Un dragon dans ma cuisine, tome 1

Je suis totalement en phase avec les avis précédent. Il ne faut pas en attendre beaucoup de ce manga, mais c'est une petite parenthèse toute douce appréciable. L'histoire n'est pas très riche, on est vraiment sur la découverte de ces deux personnages qui évoluent dans un environnement qui n'est pas vraiment le leur. Ils prennent soin loin de l'autre, à leur façon, tout simplement.

Une artiste japonaise débarque en Europe de l'est vers la fin du communisme. Elle découvre un colocataire hors du commun, un oeuf qui s'avère être un dragon. La découverte à travers les yeux d'une jeune japonaise d'un pays, d'une politique, d'une culture sont des éléments dépaysants et intéressants. Les moments entre notre artiste et son colocataire dragon donne une belle histoire d'apprivoisement réciproque. Les dessins sont un peu minimalistes mais vont à l'essentiel. Pour un manga avec des cours d'arts en fond c'est un contraste osé mais qui fonctionne. La partie manga est douce et captivante. C'est une chouette tranche de vie qui détend, tout en permettant d'en savoir plus sur une époque et un folkore qui ne nous est pas forcément familier. En revanche, le récit est très régulièrement coupé par des pages de blabla de l'autrice et ça c'est non. L'ode de l'autrice aux dragons, son racontage de vie qui n'a globalement pas de lien avec le récit, ça ne fonctionne pas. Non seulement ça n'apporte rien mais ça coupe l'élan de lecture. C'est donc un tome qui laisse un gout contrasté entre les parties dessinées et les pages de texte.

Cette histoire se déroule dans une contrée d'Europe de l'Est en 1980. On va suivre Nono, une jeune étudiante d'art qui a quitté sa famille au Japon pour venir vivre ici, toute seule et poursuivre ses études en Art peinture, en Tchécoslovaquie. En rangeant l'une des pièces dans la maison où elle va vivre, elle va découvrir un oeuf. Et bien sûr, le lendemain, il a éclos. Nono va découvrir un petit dragon mais ne sachant pas trop ce que c'est, au début, elle va le surnommer Petit Lézard.
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Petit lézard et Nono sont vraiment adorables. Il y a quelque chose de touchant dans cette histoire légère et sans prise de tête. Petit à petit, on voit l'évolution de Nono pour son apprentissage de l'art mais on voit aussi, l'évolution de petit lézard et la façon dont il grandit.
Nono se retrouve loin de sa famille, mais elle peut compter sur une amie de sa mère, qui habite juste à côté de chez elle.
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C'est un récit vraiment doux et léger où il n'y a pas d'action, c'est un récit plus axé sur la tranche de vie. Mais de beaux sujets y sont traités.
Les conditions de vie sont encore difficiles à cette époque, pas de téléphone dans sa maison par exemple.
J'ai adoré les pages explicatives où on nous explique le contexte, les influences pour l'histoire, comment ça a vu le jour, la passion de l'auteur pour les dragons, les références, tout, et j'ai trouvé ça très instructif. 🤗
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Une histoire douce où on suit l'évolution de deux êtres dans un monde pas si simple que ça. Ce n'est qu'un premier tome, alors peut-être qu'on en apprendra plus sur les personnages dans les tomes suivants, je l'espère en tout cas 🤗

Je suis un fan inconditionnel des dragons ! Il s'agit sûrement de ma créature fantastique préférée, pour son apparence, sa puissance et toute la symbolique qui lui est liée. Cependant, le dragon occidental a été et est encore trop souvent considéré comme une créature maléfique, à l'opposé du dragon oriental, souvent perçu comme sage et bienveillant. Alors dès qu'une oeuvre propose de nous conter une histoire dans laquelle le dragon n'est pas le méchant, je saute sur l'occasion !

C'est le cas avec la nouvelle Un dragon dans ma cuisine de Riri SHIMADA, adaptée ici en manga. L'autrice a dû quelque peu modifier son histoire pour satisfaire ce nouveau public, mais le coeur du récit reste inchangé. L'histoire se déroule en 1980. L'héroïne, ici une jeune japonaise nommée Nono partie étudier en école d'art en Europe de l'Est (loin de la femme au foyer de 38 ans de la nouvelle), va trouver un oeuf de dragon dans la maison où elle emménage. “Petit lézard” va ainsi entrer dans sa vie.

L'histoire et les dessins sont vraiment attendrissants et c'est même une lecture reposante que de suivre le quotidien paisible de Nono et “Petit lézard”, sans oublier le petit gecko qui a également élu domicile dans cette maisonnette perdue en pleine forêt. Les apartés de l'autrice à chaque fin de chapitre sont édifiants. Elle y expose ses inspirations et son amour des dragons, ainsi que le travail d'adaptation en manga.

J'ai hâte de découvrir la suite et de continuer à voir “Petit lézard” devenir peu à peu un grand lézard cracheur de feu !

Un manga tout mignon.

Ce manga m'a attiré parce que j'aime les dragons. Et celui-ci, on le voit naître et se développer. Bon, dans une maison, mais ça fait l'affaire.

Un peu de légèreté ne fait pas de mal. Cette jeune fille s'attache à ce petit être et tout les deux, apprennent à cohabiter. Pas simple, c'est un dragon !
Il découvre aussi l'extérieur et explore la nature et les autres animaux.

J'ai aimé cette lecture tout en douceur, chaleureuse et réconfortante.
L'autrice nous explique, entre chaque chapitres, ses choix et son amour pour les dragons, sous forme d'un texte qui prend une page à chaque fois. Cela n'a en rien gâché ma lecture, au contraire.

Bon, ce manga n'est pas extra-ordinaire, même s'il dégage certaines valeurs, comme le fait d'être responsable lorsqu'on possède un animal domestique.
Néanmoins, je suis curieuse de découvrir la suite, lorsque le dragon va vraiment grandir. Comment va-t-il s'adapter à la vie dans une maison ?
J'irais me procurer les prochains tomes par curiosité.

Au programme: la rencontre entre une jeune étudiante japonaise et un oeuf étrange abritant une créature aussi mignonne que mystérieuse, des légendes et des prédictions entre mythes et réalité, et un duo qui te fera fondre ô Bookstafriend, bienvenue dans le quotidien rempli de tendresse d'Un Dragon dans ma Cuisine!

Je l'avoue, comme souvent c'est la couverture de ce manga qui m'a totalement attendrie, je n'a pas pu résister à cette douceur dans les traits, ces superbes tons pastels et surtout le charadesign de notre duo principal (le dragon, ma faiblesse ultime, of course), et je n'ai absolument pas regretté ce craquage (ma PAL me juge, mais elle fond aussi devant "petit lézard" ;) )

Derrière l'onirisme et le paisible quotidien présenté, j'ai aimé la subtilité des termes abordés: trouver du sens dans ses propres actions, avoir l'envie de poursuivre ses rêves, profiter de l'instant présent et de ceux qui nous sont chers, s'émerveiller de tout, protéger ce en quoi l'on croit et toujours trouver une source d'espoir et d'amour.

Un Carpe Diem permanent, une ode à la sérénité dans les petites joies du quotidien, une pépite qui ne demande qu'à être découverte!

Quelle grosse déception... L'idée de base est vraiment géniale mais malheureusement tout le manga est gâché à cause du manque de profondeur des personnages. Je m'attendais à beaucoup d'émotions, une belle histoire d'amitié et de mignonnerie mais au final je n'ai rien retrouvé de tout ça.

L'héroïne principale est creuse et sans intérêt. Les autres personnages ne servent strictement à rien et malheureusement le petit dragon, même si il est mignon, ne parvient pas à rattraper le manque laissé.
J'ai également été déçue par les dessins qui ne parviennent pas à propager l'émotion que le manga tente de mettre en place.

De plus, ce tome contient beaucoup de pages dignent d'un roman qui expliquent plus en détails l'univers mais désolé, je n'ai pas signé pour ça. L'auteur aurait tellement pu expliquer tout ça en dessins et en planches au lieu de choisir la facilité et nous taper des pavés à lire.

Je suis peut-être sévère mais je m'attendais tellement à mieux 😢 J'avais vraiment envie d'aimer cette histoire mais impossible. Peut-être que la suite sera mieux mais moi ce premier tome n'a pas réussi à me convaincre.

Nono est une étudiante japonaise en art qui a décroché une bourse pour venir dans un pays d'Europe de l'Est, dans les années 80. Elle s'installe non loin de chez Slavena, une amie de longue date de sa mère. Alors, qu'elle faisait son marché, elle trouve dans son panier, une mystérieuse boule. Mais, cette dernière ne tarde pas à éclore quelques jours plus tard...

J'ai vraiment adoré les deux premiers tomes de cette petite série manga. À l'origine, il s'agit d'une nouvelle qui a été adaptée en manga de quatre tomes mais l'autrice a dû faire quelques ajustements pour qu'il soit adapté à un public jeunesse. L'histoire est vraiment très mignonne : le petit dragon est adorable (on dirait un chat, au début) et j'aurais bien aimé qu'il reste tout petit. Les personnages humains sont très sympathiques également et bienveillants vis à vis de leur compagnon original. C'est un vrai récit doudou. Il ne se passe pas grand-chose au final mais j'aime beaucoup cet univers. Hâte d'avoir la suite : le prochain tome sortira en juin prochain.

Vous aimez les animaux ? Vous aimez le tranche de vie ? Alors pourquoi ne pas se laisser tenter par la jolie proposition en 4 tomes de Nobi Nobi dans sa collection Genki.
Le scénario est de SHIMADA Riri (qui a crée la nouvelle) et le dessin de MIYOSHI Furumachi et a adapté pour le manga. le graphisme est tout doux.
Cette oeuvre a été prépubliée au Japon sous le nom Daidokoro no Dragon sur le site Gene Pixiv des éditions Kadokawa de juin 2018 à octobre 2020.
Nous avons en interchapitre des bonus qui permettent de mieux connaître l'univers, les choix, et de montrer l'amour de la mangaka pour les dragons. C'est intéressant mais ça peut couper le rythme.
Nono est une jeune femme qui se retrouve toute seule dans un pays étranger. Elle a pu louer une petite maison isolée, sans téléphone etc.
Les premières pages sont toutes en couleurs pour notre plus grand plaisir, celles-ci sont très douces. La mangaka a situé son histoire son histoire en Europe de l'Est dans les années 1980. Elle vous expliquera les raisons de son choix, mais dans les grandes lignes le manga se concentre sur la relation qui se noue entre Nono et son dragon appelé petit lézard. Ce n'est ni un chat ni un chien, même si parfois nous pourrions nous poser la question. Nono ne maîtrise pas vraiment ce qu'il est, et ce n'est pas facile de croire en un dragon.
Nous sommes plongés alors que Nono est déjà venue vivre dans cet autre pays. Nous voyons qu'une dame prend bien soin d'elle. Cela lui change totalement de son Japon. Nous verrons Nono et le dragon noué une belle relation, mais pas au grand jour. Il y a également petit Gecko dans la maison. Nono est douce et passionnée de dessin, elle est douée, c'est cela qui l'a amené ici.
Il n'y a pas de grande action à y chercher, mais c'est aussi adorable que touchant de les voir vivre ensemble, s'apprivoiser, passer du temps ensemble, ainsi que de voir Nono vivre cette toute nouvelle vie. Puis avons nous que ce bébé dragon est sacrément craquant.
Pour un tranche de vie doux, nous avons fini sur un sacré cliffhanger qui rend impatient de découvrir la suite.
Il faut savoir à quoi on s'engage, et si ça nous convient ou trouver le bon moment pour. Mais si vous craquez pour les dragons, avaient rêvé d'en avoir un, avez envie de voir comment Nono et le dragon vont vivre ensemble, alors c'est pour vous.

Avec Nobi Nobi, je ne suis jamais déçue. Clairement je peux y aller les yeux fermés avec eux je sais que je passerais un excellent moment pendant ma lecture. encore une fois ça n'a pas loupé! Ce titre me fait envie depuis un petit moment, rien que la couverture me fait vraiment envie et surtout elle dégage un sentiment de bien être que j'avais envie de découvrir moi aussi. Je pourrais presque dire que ça frôle le coup de coeur tant c'était génial à lire et je suis déjà impatiente de découvrir ce que les autres tomes vont nous réserver!

Dans ce premier tome, dans les années 1980, en Europe de l'Est. Nono, une étudiante japonaise, achète un oeuf sur le marché. de la coquille ne sort ni blanc, ni jaune, mais un petit dragon. La jeune femme le garde et l'élève dans sa cuisine, à l'insu de tous.

Dès les premières pages, j'ai été embarqué dans cette histoire et je savais que j'allais adoré. C'était tout mignon, tout doux, une histoire si plaisante pleine de douceur et il y a un réel sentiment de bien être qui se dégage de cette histoire. On va suivre Nono, une étudiante japonaise. Lorsqu'elle rentre du marché, elle découvre un oeuf qui semble être vivant.. Elle a confirmation le lendemain en voyant la coquille brisée! Sauf que le petit animal qu'elle a devant elle ressemble à un gros lézard mais en même temps à autre chose.. Elle ne sait pas trop quel animal il est réellement mais peu importe, elle décide de l'adopter et l'élève dans sa cuisine. Personne n'est au courant de l'apparition de ce petit dragon chez elle. J'ai tellement aimé le lien qui se créer entre le dragon et Nono. Tout de suite un fort attachement les lie tous les deux et je trouve ça beaucoup trop mignon. On va donc les suivre dans leur quotidien, on voit le petit dragon grandir, évoluer etc. Par contre, ce premier tome se termine d'une sacrée façon! J'ai déjà un peu une petite idée sur comment le second tome va se dérouler et je dois bien dire que j'ai hâte de voir ça!

Un premier tome qui m'a complètement convaincu, avec lequel j'ai passé un excellent moment! Heureusement que j'ai le second tome sous la main, je vais pouvoir prolonger le plaisir un peu plus longtemps! C'est un manga qui vous plonge dans une petite bulle attendrissante et ce sont clairement les meilleurs mangas à mes yeux. Je me sens tellement bien quand je lis ce genre d'histoires, ça fait vraiment beaucoup de bien et j'adore ça!
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