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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Vous connaissez tous le fameux détective Sherlock Holmes? Peut-être aussi son frère, Mycroft? Eh bien, désormais, voici la petite soeur, Enola Holmes!
J'avais depuis longtemps entendu parler de cette série et l'autre jour, tandis que je furetais dans les rayons de ma collègue documentaliste, j'ai eu envie de découvrir ce personnage. J'ai donc, au hasard, saisi l'un des volumes.
Il s'agit du 4ème: "Le secret de l'éventail". Ne pas avoir lu les trois premiers tomes n'a pas été handicapant. On comprend vite de quoi il en retourne, ainsi que la situation d'Enola: depuis la disparition de sa mère, la jeune demoiselle a quitté le domicile et endosse différents costumes afin de pouvoir vivre seule, libre, et surtout assouvir sa passion: enquêter sur les disparitions...ce qui n'est pas du goût de ses frères, qui veulent absolument lui faire retrouver une vie sage et rangée de demoiselle digne de ce nom!
Des mystères? Il y en a un, évidemment, dans ce tome: Lady Cecily Alistair disparaît devant les yeux d'Enola, juste après lui avoir glissé dans la main un mystérieux éventail rose...
Si l'intrigue policière demeure simple, elle n'en est pas moins très plaisante. le personnage d'Enola y est pour beaucoup: c'est elle qui raconte l'histoire, et comme elle n'est pas dénuée d'humour, le récit est parsemé de moments cocasses et de réparties cinglantes.
La présence de ses frères crée quelque chose d'assez original car nous n'avons pas l'habitude de les voir relégués au second plan!
En bref, une série savoureuse adaptée à tous dès 12 ans: l'âge préconisé par l'édition me semble justifié.
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Enola Holmes, la soeur du grand Sherlock, a repris ses activités au bureau des disparitions du Dr Ragostin mais elle ne peut pas dire que les affaires qu'on lui propose soient palpitantes. Mais tout change, le jour où elle reconnaît la jeune Cecily Alistair qui semble à nouveau dans les ennuis. Alors qu'elles se trouvent dans les premières toilettes publiques de Londres, elle voit Cecily se faire malmener par deux horribles mégères aristocrates qui font tout pour entraver sa liberté. Quand Cecily remarque Enola, son regard lui envoie des signaux de détresse et avec un éventail, elle lui communique sa peur. Mais rapidement, ses deux chaperons mettent fin au manège et la font quitter les lieux. A sa grande surprise, Enola s'aperçoit que Lady Cecily lui a laissé son éventail rose. A partir de là, elle n'aura évidemment plus de cesse que de découvrir ce qui se trame.

J'ai bien fait d'espacer un peu la lecture des tomes car j'ai retrouvé avec un réel bonheur la petite soeur de Sherlock Holmes dans cette enquête bien ficelée qui la réunit à une ancienne connaissance. Je ne sais pas si c'est le temps passé ou si ce tome était vraiment meilleur, mais il m'a semblé plus abouti et différent des volumes précédents. Bien sûr, l'enquête est assez mince même si elle se révèle des plus surprenantes. Mais un des plus grands intérêts réside dans l'évolution d'Enola, qui devient plus mature. Au fur et à mesure des épisodes, on voit la jeune fille devenir une femme, loin de l'aide d'une mère. Roman d'apprentissage, cette série montre une enfant grandir par ses propres moyens dans une ville hostile. Et même si Enola se débrouille bien et fait face aux dangers qui la guettent, la présence de sa mère lui manque. Et cela se ressent beaucoup. La disparition de cette dernière reste un mystère et Enola commence à se faire à l'idée qu'elle doit apprendre à vivre sans sa maman. Un autre thème qui est exploité dans ce tome est la relation d'Enola avec son frère Sherlock. Elle se développe d'une manière inattendue et amicale. Mais si le grand détective comprend le besoin d'indépendance et les qualités intellectuelles de sa jeune soeur, il n'est pas encore prêt à accepter qu'une jeune fille se compromette de la sorte.

Cette aventure souligne aussi la difficulté à être une femme à cette époque et surtout, une femme différente de ce que la société attend. Un thème qui m'est cher.
Lien : http://www.chaplum.com/les-e..
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Il s'agit du quatrième opus des aventures d'Enola Holmes, qui n'est autre que la jeune soeur de Sherlock Holmes ! Agée de seulement quatorze ans, elle décide, à la disparition de sa mère dans le premier tome, de voler de ses propres ailes afin d'échapper à une existence conformiste toute tracée. D'ailleurs ENOLA est l'anagramme de ALONE, c'est donc seule qu'elle ouvre un cabinet, celui du « Docteur Ragostin, spécialiste en recherches – Toutes disparitions...

Dans le secret de l'éventail, Enola vient à nouveau en aide à Cecily Alistair, une jeune lady rencontrée dans le volume précédent. Cette dernière semble en mauvaise posture, prisonnière de deux harpies en attendant son prochain mariage. Or, elle ne laisse à Enola pour tout indice qu'un éventail rose festonné de plumes, dernière fanfreluche à la mode des réceptions victoriennes...

J'aime beaucoup cette série qui permet une immersion dans la société victorienne, de son raffinement comme de sa cruauté. Si je ne suis pas passionnée outre mesure par l'intrigue – notamment parce qu'en fervente admiratrice de son frère aîné Sherlock, je conçois difficilement qu'elle puisse lui glisser entre les doigts ! -, je me délecte en tout cas de cette promenade dans l'Angleterre du XIXème. Et de fait, on s'y croirait vraiment et on frissonne avec l'héroïne lorsqu'elle traverse de nuit des quartiers défavorisés déguisée en chiffonnière. A l'inverse, on découvre toutes les petits subtilités de la vie mondaine : recettes d'époque pour se faire un masque capillaire, le thé tout en rose, les derniers atours à la mode, le langage secret de l'éventail...
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Enola se cache toujours de ces deux frères, sous le nom d'Ivy Meshle, au coeur du quartier de l'East End de Londres. Son « emploi » en tant que secrétaire du Dr Ragostin lui procure beaucoup de plaisir, surtout lorsqu'il s'agit d'enquêter.
Cela fait maintenant 10 mois qu'elle se trouve à Londres et son expérience du terrain en fait une excellente enquêtrice grâce à divers personnages qu'elle s'est créée. Dans ce tome 4 on retrouve lady Cecily Alistair (connue dans le tome 2) complètement désespérée et gardée par deux mégères qui ne sont autres que ces tantes, enrubannée dans une robe qui lui entrave les jambes (pour l'empêcher de courir ?), lorsqu'elle reconnaît Enola un espoir renaît et arrive, malgré la surveillance rapprochée des deux femmes, à laisser un éventail rose qui permettra peut être à Enola de lui venir en aide.

Parallèlement à cette affaire, puisqu'à ses yeux s'en est bien une, Enola recherche toujours une marque d'affection de sa mère, disparue il y a presque 1 an.

De tome en tome, le caractère d'Enola évolue, sa maturité et sa débrouillardise se développent pour en faire une détective qui pourrait largement concurrencer son frère Sherlock, lequel est constamment sur son chemin. On retrouve cette époque troublée par une misère grandissante, les descriptions de quartiers riches et pauvres en donnent une image bien réelle de la société londonienne notamment l'infériorité des femmes.
Un autre point se développe et qui attise encore plus la curiosité du lecteur : la complicité qui se créée entre le frère, Sherlock, et Enola ; même si celle-ci continue de fuir pour ne pas entrer dans un pensionnat de jeunes filles où veut la mettre son autre frère Mycroft.

On salue le courage de cette jeune fille qui mène ses enquêtes tambour battant, c'est une série qu'il faut découvrir, les personnages se font de plus en plus profond. Un vrai régal !

Lien : http://www.stemilou.over-blo..
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En attaquant ce quatrième tome, j'étais toute contente de retrouver un personnage d'une précédente enquête : la Lady Alistair du tome 2. Cette intéressante jeune fille qu'Enola retrouvait brillamment disparaissait un peu trop vite à mon goût. Las ! Aussitôt retrouvée, aussitôt reperdue ! Enola se lance à nouveau à sa recherche mais, cette fois, c'est la famille même de la jeune fille qui semble s'ingénier à la cacher en attendant d'accomplir un horrible projet !

Cette fois, Enola n'est pas seule sur le coup. Un autre détective est sur la piste de Cecily Alistair : Sherlock Holmes lui-même. Tout en menant une véritable enquête contre-la-montre, Enola doit également éviter que ses frères ne réussissent à lui mettre la main dessus pour la ramener dans le droit chemin !

Pour cette fois, j'ai abandonné (temporairement) la version audio pour la version papier. La version poche n'est peut-être pas la plus folichonne. Je trouve que ces romans gagneraient à être servis par des objets-livres un peu plus originaux et esthétiquement soignés même si celui-ci est peut-être celui qui a la plus jolie couverture.

C'est encore une enquête menée tambour battant, mélangeant mystère, action et humour. Ce tome est peut-être moins marquant que les autres. Il peut paraître un peu réchauffé, moins "politique" dans son propos et faisant peu avancer la situation d'Enola. C'est cependant toujours un vrai plaisir à lire. Pour dire, je préférais passer mes soirées en compagnie d'Enola plutôt que regarder un film.
Je n'ai pourtant plus l'âge préconisé. La série est conseillée à partir de 12 ans et, effectivement, le vocabulaire, en particulier, me paraît parfois trop soutenu pour des lecteurs plus jeunes. Par contre, des lecteurs bien plus âgés peuvent trouver beaucoup de plaisir dans cette lecture. J'en suis la preuve !
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Londres, 1889,

Entre une tourte au pigeon et une gorgée d'un excellent vin, Mycroft et Sherlock discourent sur leur insaisissable soeur Enola.
Si l'un n'arrive pas à maîtriser son exaspération, le second s'émoustille de la tournure des évènements. Dans son indépendance et son désir d'investigations, Enola a déjà élucidé trois mystérieuses disparitions en l'espace de huit mois.

Chez le Dr Ragostin, Miss Meshle, « frange, fausses bouclettes et fanfreluches bon marché », fait toujours le secrétariat et réceptionne les visites. Elle fait place parfois au personnage plus distingué, de serge grise, lorgnons et teint palot, d'une bas-bleus. C'est donc sous cette caricature qu'Enola revoit la fille du baron Alistair, Cecily, qui avait disparu quelques mois plus tôt. Cette affaire avait été sa deuxième enquête…
Dans « un édifice confidentiel », plus communément appelé « toilettes publiques pour dames de Londres », de l'avenue commerçante d'Oxford Street, Cecily, face à Enola, est encadrée par deux duègnes. Plus qu'accompagnatrices, les deux femmes se comportent comme des geôlières. Cecily se comporte bizarrement, à la fois récalcitrante et avachie, elle n'a pas la posture d'une jeune fille noble.
Lorsqu'en Enola, elle reconnaît la mystérieuse justicière qui l'avait sauvée, elle parvient à se contenir et lui lancer par le regard, un appel de détresse…
Enola scrute bien la scène. Cecily est prise en étau par deux femmes. Elle s'évente avec un éventail de papier. Un coup, deux coups… elle le porte à son front… elle l'agite précipitamment, elle se caresse les lèvres… s'amuse avec le cordon de soie…
Enola se saisit du sien et le porte à sa joue. Oui, elle a compris l'angoisse de Cécily. Oui, elle va lui venir en aide.
A cette époque, l'éventail n'était pas qu'un simple accessoire de mode ou un instrument à vent. Si en Asie, il pouvait être une arme, un complément essentiel au théâtre, il était en Europe, au XVIIIème et au XIXème siècle, l'outil des coquettes. Leur maniement était un langage.
Soutenue par ses deux cerbères, Cecily est contrainte de partir. Mais avant, elle a juste le temps d'abandonner son éventail, un colifichet ordinaire en papier de soie rose. Est-il si insignifiant et commun qu'il prétend être ?

Enola s'apprête avec un réel plaisir à commencer sa quatrième enquête… sans savoir qu'elle va croiser la route de son frère Sherlock…
.
.
Quatrième tome de la série et je suis toujours conquise. Chaque épisode se lit avec plaisir et nous faisons des incursions dans l'Angleterre victorienne avec intelligence. le sujet de prédilection de l'auteur est bien la condition féminine. A travers les enquêtes d'Enola, nous abordons la triste position de la femme, qu'elle soit du peuple ou de l'aristocratie. La femme est un sujet, un élément, que la gente masculine dispose à sa convenance.
Avec Enola, on suit sa rébellion avec ravissement et lui apportons tout notre soutien, avec en prime quelques ovations… Même si elle s'immisce parfois dans les pires conjonctures, elle parvient avec courage et efficacité à s'en extirper, rendant ainsi hommage au sexe dit « faible », faisant la nique, aussi, au plus célèbre des détectives !
Si le suspense est un peu tiède, l'intrigue attendue, on ne se lasse pas de ses déguisements, son énergie, sa persévérance, et ses extravagances qui frôlent parfois la déraison !

Une série à conseiller.
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Tout en essayant, une fois de plus, d'échapper à ses frères, Enola décide de voler au secours de son amie Cécily (voir le tome 2) que l'on veut marier contre son gré. Elle qui se bat pour l'émancipation de la femme et refuse les contraintes qu'on veut leur imposer ne peut décemment pas laisser ce mariage se faire.
Le destin la mettra en présence de Sherlock et de Mycroft et elle aura ainsi l'occasion de tester ses frères et leurs réelles intentions à son égard.
Cette série est vraiment plaisante et le personnage d'Enola s'étoffe d'aventure en aventure. La jeune fille naïve et spontanée prend de l'assurance et se méfie davantage des autres et des situations trop faciles. Elle réfléchit vite et bien et joue à merveille de sa très bonne condition physique pour se sortir de tous les mauvais plans.
Une nouvelle fois, l'auteur s'interroge sur la place de la femme dans la société victorienne et critique allègrement les usages de l'époque. Bien construite, bien documentée et mettant en place des enquêtes agréables à suivre, cette série est réellement une réussite.
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Après La double disparition, L'affaire Lady Alistair et le mystère des pavots blancs, le secret de l'éventail signe mes retrouvailles avec la petite soeur de Mycroft et Sherlock, Enola Holmes.

Si vous pensez que Sherlock Holmes est le meilleur détective de la famille Holmes, c'est parce que vous ne connaissez pas sa jeune soeur, Enola Holmes, qui a plus d'un tour dans son sac !

Élevée comme une herbe folle, féministe en diable, Enola vient à bout des messages codés et se révèle être une véritable professionnelle du déguisement, notre héroïne va retrouver une fois de plus ses frères sur son passage et va même aider son frère Sherlock, mandaté par lady Theodora pour retrouver sa fille.

Cette quatrième enquête me confirme tout le bien que je pensais de cette série et de son héroïne diablement courageuse, qui se retrouve seule et livrée à elle-même après la désertion de sa mère, et qui a du fuir les projets de Mycroft et Sherlock à son rencontre.

Ayant reçu une éducation très libre, Enola a épousé les idées suffragistes de sa mère et trouve bien étriqué le carcan dans lequel ses frères voudraient l'enfermer. Et bien qu'à la tête d'un pécule confortable, elle veut devenir le meilleur enquêteur du monde et damer le pion à son illustre frère qu'elle admire secrètement.

Comme dans les trois précédents opus, Enola enquête une fois de plus sur une disparition, celle de lady Alistair qu'elle devait déjà retrouver dans le second tome de la série, enlevée cette fois-ci par son propre père dans le but de la marier à son cousin.

Un mariage dont la jeune lady, éprise de liberté et de socialisme, ne veut à aucun prix. Sur ce point-là, Enola ne peut que l'approuver et il lui faudra toute sa sagacité pour venir à bout de cette enquête et permettre à Cecily de recouvrer la liberté.

J'ai beaucoup aimé ce quatrième volume, mon préféré à ce jour, je l'ai dévoré en une journée, prise par l'enquête et l'atmosphère que sait si bien décrire Nancy Springer qui nous confirme avec cet opus qu'elle connaît bien cette période.

L'histoire bien construite, avec une pointe d'humour, et une très bonne toile de fond historique les plongera dans une ambiance victorienne réussie, et qui sait, leur donnera peut-être envie de lire du Sherlock Holmes.

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La série avait pris de l'ampleur, bien sûr, mais elle ne décolle toujours pas. Et ce tome sans rien de novateur ou d'extraordinaire ne me fera pas dire le contraire : Lady Alistair est de retour, le mystère de la mère d'Enola reste total et Sherlock se frotte les mains dans l'ombre. On a malgré tout une enquête bien faite, mais qui ne change pas de l'ordinaire. le ronron se ferait-il sentir ? Pas tant que ça, car il est toujours passionnant de suivre la soeur de Holmes à travers Londres. Néanmoins, ce tome existe sans rien apporter à la suite de l'histoire, et se contente d'être pour plaire aux lecteurs. Avec malgré tout une dénonciation assez sévère d'une pratique victorienne peu louable.
N'empêche, la plume de Nancy Springers fait encore sentir ses lacunes : à quoi aura servi le moment où Enola s'adresse directement au lecteur ? On dirait qu'il vient casser le reste plutôt que de s'y intégrer. Dans la même lignée, on pourrait aussi citer le fait qu'elle traite les antagonistes de vieilles toupies, ce qui nous fait frôler la parodie.
Bref, encore une fois un livre néo-doylien très honnête, mais qui ne renouvelle pas le genre. Ça reste très agréable malgré tout.
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La suite des aventures d'Enola Holmes !
J'ai enchaîné les 6 romans en livre audio, lus par Clara Soares. Et j'ai vraiment passé un bon moment, l'avantage des séries où on enchaîne comme ça, c'est qu'on peut vraiment s'attacher aux personnages. Enola Holmes est toujours pleine de ressources et grandit petit à petit, entre autre dans son rapport à sa mère et à ses frères qui deviennent peu à peu plus présents.
Je viens de voir qu'un 7e tome avait été écrit il y a un an et demi, vous l'avez lu ? Parce que le 6e conclut bien la saga, mais pourquoi pas ^^

En tout cas, moi qui connaissait seulement de nom, je ne regrette pas d'avoir lu et vu qu'il n'y a finalement aucun rapport dans les enquêtes avec les films, foncez, c'est tout bonus !!!
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