Le cercle littéraire des amateurs d'épluchures de patates

Je suis à la fois enthousiaste et déçue. Je l'ai dévoré mais pourtant parfois mon oeil critique reprenait le dessus et me gâchait le plaisir
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Ce livre démarre lentement, on se perd un peu dans ses lettres qui datent et émanent de diverses personnes, on ne sait pas trop ou on va et on s'interroge sur le sens de ce titre si bizzare...
Mais après quelques pages, on est embarqué dans l'aventure de Juliet qui découvre la vie des habitants de Guernesey, Ile anglo Normande, pendant l'Occupation... On suit le fil avec beaucoup d'intéret, et on découvre des personnages très attachants, au fur et à mesure que Juliet se découvre elle-même.
Ce livre m'a donné envie d'aller à la découverte de Guernesey!

Le dénouement est assez effrayant si je me souviens bien car il ne m'a pas laissé grand souvenir

Roman épistolaire. Les correspondants sont une écrivain londonienne et les membres d'un club littéraire de Guernesey. Les échanges de lettres ont lieu en 1946, au lendemain de la 2nde Guerre mondiale et du départ des troupes allemandes de l'île anglo-normande. Des personnages attachants, parfois haut en couleur, un récit documenté sur l'occupation de l'île pendant la guerre, et une fin à l'eau de rose.

Un titre original, un phénomène de mode, je me suis dit et pourquoi pas, si tout le monde l'aime se livre c'est qu'il doit avoir un cachet particulier...
En effet ... sa particularité c'est qu'il n'a aucun cachet.
On assiste impuissant à l'échange de lettre d'une banalité souvent affligeante entre Juliet, ses amis, et une partie de l'île de Guernesey, à la fin de la seconde guerre mondial, dans le but pour Juliet d'écrire un livre et parallèlement de trouver le grand amour.

Bien que d'un point de vue réaliste, je veux bien que les lettres soit écrient simplement, mais bon Juliet n'en est pas moins censé être écrivain et donc capable de sortir une qualité littéraire... mais non ses lettres auraient pue être écrit par le premier péquins venu... ça rend le roman facile a lire ça c'est sur mais lui fait perdre son charme. de plus si le roman ce veux réaliste qu'on m'explique comment a cette époque les lettres partaient de Londres le lundi et recevais leur réponse le jeudi surtout en partance des îles anglo-normande... mais bon soit.
Autres gros problème du roman, tout est couru d'avance, a chaque page on se dit elle va pas le faire quand même... bin si, elle le fait allégrement comme si c'était un fait surprenant...
On essaie vaguement (mais alors vraiment très vaguement) de nous faire ressentir un Londres post guerre, ainsi qu'une île post libération... heu ba ça avais l'air plutôt cool leur seconde guerre mondiale au final, même cette pauvre Remy (qu'es ce que c'est que ce prénom v_v) à l'air plutôt en forme malgré sa sortie d'un camps de travail allemand.
En conclusion ce livre, est bon à être lu sur la plage et oublier derrière, ce qu'il sera surrement d'ici peu... et le grand Oscar Wilde et la grande Agatha Christie doivent se retourner dans leur tombe d'avoir participer à cette mascarade littéraire.

J'ai un avis particulièrement mitigé sur ce livre.

D'une part j'ai l'impression que les auteurs ont voulu étonner avec un style épistolaire qu'on ne trouve que rarement et un sujet à la fois triste et drôle et d'un autre côté que ce style n'est qu'une manière de faire parler de soit. Parce que oui le récit est frais, fluide, amusant et triste à la fois, les personnages sont hauts en couleur et ce groupe de lecture formé durant la seconde guerre mondiale a un côté héroïque. Cependant comme un film dégoulinant de bons sentiments, le récit m'a donné l'impression d'enfoncer des portes ouvertes, les méchants sont méchants, les gentils sont gentils, les gens peuvent se montrer meilleurs qu'ils ne sont ou pires qu'on ne pourrait l'imaginer et au final ça sent le réchauffé.

A lire quand même, parce que ça passe le temps mais ce n'est pas le livre de l'année pour moi.

Cette fois ci, c'est le titre farfelu et la jolie couverture qui m'ont convaincue de le lire. de plus, toutes les critiques l'encensant ont fini de me persuader. Mais je dois avouer que ce fut une très grande déception pour moi. Je savais que c'était un roman épistolaire, mais je ne m'attendais pas à autant de personnages et autant de lettres entre eux.
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je l'ai lu, distrayant rien de plus...

Bof, bof...Je m'attendais à un roman frais, croustillant, aussi savoureux qu'une tarte sortie du four, mais le style épistolaire a rendu la lecture sans réelle saveur.
Certes, les personnages sont attachants, emprunts d'une grande humanité. Mais le style épistolaire ne met pas en évidence la diversité de ces personnages : un ton littéraire identique pour tous les correspondants, de la journaliste au fermier.
Et surtout, l'intrigue s'épuise vite, le rythme élevé des correspondances rend ce roman léger, trop léger...dommage. Sans compter la fin, comment dire, absurde à mon goût.

L'originalité de ce roman est qu'il est épistolaire. Cela permet d'avoir plusieurs points de vue, qui se croisent ou non, sur plusieurs événements.

L'un des côtés positifs de ce livre est de montrer sans complaisance le contraste qu'il pouvait y avoir, en cet après-guerre, entre ceux qui ont été touchés et ceux qui l'ont moins été. Ce que vit Juliet est assez banal. C'est alors que l'histoire d'Elizabeth et de son amie d'infortune survient.
Même si le thème de la guerre m'agace à force d'être surexploité, ici, il l'a été intelligemment.
[...]
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