Mes amis les dauphins sont réapparus. (…) Ils semblent ne jamais avoir de soucis, ne jamais avoir peur. Ils surfent sur les vagues, ou plutôt avec les vagues, tant ils aiment épouses les moindres ourlets de la mer. Comment font-ils pour être toujours au plus près de l’océan ? Est-ce le résultat d’une vigilance de tous les instants ? Un abandon permanent ? A chacune de leurs apparitions, je reçois une pluie d’ondes fines et légères. Ils sont libres et cette réalité me touche.
(p. 115-116, Chapitre 17).