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Critique de jcjc352


Bouh ! Bouh ! bouh !
Que c'est triste une poétesse qui fait un livre de « sociologie » sous forme de roman
Bouh ! Bouh ! Bouh !
Quelle tristesse de voir cette poétesse enfiler les aphorismes les plus communs, les plus bêtes, les plus moches comme on enfile des morceaux de bidoche sur une brochette

Tiens Je suis sur que, même S. Tesson qui est pourtant un « aphorismophage consommé  (confirmé?)» doit se retourner dans sa tombe
Bouh Bouh Bouh
Je mens pas tenez
« la vie est une piscine publique »elle ne précise pas si le bonnet de bain est obligatoire Bon… Si c'était le cas cela tempérerait son propos
Encore « Le souvenir était aussi à apprendre » Waouh !
Encore un le dernier « Rien ne se perd, rien ne se crée… » Oui là elle a pompé ! Elle aurait pu prendre la formule d'Edward Lorenz
qui est plus jolie et surtout qui parle de migration.

Mais bon Shumona Sinha a des prétentions littéraires elle utilise un titre d'un confrère Charles Baudelaire et surtout est une adepte du courant Pierrette Fleutiaux avec des phrases courtes en excès pas trop dur pour la syntaxe

« Des phrases courtes  ma chérie ! »Point trop n'en faut


Et puis pour le sujet parait-il autobiographique.

l'héroïne fracasse une bouteille de vin sur la tête d'un immigré : cela ne se fait pas! La femme en occident est un modèle de douceur et d'une et de deux le vin est haram c'est blesser le migrant Il faut prendre une bouteille d'orangina ronde et galbée elle épouse mieux la forme du crâne et son contenu est énergétique et c'est Hallal Pour les reste c'est bal bla bla

L'attribution du Prix Eugène-Dabit du roman populiste me semble exagéré car pour ce prix il faut que, du livre «  se dégage une authentique humanité ».Cela me semble ne pas être le cas surtout avec le coup du kil de rouge

On prime vraiment n'importe quoi pourvu qu'on soit dans le politiquement correct du moment

« Mais le proverbe qui vient hors de propos est plutôt une sottise qu'une sentence. » Cervantes Alors là on est servi.
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