajoute beaucoup de lourdeur au récit. Sur certaines pages on lit le nom de la personne qui écrit, celui du destinataire, la date, la formule de politesse et la signature pour une ligne de texte ! C'est pesant.
Ce qui rend ce livre sympathique c'est la retranscription de l'atmosphère de l'île, on sent bien que ses habitants forment une vraie communauté. Mais à part ça ... On apprend peu de choses sur l'occupation, sinon qu'elle était beaucoup moins pesante que sur le continent. Et très peu de choses sur le fonctionnement du fameux cercle pendant la guerre.
On s'attend à un peu d'humour à la lecture du titre, or le livre en est totalement dépourvu. Beaucoup de lettres racontent des détails sans intérêt, et les sentiments sont plutôt mièvres, c'est un livre que j'oublierai bien vite

Juliet Ashton est une écrivaine célèbre résidant à Londres. Parmi ses admirateurs un certain Dawsey habitant l'ile de Guernesey entre fortuitement en correspondance avec elle. A partir de cette correspondance, Juliet Ashton fait la connaissance du cercle littéraire des amateurs d'épluchures de patates. Juliet Ashton décide de trouver son inspiration pour un nouveau roman au départ du cercle littéraire de Guernesey.

C'est un roman épistolaire dans lequel j'ai eu beaucoup de difficultés d'entrer et que je n'ai pas vraiment apprécié. Pourtant, j'ai beaucoup aimé : « Une forme de vie » d'Amélie Nothomb qui est également un roman épistolaire. Je me suis sans doute noyé dans une histoire, loufoque à mon goût, comptant de nombreux personnages.

Lecture en demi teinte 🙄
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Ce livre avait tout pour me plaire, un format épistolaire original, un thème traitant de la guerre.
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Mais j'ai trouvé qu'il y avait pas mal de personnages, on entre pas assez en profondeur et au final on ne les connaît pas assez, ce qui m'a assez embrouillé dans ma lecture 📖
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Les événements sont intéressants et on en apprend plus. Mais pour moi ça reste tout de même assez plat. 🤷🏼‍♀️
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Une écriture qui m'a fait penser à orgueils et préjugés (peut être la raison pour laquelle je n'ai pas trop aimé?)
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Pour le coup je reste mitigée même si j'ai beaucoup aimé le thème et l'originalité de cette oeuvre. 🌟

Hé bien, je ne comprends pas. A voir cette pluie d'éloges, ces dizaines de critiques dithyrambiques sur ce livre, je finis par me dire que je n'ai pas lu le même. Il est apparemment passionnant, le problème est qu'il ne m'a nullement passionné et même plutôt ennuyé. Je n'ai pas réussi à m'attacher aux personnages, à l'histoire. J'attendais autre chose même si je ne sais toujours pas quoi.
Pourtant, amateur d'histoire, le contexte de l'après guerre aurait dû m'intéresser. le fait de me demander si certains faits avaient vraiment existé ou seulement été inventé me laisse sur ma faim.
Bien sûr, ce n'est qu'un roman et je lui en demandait sans doute trop. A noter pourtant que j'ai bien aimé le style épistolaire, ce qui rend ce livre très facile à lire.

Quelle déception !
Comme pour tous les best-seller, je me suis méfiée de l'engouement général et j'ai attendu patiemment que le livre s'échoue sur mon chevet. Il lui aura fallu 10 ans pendant lesquels je me suis fait une opinion beaucoup trop haute de son contenu.
Par où commencer ?
L'histoire est cousue de fil blanc l'écriture sans saveur. C'est un roman épistolaire mais les lettres sont très courtes ce qui lui confère un rythme usant. Les lettres sont pour la plupart artificielles et ne servent qu'à la compréhension du lecteur puisque l'on apprend plus tard que les protagonistes sont équipés de téléphone. de nombreux personnages écrivent des lettres mais le paysan qui n'a presque pas été a l'école et l'écrivain de renom utilisent le même style sans relief. le comble de ma stupeur a été atteint à la fin lorsqu'il est fait référence à Orgueil et préjugé de Jane Austen. Il faudrait que cette manie cesse dans le domaine la chick Lit de citer Orgueil et Préjugés à tout va risquant par amalgame malencontreux d'entacher cette merveille de la littérature anglaise.
La seule étoile que j'alloue à ce roman aussi fade que les épluchures de patates vaut pour les descriptions de Guernesey et la façon dont les habitants ont vécu la WW2. J'espère au moins que ceux ci sont documentés.