Citations sur Hadès et Perséphone, tome 1 : A touch of darkness (192)
- Tu fais encore ça ?
Il rit et elle décida qu'elle aimait son rire.
Non, le pire, c'était qu'une part d'elle-même, une part dont elle ne connaissait pas l'existence jusqu'à ce soir, désespérait d'y retourner en courant, de le trouver et d'exiger qu'il lui fasse une leçon sur l'anatomie de son corps.
Tu es ta propre prisonnière.
Si vous lui appartenez, il réduira le monde en poussière pour vous sauver.
– Tu crois que les mots ont un poids ?
Elle le regarda, confuse, et il distribua les cartes en s’expliquant.
– Ce ne sont que ça, des mots. Les mots servent à embellir des histoires et à forger des mensonges. Et, de temps en temps, ils servent à dire la vérité.
– Si les mots n’ont aucune importance pour toi, qu’est-ce qui compte, alors ?
Ils se regardaient dans les yeux et l’atmosphère changea, elle devint chargée et puissante. Hadès vint vers elle, cartes en main, et les posa sur la table : une quinte flush royale.
– Les actions, Lady Perséphone. Les actions ont une importance pour moi.
Comment peux-tu être si passionné et ne pas croire à l’amour ?
« Les dieux se marient pour le pouvoir, ma fleur. »
Plus il vivait, plus il était convaincu que la vie était à la fois trop courte et trop longue pour ne pas obtenir exactement ce que l'on voulait
Hadès aime plus que tout un bon défi, et toi, ma chère déesse, tu es le pire pari qu'il n'ait jamais pris.
-Je préférerais qu'il me respecte. Le respect construisait les empires. La confiance les rendait inébranlables. L'amour pouvait les rendre éternels. Pg306