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4,05

sur 10292 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
J'étais curieuse de lire ce roman. Tout d'abord parce que c'est un best seller (et cela fait longtemps que je n'en lis plus beaucoup), et surtout parce que c'est un roman épistolaire. le titre ne manquait pas d'humour et le sujet me paraissait plutôt attirant. Me voilà donc en compagnie de Juliet, écrivain à succès, à la recherche du sujet de son prochain roman. C'est une lettre reçue de Guernesey qui le lui donnera. Une correspondance s'établit avec plusieurs habitants de l'île, tous membres d'une cercle littéraire qu'ils ont formé sous l'occupation allemande.
Au final, il y a bien qu'en lisant le titre que l'on sourit. Un doux ennui m'a rapidement envahie. Certes, c'est joli, c'est tendre, on voit poindre un histoire d'amour dès les premiers échanges, les bons sentiments ont de dessus sur les vilaines injustices de l'occupant... Mais tout cela est un peu niais et plein de grosses ficelles. le style épistolaire, qui m'attirait tant, ne convient pas au nombre très (trop ?) important de personnages, et cela devient vite fouillis. Je ne veux pas accabler ce livre dans lequel j'ai quand même appris pas mal de choses sur les enjeux stratégiques que représentait Guernesey pendant la guerre. Mais, j'aurais peut-être mieux fait de lire un manuel d'histoire...
Lien : http://bloglavieestbelle.ove..
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Ce livre vient de me tomber des mains. J'abandonne au bout de 30 pages. Toutes les lectures positives lues ici ou sur des blogs me laissaient espérer autre chose. Je ne sais pas où l'auteur veut en venir, et je n'ai pas le courage d'attendre encore. Les lettres se ressemblent toutes et sont peu crédibles. Une femme va-t-elle vraiment écrire à son éditeur ses problèmes de froufrous et de chaussures ? Quelques petites anecdotes en fin de lettres m'ont parfois fait sourire mais sont trop rares pour que je continue. Les petites notes sur le plaisir de lire ou nos merveilleux libraires passionnés par leur métier et non par la rentabilité sont vues et revues. Je ne me sens pas dans une ambiance d'après-guerre, j'ai l'impression que l'histoire pourrait tout aussi bien être rapportée en 2014 (il faut dire que je ne suis pas allée très loin dans la lecture). J'aurais aimé peut-être que l'on me parle d'avantage des villes traversées par Juliet en de début de roman, que chacune de ses lettres reflète les lieux qu'elle traverse. Globalement, j'ai trouvé l'écriture assez plate et n'ai pas eu envie d'aller plus loin. J'en attendais peut-être trop de ce roman, classé coup de coeur par la bibliothèque de mon quartier (c'est la première fois que je suis déçue par un de leur coup de coeur). Bref, une grosse déception.
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100 c'est un chiffre fatidique : les cent premiers jours d'un règne politique suffisent, en général pour juger ce qui va suivre, cent c'est aussi le nombre de pages que j'ai lu (enfin lire n'est pas le mot qui convient vraiment) avant de décrocher, de me mortifier d'avoir perdu mon temps alors qu'il y a tellement de trésor cachés que je n'ai pas encore découvert, d'avoir des contritions et de me détourner de ce ragoût infâme. (pas le british stew qui est lui excellent avec une petite bière)
D'habitude je ne dépasse pas la trentième page là je m'en suis abstenu ne voulant pas croire que ce brouet allait rester aussi écoeurant Eh bien Si ! Les deux auteures (elles s'y sont mise à deux quand même pour la corvée de patate) ont continué sur leur lancée et les personnes alertes , enjouées, spirituelles , frivoles d'échanger des banalités insignifiantes et fades (na!) pendant cent pages … et apparemment ça continuait comme ça jusqu'à le fin Incroyable

Date
Bonjour !
Coucou c'est moi
Allez bisou
A+

ou bien (= une page)

Date
Chère Susan,
Je nie tout.
Amitiés
Juliet.


Ou bien (= une page)

Date
Sidney ?
Je t'embrasse,
Juliet

ou bien

Ah ! je ris de me voir
Si belle en ce miroir…
Est-ce toi, Marguerite,
Est-ce toi ? Réponds-moi,
réponds-moi,
(non ça c'est La Castafiore, déjà le style épistolaire Elles n'ont pas osé ou vraisemblablement elles ne connaissent pas Tintin qu'est-ce que vous voulez une BD belge! En revanche il y a foison de citations d'ouvrages remarquables et on sent la grande classe : des érudites lettrées ces Ladies !)

Dire qu'actuellement on ricane sur les sms des d'jeuns Quand je pense que tout ça partait par la poste, par bateau ? Par avion ? Par train ? je ne vous parle pas du bilan carbone hein ?

Gentry guernesiaise : Dindes et dindons (je parle surtout du révérend. y'en a toujours un dans la bonne société surtout pour la quête et flatter ces dames) babillent en solitaire en buvant le thé devant leur bloc de correspondance (du moins je me l'imagine ) le petit doigt levé élégamment comme il se doit. le problème est que le babillement qui devrait rester verbal est couché sur le papier. C'est ce qu'on appelle le style épistolaire
Mais qu'est-ce qu'on s'ennuie à Guernesey pour s'acharner autant sur une feuille de papier!

Cependant je m'incline bien bas devant l'éditeur Random House ( étonnant : un agglomérat allemand, si si ) qui a su vendre cette capilotade épistolaire a autant d'exemplaires, a su en concocter un jeu et fait adapter au cinéma. Si Si chapeau bas !


416 pages ! il est vrai que la lettre avec un corps de texte de quatre phrases ça fait déjà une page... voire deux phrases, que dis-je ! deux MOTS. je cite
De Mark à Juliet
« oui ! M. »
UNE PAGE!

À chaque courrier vous enlevez les civilités, la date, les coordonnées de l'expéditeur les salutations reste pas grand-chose. Vous enlevez les commentaires sur le chignon, sur la robe, l'épi rebelle , les références littéraires, les citations Hein ? Et cela s'est vendu et même très bien !Remarquable!
Je cite une innovation très novatrice et même assez inédite dans ce livre pour ne pas lasser le lecteur les auteures utilisent parfois... le câble ! Cela permet de faire plus bref encore ! et encore une page !

Phrases colossalement torrides (= une page)
De Mark à Juliet
« il me plait » de te voir chez Suzette à huit heure
T'embrasse
M. »
alors là soit c'est pour les crêpes soit pour le baiser « Suzette »
« Et puis y a le baiser d'Zuzette
Le plus salé le plus sucré c'est le plus chouette » comme disait Pierre Perret

Phrase d'intense spiritualité
« je ne pense pas que ce soit un loup-garou (il n'a pas de poils sur les phalanges, en tous cas ) »
(Notez le « Phalanges » et non pas « doigts » C'est exquis !

Phrase historique (mais l'humour british est toujours là malgré les heures sombres de la guerre)
« Et ce n'est pas un nazi en cavale (il aurait un accent ) » ah ! ah ! ah !c'est extra !


Je savais que la pomme de terre était le légume préféré des Français. Je sais maintenant qu'il est aussi pour les guernesiais par contre je n'en ai pas assez, mais, suffisamment lu pour savoir quelle variété est la plus appréciée Je pencherais pour la Linzer Delikatess car le nom lui sied parfaitement et elle est tendre moelleuse, fondante et généreuse et ses épluchures grossières en font un plat recherché ou alors … On est plus dans le rutabaga , en période de guerre ce n'est pas idiot et là on est plutôt dans le navet !
Oh que je suis méchant c'est terrible quand je n'aime pas ...




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Beaucoup de critiques élogieuses pour un livre qui ne tient pas ses promesses sur la longueur. Comme beaucoup, je pense avoir été attiré par l'originalité du titre du livre et le contexte historique des îles anglo-normandes pendant le seconde guerre mondiale. La forme épistolaire est elle aussi intéressante car trop rare de nos jours, mais passé la première partie, il faut avouer que ça n'avance plus lorsque l'écrivain décide de partir sur l'île de Guernesey afin de faire connaissance de tous ces correspondants auxquels elle s'était attachée. L'auteure se piège elle même dans sa construction narrative, tout devient d'une platitude exaspérante, c'est insipide et d'une niaiserie sans nom à force de vouloir ajouter du mélodrame à tire larigot. Impossible d'être captivé par l'histoire tant le rythme est laborieux, les échanges de lettres en 3 lignes paraissent ridicules et les personnages manquent cruellement de caractère. On a l'impression de toujours lire la même chose, à peine nuancé.

Cette correspondance manque de relief et d'intérêt. L'histoire ne décolle jamais à cause de ça. J'ai préféré abandonné à la seconde partie, c'est une véritable déception.
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D'un côté, je ne suis pas très amateur des romans épistolaires, et celui-ci en est un. D'un autre côté, je suis plutôt attiré par les îles anglo-normandes, et Guernesey en particulier. Voilà pour l'avant-propos. Ensuite, et bien, ce roman se déroule sans surprise, sans déplaisir non plus. J'ai appris beaucoup de choses sur le déroulement de la guerre dans ces îles (à ma grande honte, j'avias oublié qu'elles avaient été occupées par les Allemands). Vous dire que j'ai aimé ? Vous dire que je n'ai pas aimé ? Je vais faire une réponse de Normand - ou d'Anglo-Normand ?- (oui, je sais, elle est un peu facile !) : c'est entre les deux. C'est agréable à lire, on en ressort avec quelques informations supplémentaires sur la vie à Guernesey entre 1939 et 1945, ce qui n'est déjà pas mal en soi, mais reste un petit je-ne-sais-quoi qui m'empêche d'être complètement satisfait. Les personnages sont un peu stéréotypés et l'histoire, mis à part l'environnement, est finalement banale. Mes a priori sur le type de roman (sur l'éditeur aussi, il faut bien avouer que je n'aime pas beaucoup son catalogue, en général !) s'avèrent et la visite de Guernesey n'est pas suffisante pour me faire adhérer à ce livre.
Lien : http://www.lyvres.over-blog...
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Je n'y arrive pas!!!!

je le laisse un jour ou deux et puis je le reprends, RIEN ça fait quoi 3 semaines que j'essaye et je ne suis même pas à la moitié!!!!!
Une multitude de correspondance et de correspondants qu'on s'y perd. Désolée j'arrête ......peut être un jour j'y arriverai!!!!!!!!!!!!!!!!
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Je n'ai lu que de bons avis sur ce livre, je me suis donc lancée. Mais cette lecture fut pour moi une GROSSE déception.

Le roman épistolaire est un genre que j'apprécie pour le dynamisme qu'il insuffle à la lecture. le changement perpétuel des points de vue permet aux divers personnages de se dévoiler et à l'action d'évoluer fluidement. Mais pas ici. On tourne en rond, tout le monde ressasse les mêmes événements vécus durant la guerre. Quant à l'humour, je le cherche encore. Je m'attendais à un style prenant, c'est plat. Je me suis rabattue sur l'action, c'est quand-même le propre d'un roman du moment où ce dernier ne se veut pas philosophique ou ne se déclare pas du Nouveau Roman. Là c'était le vide. J'aurai peut-être espéré des envolées lyriques, des réflexions profondes sur la vie, sur la nature humaine, quelque chose d'exaltant. Rien.

Je me suis appliquée à noter les noms des personnages et le rôle de chacun afin de mieux comprendre les liens qui se tissaient entre eux, pour me laisser emporter par leurs histoires. J'ai fini par ne plus regarder la liste, peu m'importait qui écrivait à qui, à quoi bon? Leurs échanges sont pour la plupart creux, ça stagne.

Quant aux personnages, c'est facile à présenter. Vous avez d'un côté les gentils, ceux qui veulent aider "Juliet" à écrire son roman, en face d'eux se trouvent ceux qui l'en dissuadent. Grrr les méchants! Mais au fait, pourquoi ne veulent-ils pas qu'elle écrive son roman? Nul besoin de le savoir, c'est comme ça et c'est tout. Et "Juliet" alors? Eh bien elle est d'une naïveté à vous taper sur le système. À croire qu'elle débarque fraîchement d'une autre planète, elle et ses acolytes.

Une dernière chose, et je ne cherche pas la petite bête mais ma question est légitime: à quel genre rattacher ce roman? Ce n'est ni un roman historique, ni une histoire d'amour et encore moins un beau texte. Il n'est ni dépaysant ni informatif.
Suffisait-il d'écrire un livre sur les bienfaits de la lecture pour en faire un bon roman?Décidément pas. D'ailleurs, des livres il n'en est que peu question dans ce roman, et le qualificatif "bibliophiles" sur la quatrième de couverture est excessif.

Bref, c'est un roman qui sera vite oublié.
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Je suis véritablement déçue par ce roman, peut-être à cause du style épistolaire, je ne sais pas trop :/. Certes, les personnages sont attachants mais je n'arrivais pas à bien rentrer dans l'histoire.
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et bien je dois etre la seule à ne pas avoir aimé ce livre ,et pourtant , ce n 'est pas faute d essayer impossible de rentrer dans l histoire .Est ce la façon dont c'est écrit?
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"Le Cercle littéraire des amateurs d'épluchures de patates" - dont rien que le titre pourrait décourager plus d'un lecteur ! - est un roman épistolaire devenu un best-seller mondial. Pourtant, il est difficile de comprendre ce qui justifie un tel engouement. le format épistolaire donne une impression décousue, comme des fiches de personnages imprimées les unes après les autres. Il est difficile de s'attacher à Juliet, auteure célèbre en manque d'inspiration, autant qu'aux habitants de Guernesey qui n'ont pas la même vision des uns et des autres. Ce cercle de lectures au nom grinçant n'est qu'une excuse pour résister aux Allemands, mais ne justifiais sans doute pas un roman de 400 pages. Sans s'en rendre compte, le lecteur dévore ce livre, mais peut-être est-ce pour le terminer plus vite ? Une histoire somme toute intéressante, avec quelques anecdotes qui captent l'attention, mais l'ensemble demeure brouillon et redondant. Dommage !
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