Me voici devant la dernière partie de la trilogie.
Perdue au milieu du trafic mondial de drogues, du trafic mondial d'argent sale.
Tout est lié à des manipulations économiques toujours plus énormes et pas vraiment très claires mais c'est comme ça qu'elles deviennent rentables et même très rentables.
Au milieu d'individus plus paumés les uns que les autres, en perte de valeur, privés de chaleur humaine, de simple rapprochement de coeur, de corps et d'esprit.
Qui est le plus fou ? Qui est le plus malheureux ?
En Islande, aux États Unis ou ailleurs encore et partout, la peur de l'autre, la peur de l'attentat, la peur de l'islam, des attaques au nom d'une religion.
C'est très prenant, addictif, ça bouge sur tous les fronts et on arrive à suivre le rythme trépidant des événements dont on ne comprend pas dès le début les finalités mais on sait très bien qu'à un moment donné on aura enfin la vue d'ensemble.
La cage n'est pas vraiment le bouquet final du feu d'artifice qui eu lieu à Reykjavik ce jour là , c'est un passage comme un autre dans le lent cheminement au travers d'une enquête pleine de sens interdit, un labyrinthe dans lequel on trébuche mais rassurez vous il y a bien une issue ... la fin comme une belle histoire d'amour !
Inattendue comme final.