Le violon d'Hitler

Lorsque Gustav Schultz violoniste engagé dans la Wehrmacht, qui a été envoyée à Paris en cette fin d'année 1940 est requis pour jouer lors d'une soirée organisée pour les hauts dignitaires allemands, il ignore où et devant qui il devra se produire.
C'est en fait dans un château de la Nièvre réquisitionné par les allemands qu'il fera office de soliste devant un parterre des plus hautes autorités et notamment à sa très grande stupéfaction… Hitler lui-même.
Mais si le concert a été un succès au-delà de toutes les espérances de Gustav Schultz, la soirée va très vite virer au drame pour lui et Hitler le fera exécuter immédiatement.
Mais pourquoi ?
50 ans plus tard à l'issue d'un concert, Gal Knobel violoniste de rénommée internationale et ancien agent israélien ayant notamment aidé les services dans la traque des plus grands criminels nazis, est accosté par un cardinal, qui lorsqu'il était enfant vivant dans ce château de la Nièvre en 1940 a assisté caché derrière les rideaux a toute la scène.
Et depuis 50 ans, il est hanté par cette terrible soirée.
Il va donc demander à Gal Knobel d'enquêter sur ce qui s'est passé, et pourquoi Hitler n'a pas hésité à entrer dans une furie telle qu'il a fait perdre à l'Allemagne toute chance d'une signature de paix entre son pays et les Etats-Unis dont un émissaire était présent lors de cette funeste soirée.
L'enquête de Gal Knobel va révéler bien des surprises et l‘envoyer jusque sur les traces d'un musicien juif de Venise mystérieusement disparu au 17ème siècle.
Mais, il semblerait que des forces bien sombres se mettent en travers de la route de Gal, et que son enquête ne réveille un passé obscur liant le Vatican et les nazis en fuite à la fin de la guerre, à moins que ce passé ne soit en réalité encore bien actuel.
Un bon roman même si on sait d'avance qui sont les gentils qui vont gagner et les méchants qui vont perdre, à moins que….

"Le violon d'Hitler" a été édité en 2008. C'est un thriller assez palpitant que j'ai beaucoup aimé faisant référence à L Histoire et à des personnages ayant existé.

L'histoire débute en 1940 à Paris. Un violoniste doit jouer devant Hitler en personne. A la fin de son concert qu'Hitler a apprécie, il remet au führer un papier qui met Hitler dans une rage folle. Celui-ci le fait exécuter sur le champ !

Mais qu'est-ce qui a pu mettre Hitler dans une telle rage?

Un petit garçon de 10 ans a assisté à la scène. 50 ans plus tard, devenu cardinal, il n'a rien oublié et engage un violoniste spécialisé dans la traque des nazis afin de remonter le temps et de découvrir le secret qui provoqua le drame.

Il remontera le temps jusqu'à Rossi, un compositeur juif vénitien, mystérieusement disparu en 1630. Il découvrira le lien qui unissait ce compositeur à Monteverdi, le célèbre compositeur d'opéras...

Une enquête dans laquelle l'auteur emmène ses lecteurs de Paris au Vatican et dans laquelle il fera intervenir les Services Secrets Israéliens.

Un roman qui m'a beaucoup plu. Je l'ai dévoré très vite voulant connaitre le fin mot de l'histoire. Il donne aussi des détails sur le nazisme (qui n'est pas mort) et sur la 2e guerre et l'implication du Vatican dans la fuite de nazis après la guerre.

Un livre que je conseille vivement.
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Gal Knobel, virtuose du violon et ancien agent spécialisé dans la traque des nazis, est contacté par le cardinal Alphonse de Morillon, pour effectuer des recherches sur un musicien, Salomone Rossi, mort dans des conditions mystérieuses en 1620.

Cette quête va les conduire à débusquer d'anciens nazis, responsables de la mort d'un violoniste allemand en 1940, ainsi qu'une petite frange du Vatican - complices d'avoir aidé des nazis à fuir en Amérique du Sud à la fin de la Seconde Guerre Mondiale - toujours en activité.

L'auteur, Igal Shamir, violoniste lui-même, nous entraîne dans une histoire palpitante du début à la fin.

Un avis mitigé sur ce roman. L'intrigue est plutôt bien amenée: lors d'une soirée dans un château français, un violoniste allemand interprète quelques morceaux. A l'issue du concert, il adresse un requête à un SS; Hitler étant présent il est mis au courant et il entre dans un fureur terrible qui le mène à ordonner l'exécution immédiate du violoniste. Autant dire que le mystère est total. 50 ans plus tard, deux personnes essaient de comprendre ce qu'il s'est passé. Il y a beaucoup de mystère, on comprend qu'il y est question de l'étrange disparition d'un musicien du XVIIème siècle. Les deux enquêteurs improvisés remuent des informations que certains, notamment au Vatican ne souhaitent pas voir ressortir. Bref, tous les ingrédients sont là. Et pourtant, j'ai été un peu déçue par la fin qui fait un peu pshiit je trouve: les deux dernières preuves tant recherchées tombent un peu comme ça entre les mains de l'un des protagonistes et les révélations qui y figurent ne m'ont pas paru si extravagantes.
Donc, une lecture pas désagréable, mais pas transcendante non plus.

Un soir de 1940, un violoniste de la Wehrmacht est invité à animer une soirée spéciale avec Hitler et un émissaire américain. Enhardi par le succès de son récital, le musicien fait une demande au Fürer qui, fou de rage, le fait exécuter.

Un enfant est témoin de la scène. Devenu adulte et cardinal au Vatican, il n'a rien oublié et veut percer le mystère. Lorsqu'il écoute le violoniste Gal Knobel jouer la même mélodie, il lui demande de l'aider à découvrir la vérité, car il sait que cet ancien agent du Mossad a les moyens de retrouver les survivants du drame.

J'avais lu du même auteur « La cinquième corde » et j'avais beaucoup aimé les aventures de ce violoniste-espion. Une vingtaine d'années plus tard, l'auteur a pris la plume pour nous raconter une fiction tirée des faits réels et de son vécu.

C'est ainsi que se mêlent plusieurs choses dans cette intrigue complexe comme une poupée russe. Ou comment la quête sur l'assassinat d'un violoniste pendant l'Occupation va dévoiler la disparition inquiétante d'un autre violoniste quelques siècles plus tôt, et percer un réseau d'anciens nazis protégés par une filière du Vatican.

Ce roman parle d'une enquête historique, une sorte de chasse au trésor à la « Da Vinci Code », mais avec un fond musical et violonistique. C'est d'ailleurs ce que j'ai apprécié le plus dans ma lecture : les références et surtout le ressenti du héros, Gal Knobel, son rapport à la musique et sa relation avec ces musiciens assassinés. On a droit aussi à une chasse aux nazis avec des méthodes musclées et une fin qui nous laisse présager d'une suite. La suite existe, d'ailleurs, et je vous conseille vivement de la lire dans la foulée : Via Vaticana
Lien : https://gefroideval.wordpres..

Avec "Le violon d'Hitler", je vous propose cette fois-ci un roman qui m'a fait penser à ceux de Dan Brown (ce qui est un compliment tant je les dévore). C'est pourtant Igal Shamir, violoniste connu dans le monde entier, ancien pilote de l'armée israélienne, qui tient la plume avec une connaissance remarquable du sujet. Ce petit bijou parle en effet de musique, de lutte entre deux religions et du nazisme.
Au fil des pages, on traverse tant les continents que les siècles à la recherche de ce qui a mis Hitler en furie, lors d'une soirée passée dans un château français. Pourquoi a-t-il exigé l'exécution de ce violoniste militaire allemand ? Tout cela serait resté dans l'oubli si la scène n'avait été vue par le jeune châtelain, caché derrière les rideaux. C'est évènement s'est gravé dans sa mémoire et le tourmente depuis lors. En poste au Vatican, le petit garçon devenu cardinal va poursuivre sa quête malgré les attaques de ses pires adversaires qu'il croise tous les jours autour de lui. C'est avec un violoniste internationalement connu, ancien agent israélien spécialisé dans la trac des nazis ayant trouvé refuge à l'étranger à la fin de la guerre, que les choses vont s'accélérer.
Suspens et rebondissements sont là, tout au long du roman, jusqu'à une fin pas si évidente que cela...

début intriguant qui tombe vite dans une mauvaise écriture , le héros est grotesque , livre trouvé dans une boîte à livres , vite abandonné et remis en circulation

Musicien moi-même, passionné d'Histoire, intrigué par le mystère Hitler et les arcanes du Vatican, j'ai plongé corps et âmes dans ce récit, qui commence magistralement...

... Avant de m'apercevoir que l'on connait tout de l'intrigue dès les 40 premières pages. le récit pourrait alors s'intituler "Le Club des Cinq chez les Nazis", ou "Le DaVinci Code en musique" !

L'intrigue consiste d'avantage en la recherche (interminable) de preuves d'un événement dont on connaît déjà (à peu près) tout, l'auteur nous rappelant à chaque "découverte" le pourquoi du comment de ce que l'on sait déjà, genre "dans les épisodes précédents..." des séries de télévision !

Je suis, malgré tout, allé jusqu'à la fin, espérant un dénouement spectaculaire, en récompense de ma persévérance : que nenni ! Comme l'ont déjà écrit ici plusieurs critiques : "tout ça pour ça !" Ne perdez pas votre temps : lisez plutôt les biographies de Monteverdi et Rossi sur... wikipédia : tout y est dit, et... beaucoup mieux !

De l'histoire, de la musique, des voyages à travers le temps et l'espace pour retrouver la trace de deux violonistes dont l'issue finale fut violente et fatale.

En lisant le résumé du livre, à la bibliothèque, je me suis dit que ce livre avait tout pour me plaire: des personnages musiciens, un mystère et une enquête qui nous entraîne dans L Histoire et à travers l'Europe. Sauf qu'il y a plusieurs choses qui ont fait que je n'ai finalement pas accroché.

Premièrement, l'intrigue. L'idée de base était bien et ça aurait pu donner une histoire vraiment chouette. Sauf que ça traîne en longueur et on a l'impression de ne jamais apprendre de nouvelles choses. Très honnêtement, j'avais l'impression que Gal découvrait toujours la même chose, peut-être à un détail près, et ça n'avançait pas. Je suis allée au bout de ce livre uniquement pour connaître le pourquoi du comment (ou le comment du pourquoi, c'est vous qui voyiez) et j'ai été carrément déçue. Ce n'était pas, pour moi, un secret à en faire vaciller l'histoire.

Deuxièmement, les personnages. Je n'ai jamais été aussi peu emballée par des personnages dans un livre. Gal Knobel est plat. Je n'ai pas franchement d'autre mot. Je l'ai trouvé tellement mou que dans ma tête il ressemblait à l'inspecteur Derrick (et autant vous dire que c'est pas une flèche). Pareil pour les autres personnages d'ailleurs. J'avais l'impression qu'ils n'avaient aucune émotion.

Et enfin, le style d'écriture. Je ne sais pas si c'est le fait que le récit ait été écrit au présent ou simplement le style de l'auteur mais je n'ai vraiment pas aimé le style du tout. Comme pour les personnages, c'était plat. Ça manquait d'énergie et de quelque chose pour nous faire accrocher à l'histoire. Même quand l'auteur, violoniste lui-même, écrivait à propos de la musique. Etant musicienne moi-même, ça aurait du me parler, m'entraîner. Mais non.

Même si on sent que l'auteur a fait des recherches pour faire son intrigue et les étapes de l'enquête, j'ai trouvé que c'était quand même une bien pâle copie des livres de Dan Brown (oui, c'est pas facile de passer après Dan Brown, faut bien reconnaître). Il n'a pas su insuffler dans son livre la passion et les détails nécessaires. Dommage...
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